Quelques illustrations de la
lignée
d’Ambricourt-Dambricourt
« La famille de mon grand-père paternel, originaire d'Ambricourt sur le plateau de Fruges dans l’Artois, se suit jusqu'au 14ème siècle avec Andrieu Dambricourt. Son histoire est jalonnée de notables depuis son petit fils, Messire Jehan d’Ambricourt, échevin de Saint Omer vers 1521.
Ambricourt (Albums de Croÿ)
Andrieu Dambricourt serait un descendant de Robert d'Ambricourt, un seigneur local qui contribua en 1052 à la réhabilitation de l'abbaye royale de Blangy-sur-Ternoise fondée par Sainte Berthe en 682.
Anne
Dambricourt-Malassé : « il n'existe pas de traces
écrites entre Robert d'Ambricourt et Andrieu Dambricourt, c'est
une question d'histoire locale. Cette région a
été sinistrée depuis des siècles par
les guerres, les abbayes qui conservaient les archives ont
été détruites, ce sont des bribes
récupérées depuis 30 ans.
"Aucune
mention du village n’est encore connue avant le XIIème
siècle, Ambricourt est déjà un hameau avoisinant
un château dont il ne restait plus en 1900, qu’une
cheminée monumentale incorporée dans une
chaumière, au lieu-dit de Crépieul. En 1150, le lieu-dit
Crépieul a conservé le nom d’un seigneur du haut
Moyen-Age (i.e. entre les V et VIIIème siècle),
à l'origine d'Amalrici curtis" (Derisbourg 1932).
"Lorsque
le domaine romain prit fin, la villa carolingienne qui lui
succéda se présente soit comme fragment d'une grande
fortune foncière, soit comme possession unique d'un
propriétaire. Le domaine (ou réserve), est la partie
directement exploitée par le maître ou seigneur
(ecclésiastique ou laïc). Géré depuis la
curtis (maison du régisseur entourée de bâtiments
d'exploitation), il comprend des étendues importantes de terres
arables, des prés, des vignes, des bois et des friches".
Donc
à l'origine Ambricourt n'est pas un village, c'est la demeure
d'un seigneur qui vit de l'exploitation de ses terres et de ses bois.
Robert
d'Ambricourt apparait un siècle avant le nom du village, en 1053
comme l'un des seigneurs bienfaiteurs de l'abbaye de Blangy sur la
Ternoise sinistrée en 800 par les Normands et reconstruite donc
au XIème siècle, les dons pouvaient être des terres
ou des bois. Les deux domaines étaient quasiment
limitrophes. C'est au VIIème siècle que Berthe fit
édifier le monastère pour femmes (en 682), les terres
avaient été élevées au rang de Comté
par Clovis II à sa naissance. Elle était de sa
lignée. Il existait nécessairement des liens entre le
Comté de Blangy et le domaine d'Amelric. Et c'est sans doute en
relation avec ces liens que Robert, 4 siècles plus tard,
contribua à la restauration du monastère. Le
seigneur Robert d'Ambricourt est donc très probablement un
descendant d' Amelric qui avait son logis à Crépieul et
exploitait ses terres et ses bois.
Le
logis d'Almeric à l'origine du nom est une chose, le village en
est une autre, au XIVème siècle douze fiefs
indépendants se le partagent et les seigneurs du village
Ambricourt pour partie n'ont jamais porté le patronyme.
Au
cours de ce siècle Andrieu Dambricourt vit à Canlers, le
village limitrophe d'Ambricourt, côté plateau. Il
est né vers 1370 et exploite des terres.
C'est
sa descendance qui permet de reconstituer son statut. Son petit fils,
Jehan, était maneglier de l'église de Canlers
(gèrant des biens de l'église), le fils aîné
de ce dernier est Maître Baudouin Dambricourt, vice-curé
qui reçoit des droits de terrage de Nicolas de Héricourt,
écuyer et seigneur. Jehan possédait un manoir
amazé dans Canlers (logis avec jardin), et surtout fut
échevin de St Omer, où il acquit une
propriété intra-muros de Jean de Croÿ, comte de
Roeulx , (maison de maître, jardin, dépendances). Jehan
possédait des terres bien au-delà de Canlers, j'en
ai déduit qu'il devait être maître es loi
(?) et disposer d'une fortune foncière acquise par
l'exploitation des terres (des céréales, l'Artois
était le grenier à blé des Flandres). J'en ai
déduit que son grand père Andrieu devait être un
notable du plateau de Fruges, avec des terres proches du village
Ambricourt acquises depuis des générations, et que pour
cette raison, son patronyme vient très probablement de Robert.
Après, c'est une question de spécialiste, eut-il
été possible qu'une autre famille sans aucun lien de
parenté avec Robert d'Ambricourt, mais bien enracinée sur
les mêmes terres et possédant assez de terres pour en
vivre aisément, puisse user du même patronyme sans jamais
porter le titre de seigneur du village Ambricourt ?
C'est
pourquoi il me semble nécessaire de faire le distinguo entre le
village et le patronyme. Il est hautement probable que le patronyme
Dambricourt ne vientpas du village encore inexistant au XIème
siècle puis morcelé en seigneuries ensuite, mais du
logis, bien antérieur au village, portant le nom d'Amelric, les
terres agricoles étant transmises depuis des siècles aux
descendants. Descendants du seigneur Robert d'Ambricourt, dont le
logis était à Crépieul, et non pas de seigneurs du
village Ambricourt, un hameau plus tardif qui s'est construit en
bordure de Crépieul et dont aucun d'Ambricourt ne fut seigneur.
»
" A partir de 1630, entre Ambricourt et la Ternoise, se dessine une dynastie de minotiers qui, après avoir migré sur St Omer, deviennent papetiers dans la vallée de l'Aa. Certains s'engagent en politique avec Louis-Albert Bellart Dambricourt (1796-1864), député du Nord, membre de l’Assemblée Constituante de 1848, cousin germain Alexandre Dambricourt, mon arrière-arrière-arrière-arrière-grand-père. Partisan de la Révolution de juillet 1830, mon aïeul fut 1er maire adjoint de Lille et membre de la chambre de Commerce de la capitale des Flandres.
Sa fille, Anna Dambricourt est inhumée dans la crypte de l’abbaye Notre Dame de Wisquess, aux côtés de la première mère abbesse Thérèse Bernard Dambricourt, sa nièce adoptive, et dont elle fut mécène (1889).
Mère Thérèse Bernard Dambricourt
Elle épousa son cousin Géry Dambricourt
et eut
un fils unique, mon arrière grand père Géry Dambricourt, PDG des
Papeteries de l'Aa et Chevalier de Saint-Grégoire-le-Grand, Censeur de la Banque
de France. Son épouse, Thérèse Masse, cousine de Monseigneur Roland-Gosselin,
évêque de Versailles (1931-1952), était une petite nièce de Charlotte Lefebvre
mariée au député Nicolas Martin du Nord,
vice-président de la Chambre des députés
puis Ministre de la Justice et
des Culte très proche du roi Louis-Philippe. On le voit dans ce
tableau
d’Eugène Lamy. Adèle, sœur de Delphine
Lefebvre épouse d'Auguste Masse, était
la grand tante de Thérèse Masse épouse
Dambricourt; « Concernant la statue de Lille, c'est
l'épouse de Nicolas Martin du Nord, comme le signale la
discussion à ce propos ci après, et cette personne
était bien Adèle Lefebvre, la sœur de la
grand-mère de Thérèse Masse épouse de
Géry Dambricourt, une arrière-grand tante de mon
père Xavier Dambricourt (1928-1988). » Anne
Dambricourt-Malassé
Réception en l'honneur de la Reine Victoria,
dans le salon de famille au château d’Eu
Eugène LAMI
© Photo RMN-Grand Palais - G. Blot
« La scène a lieu dans l’une des pièces de réception du château d’Eu, destinée aux réunions de famille, le « Salon des Rois », ainsi appelé en raison des onze portraits en pied de rois et reines de France qui le décoraient. On y reconnaît Louis-Philippe conversant avec le prince Albert sur un canapé. Lord Aberdeen et Guizot se tiennent debout devant eux. A la table sont réunis autour de la jeune reine Victoria le prince de Joinville, la princesse Clémentine, Madame Adélaïde, sœur du roi, et la duchesse d’Orléans. Debout se tiennent le duc d’Aumale, Martin du Nord, ministre de la Justice, et le duc de Montpensier ; à côté de la reine Victoria se trouvent la reine Marie-Amélie, épouse de Louis-Philippe, puis la reine des Belges. La princesse de Joinville, debout devant la table, converse avec le colonel de Chabannes. On aperçoit au fond de la pièce, à droite, le prince Auguste de Saxe-Cobourg. Ce 3 septembre étant un « Sunday close », on réduisit les activités : les princes passèrent la soirée dans ce salon, situé au premier étage de l’aile sud du château d’Eu, à converser et à feuilleter des albums. C’est cette ambiance familiale et chaleureuse que réussit à dépeindre Eugène Lami. » Robert FOHR et Pascal TORRÈS http://www.histoire-image.org
Charlotte fut le modèle de James Pradier pour
représenter la ville de Lille, place de la Concorde (voir rectification
historique ci après).
Georges Dambricourt, mon arrière-grand père, PDG des
Papeteries de l’Aa et Conseiller de la Banque de France, fut Croix de
Guerre (Chemin des Dames de mai à juillet 1917), Chevalier de la Légion
d’honneur et Chevalier de Saint-Grégoire-le-Grand, épousa Marie
Leurent, une petite nièce de Jules Leurent (1813-1883), député du
Nord. » Aline
d'AMBRICOURT, claveciniste.
Parmi d'autres
personnalités :
Monseigneur
André Parenty Dambricourt (1895-1983), évêque auxiliaire d'Arras, fils
de Maurice Parenty (1864-1951) avocat à Saint-Omer et de Joséphine Marie
Victorine Dambricourt (1868-1902), qui grandit au château de la Prévôté
d'Hallines. Joséphine était une nièce d'Anna, mécène de l'abbaye ND de Wisques.
Georges Dambricourt (1923-1982), Docteur en Théologie, prêtre,
petit-fils de Géry et Thérèse Dambricourt, oncle d'Anne et Aline Dambricourt,
auteur de plusieurs ouvrages, « Les traditions du Pentateuque et les
Évangiles Synoptiques, Paris, Spes, 1965 », « L'initiation chrétienne
selon Saint Marc, 1970 », « Matthieu. Structures, sacrements,
expérience des personnes divines, Editore. Toulouse : Privat, 1977 »
Le village Ambricourt est à l'origine du
patronyme d'Ambricourt équivalant de Dambricourt
Ambricourt est le petite village artésien du roman de Georges Bernanos "Journal d'un curé de campagne" (1936).
Géry et son fils Georges
« D'Ambricourt est un nom de famille
notamment porté par :
Messire Johan d'Ambricourt, également écrit
Dambricourt, né à Canlers vers 1500, village mitoyen d'Ambricourt sur le
plateau Fruges dans les collines de l'Artois, est échevin de Saint Omer (Pas de
Calais). Petit fils d'Andrieu Dambricourt né vers 1370 à Canlers et fils de
Mollinet Dambricourt vivant à Canlers en 1450.
Au XVIème et XVIIème siècle, de nombreuses
familles du plateau de Fruges portent le patronyme d'Ambricourt écrit aussi
bien Dambricourt dans des actes passés devant Me Jacques Cornuel,
notaire à Fressin:
Bail qu'a fait Jeanne Françoise Dambricourt a
Pierre Louis d'Ambricourt fol 94 : "Jeanne Francoise d'Ambricourt
fille a marier de feu Mathieu Francois et d'encore vivante Caterine Duboguet,
demeurante en la ville d'Arras en ce lieu elle a baillie et accordé a tiltre de
bail et louage a Pierre Louis d'Ambricourt acceptant aud. tiltre sept mesures
et demie de terres labourables en trois pieces scituez a Beaulieu
Ruisseauville et Planques bien cognu aud.Pierre Louis Dambricourt etc..."
Ces familles étaient celles de "laboureurs"
établis dans les villages d'Ambricourt, Canlers, Azincourt, Ruisseauville, où
se déroula en 1415, la bataille d'Azincourt (pour les anglais, Ruisseauville
pour les français) au cours de laquelle la noblesse française fut décimée et de
nombreux chevaliers inhumés dans l’enceinte de l’abbaye de Ruisseauville.
On les rencontre à Avondance, Fruges, Fressin,
Maisoncelles, Beallancourt, Rollancourt sur la Ternoise;
1523 N d’Ambricourt est homme d’armes d’Oudard
du Biez, seigneur de Créquy.
Denise d'Ambricourt, décédée vers 1616,
on dresse l’inventaire de ses biens devant le bailli et les hommes de
fief de la terre et seigneurie de Canlers : une maison avec trois étables
et une grange située sur un manoir et héritage contenant 2 mesures de terre à
Canlers.
Mathieu Franchois d’Ambricourt demeurant à
Avondance épouse Catherine Duboguet, baille en 1649
Antoine d'Ambricourt, natif du village
Ambricourt, décède "au service du Roy administré de tous les saints
sacrements de l’église", le 15 mars 1679
Pierre Louis Dambricourt possède des « biens
immobiliers de nature féodale », ses enfants s’établissent à Crépy et
Ambricourt, son fils François D’Ambricourt est laboureur à Avondance.
Le sieur Louis François d’Ambricourt, est
parrain en 1784 d’une nouvelle cloche de l’église Saint Nicolas d’Avondance,
nommée Françoise.
Au XIXème siècle, l'orthographe d'Ambricourt
tend à disparaitre tandis que les familles qui ont quitté le plateau de Fruges
ou les moulins sur la Ternoise pour ceux de l'Aa à Wizernes, Hallines et faire
commerce du blé à Saint Omer et Lille, conservent l'orthographe Dambricourt
Louis Bellart d'Ambricourt (1796-1864) fils de Nicolas Bellart et Marie Dambricourt, marié à Sidonie Dambricourt, maire de Wizernes et élu député du Nord, siège à l'Assemblée Constituante de 1848. »
Le château d’Hallines fut occupé, sous la deuxième guerre mondiale, par le QG de l'organisation Todt en charge de la construction de la Coupole de Wizernes, base de lancement de V2
Quelques portraits
Arthémise Dambricourt, fille d’Antoine ; Fidéline Houzé
Auguste-François Dambricourt, fils de Géry Julien et Fidéline Dambricourt
Pierre Dambricourt
Quelques personnalités
Louis-Albert Bellart-Dambricourt
« (13 mars 1796, Saint-Omer - 13 novembre 1864, Hallines), est un homme
politique français.
Fils de Nicolas Bellart et de Marie Chrétienne
Dambricourt, il était négociant à Wizernes. Les électeurs du Pas-de-Calais l'envoyèrent à l'Assemblée
constituante.
Il fit partie de la majorité, et vota : pour la loi sur les attroupements,
pour le décret sur les clubs, pour les poursuites contre Louis
Blanc
et Caussidière, pour l'impôt proportionnel, pour les
félicitations à Cavaignac, pour la proposition Rateau, pour l'expédition de Rome, contre l'abolition de la peine de mort,
contre l'amendement Grévy, contre l'abolition du remplacement militaire et
contre le droit au travail.
Il ne se rallia pas à Louis-Napoléon Bonaparte, et se retira, après la session, dans son département, où il mourut. »Wikipedia Contenu soumis à la licence CC-BY-SA 3.0 (http://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0/deed.fr) Source : Article Louis-Albert Bellart-Dambricourt de Wikipédia en français (http://fr.wikipedia.org/wiki/Louis-Albert_Bellart-Dambricourt).
Aline
d’Ambricourt
Aline d'Ambricourt, née le
22 novembre 1967 à Neuilly-sur-Seine, est une claveciniste française.
Très tôt, elle est initiée
à la musique par Jacqueline Josse-Gaudet, professeur à l’Ecole Normale de
Musique de Paris ayant travaillé aux côtés d’Yvonne Loriot les ondes Martenot
avec Maurice Martenot.
Formée aux conservatoires
de Versailles, Saint-Cloud et Rueil-Malmaison ainsi qu’au Conservatoire
d'Amsterdam, Aline d'Ambricourt se produit en soliste et musique de chambre
depuis 1991 dans de nombreux festivals, en France et en Europe.
On a pu l'entendre
notamment au château de Chambord, à Copenhague, à Graz, à Londres, à Monaco, à
Paris, à Rome, à Venise...
En 2007, elle réalise un
film documentaire musical sur Domenico Scarlatti (1685-1757) puis, en 2012
enregistre les sonates de ce compositeur sur le clavecin Migliai (1763) dont
l'interprétation est saluée par la critique.
Passionnée par les
instruments anciens, elle joue à l'Hôtel Le Bristol Paris, en septembre 2012,
sur deux clavecins de Giovanni Polizzino (1634) et Guillaume Hemsch (1765).
Aline d'Ambricourt fait
revivre le répertoire ancien composé pour un instrument dont l'origine remonte
au XVème siècle, sous sa forme primitive.
Pour ce faire, elle créé
en 2012 à Genève, la Fondation du clavecin, qui a pour objet de promouvoir et
de valoriser le patrimoine historique que constitue le clavecin.
Le but de la Fondation et
la raison même de sa création est avant tout de faire connaitre le clavecin,
son évolution et sa musique, mais à travers celui-ci, c'est à un art de vivre
que la Fondation fait référence et qu'il parait essentiel de préserver et de
transmettre. Non pas une reconstitution d'ordre folklorique, ou une fête
mondaine, mais un art de l'élégance et du raffinement, de la culture et de la
sensibilité, de la rigueur et du plaisir.
Discographie :
Louis
Marchand et François Couperin, pièces pour clavecin (Intégral Classic 2002)
Clavecin.com Production
Domenico Scarlatti DVD, film documentaire musical en H.D (52'), sous-titré en
français et anglais intitulé "Domenico Scarlatti l'Intemporel",
(Integral Classic 2007), Clavecin.com Production
François Couperin, Jean-Philippe Rameau, Louis Marchand, Jean-Sébastien Bach,
Domenico Scarlatti, album intitulé Les Baricades Mistérieuses, 2009
Clavecin.com Production
Domenico Scarlatti, 16 sonates sur le clavecin G.P Migliai 1763, (Integral
Classic 2012) Clavecin.com Production
http://www.fondationduclavecin.org/
Anne Dambricourt-Malassé
Paléoanthropologue
Olivier Dambricourt
Un polytechnicien de choc chez DCNS
YANN
VERDO - Les Echos | Le 01/03/2010
« Certains
polytechniciens ont une vie plus mouvementée que d'autres. Olivier Dambricourt
est de ceux-là, et pas seulement parce qu'il vient, à quarante et un ans,
d'accepter la difficile mission de conduire le programme de transformation du
groupe DCNS lancé par le nouveau PDG, Patrick Boissier.
A
l'X, qu'il intègre 68eà l'issue de ses deux années de classe préparatoire à
Louis-le-Grand, il fera travailler au moins autant, sinon plus, ses muscles que
ses neurones. Tous les sports ou presque y passeront, de l'aviron à l'escrime
en passant par l'aïkido, la natation et la course à pied, mais son classement
de sortie (230e) s'en ressentira... Aucune importance d'ailleurs puisqu'il ne
visait pas les grands corps mais voulait devenir ingénieur d'essais en vol, à
défaut d'une carrière d'astronaute ou de pilote de chasse que des problèmes de
vue lui interdisaient. La Délégation générale de l'armement, qu'il rejoint en
1993 au centre d'essais de Cazeaux à sa sortie de l'Ecole supérieure de
l'aéronautique et de l'espace, lui donnera largement l'occasion d'étancher
cette soif de virées en plein ciel. Dans la foulée, il passera son brevet de
pilote IFR. Mais ce n'est pas tout. Ce père de trois enfants est également un
alpiniste chevronné et un grand adepte de raids nature dans des conditions «
ushuaïesques ». En la matière, il a touché à peu près à tous les modes de
locomotion, et sous tous les climats. A un homérique Compiègne-Maroc en « AMI 8
» Citroën succéderont notamment le Translaponie en moto-neige, un raid
Gauloises dans les sables d'Oman, une traversée de l'Islande à ski et en
traîneau en totale autonomie... Bref, une suite d'aventures qui ne dépareraient
pas dans ces techno-thrillers de Tom Clancy et Clive Cussler, ou ces séries de
bande dessinée qu'il dévore avec avidité à ses (rares) moments perdus.
Immersion
au sein de l'Etat
Sa
vie professionnelle est, sinon plus calme, du moins plus classique. Ingénieur
de l'armement devenu haut fonctionnaire au Secrétariat général aux affaires
européennes, Olivier Dambricourt met ensuite le cap sur les cabinets
ministériels. De 2002 à 2004, il cumule la fonction de conseiller technique
dans l'équipe de Francis Mer au Minefi et celle de Nicole Fontaine au ministère
délégué à l'Industrie, avec comme portefeuille les secteurs de la défense, de
l'aéronautique, de l'espace, de la construction navale, de la chimie et de la
pharmacie. « Les plus belles années de ma vie professionnelle. Le sentiment que
j'ai éprouvé durant cette période est proche de celui que doivent connaître les
équipages d'un sous-marin », glisse-t-il. A l'ampleur des sujets traités
-difficultés de Rhodia ou des Chantiers de l'Atlantique, changement de statut
et ouverture du capital de DCN... -s'ajoute une vraie affinité avec Francis
Mer, dont il dit pleinement partager « l'éthique de responsabilité » et la
sensibilité démocrate-chrétienne.
Mais
suivre les dossiers industriels depuis les bureaux feutrés de Bercy ne pouvait
pas satisfaire éternellement cet homme d'action dans l'âme qu'est Olivier
Dambricourt. Aussi choisit-il en 2004 de troquer sa vie de conseiller pour
celle de directeur d'usine chez Rhodia. Le site de La Rochelle dont il prend
les commandes est en plein plan social. Mais, en se servant des questions de
sécurité et d'environnement comme leviers, le jeune polytechnicien réussira à
remotiver ses troupes et à faire repartir l'usine de l'avant. Un baptême du feu
managérial qui vaut tous les raids. » Gauloises du
monde.
@verdoyann http://www.lesechos.fr/01/03/2010/LesEchos/20625-058-ECH_olivier-dambricourt-un-polytechnicien-de-choc-chez-dcns.htm#3ihpbOWPcRCui1oL.99
Quelques cousinages
|
Nicolas
Martin du Nord
« Ministre de la Justice et des
Cultes
29 octobre 1840 – 12 mars 1847
Nicolas-Ferdinand-Marie-Louis-Joseph
Martin, comte Martin du Nord1, est un magistrat et homme politique français né
à Douai (Nord) le 29 juillet 1790 et mort au château de Lormoy (Essonne) le 12
mars 1847.
Après des études de droit à Paris,
Nicolas Martin du Nord fut reçu docteur en droit, et devint rapidement un
brillant avocat au barreau de Douai. Il fut plusieurs fois bâtonnier.
Conseiller municipal, juge suppléant, vice-président des hospices de Douai, il
se prononça pour la Restauration avec un empressement qui fut ensuite l'objet
des railleries de ses adversaires politiques, car il se rallia à la monarchie
de Juillet dès le lendemain de la révolution de 1830.
Élu député le 28 octobre 1830 par le
grand collège du Nord (571 voix sur 1.258 votants et 2.895 inscrits), il siégea
dans la majorité conservatrice dont il ne tarda pas à devenir l'un des membres
les plus en vue grâce à ses talents oratoires. Il se fit remarquer notamment
dans la discussion générale du projet de loi sur la composition des cours
d'assises et sur les déclarations du jury (6 janvier 1831). Le 12 mars, il fut
le rapporteur de la commission chargée d'examiner le projet de loi concernant
la procédure pour les délits de presse. Peu après (14 mars), il fit rejeter un
amendement de Georges Humann qui proposait d'appliquer à tous les travaux
d'utilité publique entrepris par le gouvernement les dispositions
exceptionnelles du projet sur l'expropriation temporaire des propriétés
privées.
Réélu le 5 juillet 1831 par le 5e
collège du département du Nord (Douai) (91 voix sur 128 votants et 152 inscrits
contre 35 à M. Honoré, avocat), il fut chargé d'un rapport important sur la loi
sur l'avancement dans l'armée (8 octobre). En février 1832, il présenta le
rapport de la commission chargée d'examiner le projet de loi autorisant la
ville de Paris à émettre un emprunt de 40 millions. Rapporteur de la commission
d'enquête chargée d'examiner les agissements du Sieur Kessner, caissier général
du Trésor public qui avait disparu en laissant un déficit de plusieurs
millions, il fut accusé d'avoir atténué, voire couvert, certaines
responsabilités, et violemment pris à partie par l'opposition.
Nommé avocat général à la Cour de
cassation le 6 août 1833, il vit son mandat de député confirmé par ses
électeurs (93 voix sur 109 votants et 151 inscrits) et fut désigné comme l'un
des secrétaires de la Chambre des députés. Il présenta le rapport du projet de
loi sur les associations adopté le 26 mars 1834. Le 5 avril 1834, il fut nommé
procureur général près la cour d'appel de Paris, en remplacement de
Jean-Charles Persil, nommé garde des sceaux. Le 15 avril, le roi le désigna
pour remplir les fonctions de procureur général près la Cour des pairs,
convoquée pour juger le procès des insurgés de Lyon (avril 1834). Sa promotion
dans la magistrature l'amena à se représenter devant ses électeurs qui lui
renouvelèrent leur confiance le 10 mai 1834 (105 voix sur 170 votants). Il fut
également réélu lors du renouvellement général du 21 juin (109 voix sur 113
votants et 172 inscrits) et élu vice-président de la Chambre des députés le 8
août 1834.
En 1835, il fut occupé par le procès des
insurgés d'avril 1834 et, en 1836, par ceux de l'attentat de Fieschi, de
l'attentat d'Alibaud, du complot de Neuilly-sur-Seine. Succédant au rapport de
Girod de l'Ain, son réquisitoire dans le procès des insurgés d'avril occupa
quatre séances.
Martin du Nord voyageait en Suisse en
septembre 1836 lorsqu'il fut rappelé à Paris pour être nommé, le 19 septembre
1836, ministre des Travaux publics, de l'Agriculture et du Commerce dans le
premier ministère Molé, fonctions que, malade, il ne put remplir effectivement
qu'à compter du 16 octobre. À ce titre il s'occupa des premières concessions du
chemin de fer. Il présenta des projets de loi pour l'achèvement de routes
royales, de ports maritimes, de canaux et pour l'amélioration de diverses
rivières navigables. Il déposa également le projet de loi sur l'application
exclusive du système métrique et le projet de loi sur les vices rédhibitoires
des animaux domestiques. Il fit lever la prohibition des fils de laine à
l'étranger et abaisser les droits sur les houilles étrangères. Il augmenta les
encouragements à l'agriculture, tenta une réorganisation du Conservatoire des
arts et métiers et créa plusieurs bourses à l'École centrale des arts et
manufactures.
Il conserva le même portefeuille dans le
deuxième ministère Molé jusqu'au 30 mars 1839. Ses électeurs du Nord lui
avaient renouvelé leur confiance les 29 octobre 1836, 4 novembre 1837 (116 voix
sur 119 votants et 179 inscrits) et 2 mars 1839 (108 voix sur 129 votants).
Réélu à la vice-présidence de la Chambre, il fut nommé ministre de la Justice
et des Cultes le 29 octobre 1840 dans le troisième ministère Soult, poste qu'il
conserva jusqu'en 1847. Durant cette période, il ne cessa d'être réélu par ses
électeurs de Douai, les 5 décembre 1840 (137 voix sur 140 votants), 9 juillet
1842 (173 voix sur 177 votants et 235 inscrits) et 1er août 1846 (172 voix sur
173 votants et 231 inscrits).
Comme Garde des Sceaux, il se signala
par deux circulaires aux procureurs généraux du 22 septembre 1841, l'une
concernant la ferme et rigoureuse exécution de la loi sur les associations
illicites, l'autre concernant les délits de presse, qui furent vivement
attaquées par l'opposition républicaine. Il présenta aux chambres la loi sur
les ventes judiciaires des immeubles, sur la responsabilité des propriétaires
de navires, sur les ventes aux enchères de marchandises neuves, sur la police
de la chasse, sur le Conseil d'État, sur la restauration de la cathédrale
Notre-Dame de Paris. Il s'occupa également de la réforme du régime
hypothécaire, présenta à la Chambre des pairs un projet de loi sur le noviciat
judiciaire et prépara une réforme du Code d'instruction criminelle. Comme
ministre des Cultes, il mena avec succès de délicates négociations avec les
Jésuites et avec le Saint-Siège.
Le 15 janvier 1847, une ordonnance lui
retira le ministère de la Justice pour « raison de santé ». La rumeur publique
y vit une destitution déguisée, qui aurait eu pour fondement, selon le
Dictionnaire des parlementaires, « certains faits scandaleux auxquels M. Martin
(du Nord) aurait participé dans une maison interlope ». Quoi qu'il en soit, il
mourut peu après, le 12 mars 1847, officiellement d'une attaque d'apoplexie,
mais certains ont parlé de suicide (V. Scandales sous la monarchie de Juillet).
Vie familiale
Il épousa Adèle Sophie Charlotte
Lefebvre, fille d'un négociant lillois, dont il eut :
Ernest, comte Martin du Nord, lieutenant-colonel du 2e régiment de
Paris, auditeur au Conseil d'État et conseiller général du Nord ;
Delphine Martin du Nord, épouse de Gustave Roland-Gosselin, juge au
Tribunal de Versailles ;
Clémence Martin du Nord, épouse de Léon Roland-Gosselin ;
Charles Martin du Nord.
Sources
« Nicolas Martin du Nord », dans Robert et Cougny, Dictionnaire des
parlementaires français, 1889 »
Wikipedia Contenu soumis à la licence CC-BY-SA 3.0
(http://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0/deed.fr) Source : Article
Nicolas Martin du Nord de Wikipédia en français
(http://fr.wikipedia.org/wiki/Nicolas_Martin_du_Nord).
La « ville de Lille » sculptée par
Pradier
sur la place de la Concorde, membre de la
famille ?
« La
personne de la famille que nous pensions avoir posé pour cette statue était
Arthémise Dambricourt. Voici les premiers éléments que ma cousine m’avait
adressés: Arthémise Dambricourt, a perdu son jeune mari Alexandre Dambricourt
en 1837, après que celui-ci ait porté secours à la population lilloise exposée
à des inondations. Il était premier adjoint au maire de Lille, membre brillant
de la Société Royale des Sciences, des Arts et de l'Agriculture de Lille. Les
journaux ont publié à l'époque les éloges funèbres. Il était politiquement
proche d'Adolphe Thiers qu'il connaissait personnellement et qui était invité
parfois par la famille, à l'époque où il était encore avocat.
Le
député Martin du Nord était un ami d'Alexandre Dambricourt et de la famille, le
nom de la famille Martin du Nord se lit sur le faire-part de décès de notre
arrière-grand-père Géry et de notre arrière-grand-mère Thérèse.
La fille du député Martin du Nord était une amie d'Artémise et d'Alexandre, il se peut alors que le député Martin du Nord ait proposé à Artémise de poser pour la statue.» Jérome Dambricourt d'Anzel d'Aumont.
Comme
nous l'avons vu, la femme qui a posé pour la statue de Lille
était l'arrière grand tante de Xavier Dambricourt
(1928-1988).
« A propos de
l’identité du modèle de La Ville de Lille, je ne peux mieux faire que de citer
la note consacrée à cette question dans mon édition de la Correspondance de
Pradier, t. II (1834-1842), p. 108: « Quant à La Ville de Lille, son
modèle vivant aurait été Mme Martin, épouse du député et fille du docteur
Vignardonne. Le Journal des Débats du 15 juillet 1916 publia une lettre de sa
petite-fille qui précise : « A son grand regret, elle se résigna à laisser
faire cette statue d’elle, car elle détestait tout ce qui la mettait trop en
avant et elle refusa de poser. Pradier fit d’elle un assez grand nombre de
croquis, et pour cela, il était obligé d’aller dans les réceptions officielles,
car c’est tout ce qu’elle admit: elle ne voulait pas s’en apercevoir,
disait-elle! Cependant, à la fin on finit par la décider à poser une fois,
peut-être deux, mais je n’en suis pas sûre… »
L’auteur d’une «
Notice sur la statue de Lille » (Journal de Lille, 4 septembre 1937) avance le
nom d’un autre modèle: Mlle Marie-Antoinette d’Assignies, née à Lille en 1813,
morte au Château de Montmirey en 1858.
A noter qu'en 1837 (époque où il exécutait La
Ville de Lille et son autre statue de la place de la Concorde, La Ville de
Strasbourg) Pradier a exposé au Salon un joli portrait à l’huile intitulé
Portrait de Mlle A.V… dont le modèle était peut-être Marie Athalie Vignardonne,
fille du docteur Vignardonne et future épouse du député Martin du Nord. Ce portrait
a refait surface dans une vente à Paris en 1993. A titre de comparaison, le
voici côte à côte avec la statue:
Si l'on peut
constater une certaine ressemblance entre les deux figures, il faut toutefois
tenir compte du fait que La Ville de Lille a été détruite en 1871 pendant la
Commune et entièrement refaite en 1872 par un ancien élève de Pradier, Eugène
Lequesne, qui en possédait le modèle en plâtre. Ce modèle, offert par Lequesne
en 1876 à la Ville de Paris pour le musée Carnavalet, ne se trouve pas dans les
collections du Carnavalet et nous ignorons ce qu'il est devenu. On ne sait donc
pas dans quelle mesure la tête de la statue actuelle est une reproduction
fidèle de la tête de la statue originale. » Douglas Siler
(18/2/2008) http://www.jamespradier.com/Texts/Forum_Ville_de_Lille.php
Jules-Joseph-André Leurent
|
Jules-Joseph-André Leurent (17 octobre 1813, Roncq - 30 juin 1883, Halluin), « est un industriel
et homme politique français.
Il étudia la médecine, se fit recevoir docteur
et exerça cette profession, avant de rentrer dans l'industrie. Devenu filateur
de lin et de coton à Tourcoing, il fut membre du conseil municipal de cette ville en
1848, vice-président de la chambre consultative des Arts et Manufactures,
plusieurs fois conseiller général du Nord pour le canton de Tourcoing-Sud, et afficha des opinions nettement
protectionnistes. Pendant cinq ans, il appartint au comité central de la
sucrerie indigène et il joua un rôle important dans toutes les enquêtes qui
eurent lieu durant cette période devant le Conseil d'État, le conseil supérieur du commerce, et devant
les commissions des douanes au Corps législatif.
Décoré de la Légion d'honneur en 1867, il fut porté, le 8 février 1871, sur
la liste conservatrice du Nord, et élu représentant à l'Assemblée nationale. Leurent siégea à
droite et vota : pour la paix, pour les prières publiques, pour
l'abrogation des lois d'exil, pour le pouvoir constituant de l'Assemblée, pour
la chute de Thiers au 24 mai, pour le septennat, pour la loi des maires, pour
l'état de siège, pour le ministère de Broglie, contre les amendements Wallon et
Pascal Duprat, contre des lois constitutionnelles. Il prit part à plusieurs
discussions économiques, fit partie de la commission du budget en 1871 et en 1872,
parla sur l'impôt des matières premières en 1872, et se fit fréquemment le
champion des idées protectionnistes. Le 2 juillet 1873, lors d'une proposition
d'ajournement de l'examen des lois constitutionnelles, il déclara qu'on pouvait
attendre, et que « le pays avait plus de confiance dans l'avenir en voyant
sa situation améliorée depuis le 24 mai ».
En février 1875, Leurent proposa un amendement
aux lois constitutionnelles en discussion, portant que « les
fonctionnaires de l'ordre administratif ne pourraient pas être nommés sénateurs
dans les départements où ils exerçaient leurs fonctions ».
Candidat « conservateur
constitutionnel » aux élections du 20 février 1876, Leurent fut élu député
de la 6e circonscription de Lille. Il reprit sa place à droite et se prononça, avec la
minorité monarchiste, pour le gouvernement du 16 mai, contre les 363.
Il rentra dans la vie privée aux élections du
14 octobre 1877.
Frédéric Barbier, Le Patronat
du Nord sous le Second Empire: Une approche prosopographique, 1989 »
Benjamin-Octave Roland-Gosselin
(17 décembre 1870 à Paris - 22 mai 1952) « est un ecclésiastique français, évêque de Versailles de 1931 à 1952.
Biographie
Issu d'une famille de financiers et d'agents de change Parisiens, Benjamin-Octave Roland-Gosselin naît le 17 décembre 1870, en pleine guerre franco-allemande. Il fait ses études au collège des jésuites où il se lie avec Pierre Rivière, futur évêque de Monaco.
Son père Louis Roland-Gosselin était un des plus fameux et plus connus agents de change de Paris. Fervent catholique, Louis Roland-Gosselin aida financièrement à l'édification de 17 églises à Paris, dont la basilique du Sacré-Cœur, et donna trois enfants à l'Église (dont une religieuse, un prêtre et Mgr Roland-Gosselin). Il se verra même remettre le titre, par le Pape Léon XIII, de comte Palatin du Latran, à la suite d'un don important au denier de Saint Pierre, titre qu'il déclina.
À 18 ans, Benjamin-Octave exprime le désir de rentrer dans les ordres ; au début son père demande à ce qu'il puisse étudier chez lui au lieu d'aller au séminaire pour des raisons de santé, mais il entre finalement (le 1er octobre 1890) au séminaire d'Issy, où il étudiera aux côtés du futur cardinal Jules Saliège.
Il est ordonné prêtre le 21 décembre 1895 (par Mgr Farges, évêque de Thénarie), et débute sa vie pastorale dans la paroisse Saint-Pierre de Chaillot dont le curé (le Père Chesnelong, futur archevêque de Sens) était un ami de sa famille. Il est par la suite nommé aux œuvres et vocations de l'archevêché de Paris, dont il devient sous-directeur en 1902, fonction qui lui vaut de devenir chanoine. Il acquiert le château de Montsoult, qui servira à l'accueil des écoles libres du diocèse de Paris et à l'organisation de retraites pour le clergé parisien. Le château fut alors acquis, pour 240 000 francs, par Mgr Benjamin Roland-Gosselin, alors évêque auxiliaire de Paris. Le liquidateur des congrégations ne l’avait estimé qu’à 120 000 francs. Il rebaptisa la bâtisse « villa Béthanie ». Son beau-frère et sa sœur, monsieur et madame Masquelier, possédaient l’autre château de Montsoult, la villa des Peupliers.
Pendant la Première Guerre mondiale, il sert en aumônier militaire dans la Marine. Les services qu'il y rend lui valent d'être cité et fait chevalier de la Légion d'honneur.
Dès la fin de la guerre et sur demande au pape Benoît XV du cardinal Amette (archevêque de Paris), il est nommé (lors du consistoire du 3 juillet 1919) évêque in partibus de Mosynople et évêque-auxiliaire de Paris. La consécration épiscopale (la cérémonie correspondante) a lieu le 12 août à Notre-Dame de Paris, sous la présidence du cardinal Amette et avec l'assistance de Mgr Chesnelong (archevêque de Sens) et Mgr Gibier (évêque de Versailles), devant le clergé de la capitale, un grand nombre d'évêques et une foule de plus de 4 000 personnes.
Après la mort du cardinal Amette (29 août 1920), Mgr Dubois (alors archevêque de Rouen) lui succède à l’archevêché de Paris, en gardant Mgr Roland-Gosselin comme auxiliaire. Mais les deux hommes s’entendent rapidement assez mal, et après quelques difficiles années de collaboration, il devient coadjuteur de Mgr Gibier à l’évêché de Versailles, sur demande de ce dernier. L’entente est cette fois excellente, et en 1931 Mgr Roland-Gosselin succède à son ami et devient lui-même évêque de Versailles.
C'est Monseigneur Roland-Gosselin qui, à cette époque, approuva la Pieuse Union des Adoratrices du Cœur Sacré de Jésus et reconnut officiellement les apparitions de Jésus Roi de France et Marie Reine de France.
En 1947, s’estimant trop faible pour gérer son diocèse, il demande au pape Pie XII à en être déchargé, ce qui ne sera accepté qu’au printemps 1952, lorsqu’il est pris d’une maladie l’affaiblissant considérablement. Il est alors nommé archevêque in partibus de Laodicée de Syrie1 .
Il meurt peu après, le 22 mai 1952, et est inhumé dans le caveau des évêques de Versailles, dans la cathédrale de Versailles. Il sera succédé à l'évêché de Versailles par Mgr Renard.
Il était le cousin germain du botaniste français Robert Roland-Gosselin.
Bibliographie
Sébastien Boussier, Le diocèse de Versailles de 1931 à 1952. L'épiscopat de Mgr Roland Gosselin, dir. J.Y. Mollier, mémoire de maîtrise à Université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines, 1999. » Wikipedia Contenu soumis à la licence CC-BY-SA 3.0 (http://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0/deed.fr) Source : Article Benjamin-Octave Roland-Gosselin de Wikipédia en français (http://fr.wikipedia.org/wiki/Benjamin-Octave_Roland-Gosselin).
L’usine de Wizernes
L’usine Pidoux
Usines du Chocquet
Usine d’Assinghem
Flacons des années 30
Jusqu'à
la 7e génération. http://gw.geneanet.org/favrejhas
Philippe DAMBRICOURT, né en 1650, Rollancourt, 62770,
Pas-de-Calais, France, décédé.
Sources : famille: aejz (sept 09) site
patber33
Marié en 1680, Rollancourt, 62770,
Pas-de-Calais, France, avec Marie Françoise CARLET, née le 15 février 1656,
Rollancourt, 62770, Pas-de-Calais, France, décédée
Sources : famille: aejz (sept 09) site
patber33
dont:
Sources : famille: aejz (sept 09) site philetmaud, site
patber33
Marié
le 30 janvier 1714, Billancourt, 80190, Somme, France, avec Marie Jeanne PAPE, née vers 1680, décédée
Sources : famille: aejz (sept 09) site philetmaud, site
patber33
dont:
Note
: a transformé son moulin à farine de Wizermes sur l'Aa en fabrique
industrielle de papier
Sources : personne: mv(dec01),
famille 1: aejz (sept 09) site patber33, famille 2: aejz (sept 09) site
patber33, site philetmaud, site roglo
Marié
le 11 janvier 1758, Saint-Omer, 62500, Pas-de-Calais, France,
avec Marie Jacqueline
DELATTRE, née
en 1733, décédée le 24 août 1759, Saint-Omer, 62500,
Pas-de-Calais, France (à l’âge de 26 ans)
Sources : famille: aejz (sept 09) site patber33
dont:
Marié
le 12 mai 1767, Saint-Omer, 62500, Pas-de-Calais, France, avec Marie Antoinette
Josèphe HENNEBELLE, née
en 1746, décédée en 1796 (à l’âge de 50 ans)
Sources : personne: mv(dec01), famille: aejz (sept 09) site
patber33, site philetmaud, site roglo
dont:
Sources : famille 1: aejz (sept 09) site patber33, peds
(roglo/A.Brabant/Livre des Familles du Nord 1937, sept. 2004), aejz (déc 07)
site philetmaud, famille 2: aejz (sept 09) site patber33
Marié
le 14 septembre 1790, Wizernes, 62570, Pas-de-Calais, France,
avec Albertine Marie
Françoise GOEMAERE, née
le 28 mars 1767, Saint-Omer, 62500, Pas-de-Calais, France,
décédée le 23 septembre 1808, Aire-sur-la-Lys, 62120,
Pas-de-Calais, France (à l’âge de 41 ans)
Sources : famille: aejz (sept 09) site patber33, peds
(roglo/A.Brabant/Livre des Familles du Nord 1937, sept. 2004), aejz (déc 07)
site philetmaud
dont:
Sources : famille: aejz (sept 09) site patber33, peds
(roglo/A.Brabant/Livre des Familles du Nord 1937, sept. 2004), aejz (déc 07)
site philetmaud
Marié
le 26 mai 1828, Blendecques, 62575, Pas-de-Calais, France, avec Fidéline HOUZET, née le 18 février 1805,
Lille, 59000, Nord, France, décédée le 23 février 1869,
Blendecques, 62575, Pas-de-Calais, France (à l’âge de 64 ans)
Sources : famille: aejz (sept 09) site patber33, peds
(roglo/A.Brabant/Livre des Familles du Nord 1937, sept. 2004), aejz (déc 07)
site philetmaud
dont:
Sources : famille: aejz (sept 09) site patber33
Mariée
le 15 juin 1848, Saint-Omer, 62500, Pas-de-Calais, France, avec Félix Baptiste François
Alexis DANTU, né
en 1825, décédé
Sources : famille: aejz (sept 09) site patber33
,
...
Sources : famille: aejz (sept 09) site patber33
Marié
le 31 mai 1856, Saint-Omer, 62500, Pas-de-Calais, France, avec Adèle Clémence Eudoxie
LEGRAND, née
le 27 décembre 1831, Saint-Omer, 62500, Pas-de-Calais, France,
décédée le 14 février 1910, Saint-Omer, 62500, Pas-de-Calais,
France (à l’âge de 78 ans)
Sources : famille: aejz (sept 09) site patber33
dont:
Sources : famille: hfe sept2009 cf SGA
Mariée
le 11 mai 1881, Tilques, 62500, Pas-de-Calais, France, avec Paul Norbert Emile
FROISSART, né
le 12 décembre 1854, Campagne-lès-Hesdin, 62870, Pas-de-Calais,
France, décédé le 3 septembre 1920, Mouriez, 62140, Pas-de-Calais,
France (à l’âge de 65 ans)
Sources : famille: hfe sept2009 cf SGA
,
...
Sources : famille: aejz (sept 09) site patber33
Mariée
le 1er septembre 1856, Saint-Omer, 62500, Pas-de-Calais, France,
avec Alexandre Louis Cornil
DAMBRICOURT, né
le 13 avril 1834, Lille, 59000, Nord, France, décédé
le 2 décembre 1894, Hallines, 62570, Pas-de-Calais, France (à
l’âge de 60 ans)
Sources : famille: aejz (sept 09) site patber33
,
...
Sources : personne: peds (roglo/A.Brabant/Livre des
Familles du Nord 1937, sept. 2004), famille: aejz (sept 09) site patber33, site
philetmaud
Marié
le 14 mai 1861, Lille, 59000, Nord, France, avec Anna Sidonie Cornélie
DAMBRICOURT, née
le 21 octobre 1837, Lille, 59000, Nord, France, décédée
le 18 octobre 1900, Wisques, 62219, Pas-de-Calais, France (à
l’âge de 62 ans)
Sources : personne: peds (roglo/A.Brabant/Livre des
Familles du Nord 1937, sept. 2004), famille: aejz (sept 09) site patber33, site
philetmaud
dont:
Sources : famille: fc (13/02/2001), aejz (sept 09) site
patber33
Marié
le 22 janvier 1885, Lille, 59000, Nord, France, avec Thérèse Marie Joséphine
MASSE, née
le 4 février 1864, Lille, 59000, Nord, France, décédée
le 26 avril 1944, Hallines, 62570, Pas-de-Calais, France (à
l’âge de 80 ans)
Sources : personne: fc (13/02/2001), famille: fc
(13/02/2001), aejz (sept 09) site patber33
dont:
Sources : famille: arnaud deries (dec 2002), peds (sept.
2004), aejz (sept 09) site patber33
Mariée
le 5 septembre 1907, Hallines, 62570, Pas-de-Calais, France,
avec Léonce GUILBERT, né en 1880, décédé en 1961
(à l’âge de 81 ans)
Note
: Chevalier de la Légion d'honneur. Croix de Guerre 1914/1918.
Sources : famille: arnaud
deries (dec 2002), peds (sept. 2004), aejz (sept 09) site patber33
.
Note
: ??ou mort en 1918 (FC)
Sources : famille: aejz (sept
09) site patber33
Mariée
le 4 novembre 1909, Hallines, 62570, Pas-de-Calais, France, avec
Maximilien Joseph Paul
Auguste FROISSART, né
le 5 mars 1883, Saint-Omer, 62500, Pas-de-Calais, France, décédé
le 25 mai 1956, Wizernes, 62570, Pas-de-Calais, France (à l’âge
de 73 ans)
Sources : famille: aejz (sept 09) site patber33
.
Sources : personne: fc (13/02/2001), famille: ldf 1995
Mariée
avec Jean DEVAUX, né en 1883, décédé en 1971
(à l’âge de 88 ans)
Sources : famille: ldf 1995
.
Note
: ou morte en 1965 (FC)
Sources : famille: aejz (sept
09) site patber33
Mariée
le 2 avril 1913, Hallines, 62570, Pas-de-Calais, France, avec Jean FROISSART, né le 16 juillet 1884,
Amiens, 80000, Somme, France, décédé le 20 juillet 1918, Combat
de La Montagne de Paris - Nesles-la-Montagne, 02400, Aisne, France (à l’âge de
34 ans)
Note
: Adjudant au 365°RI Mort pour la France
Sources : personne: hfe sept2009
cf SGA, famille: aejz (sept 09) site patber33
.
Sources : famille: vtrd (jhf avril 2005) - Baillescourt et
la famille Proyart par Fernand Decroix et Pierre Daudruy - 1957
Marié
le 5 mai 1920, Tourcoing, 59200, Nord, France, avec Marie Augustine
Françoise Philomène Sophie LEURENT,
née le 17 septembre 1894, Tourcoing, 59200, Nord, France,
décédée le 17 mars 1983, Hallines, 62570, Pas-de-Calais, France
(à l’âge de 88 ans)
Sources : famille: vtrd (jhf avril 2005) - Baillescourt et
la famille Proyart par Fernand Decroix et Pierre Daudruy - 1957
.
Sources : famille: aejz (déc 07) ldf 05
Marié
avec Simone DERVAUX, née en 1899, décédée en 1985
(à l’âge de 86 ans)
Sources : famille: aejz (déc 07) ldf 05
.
Sources : famille: aejz (sept 09) ldf 05, site patber33
Marié
le 23 avril 1924, Amiens, 80000, Somme, France, avec Elisabeth CHOQUET, née en 1900, décédée en 1992
(à l’âge de 92 ans)
Sources : famille: aejz (sept 09) ldf 05, site patber33
.
Sources : famille: aejz (sept 09) site patber33, site
philetmaud
Marié
le 26 octobre 1866, Saint-Omer, 62500, Pas-de-Calais, France,
avec Louise Léontine
MASQUELIER, née
le 25 novembre 1847, Lille, 59000, Nord, France, décédée
le 30 juillet 1932, Tournai, 7500, Tournai, Province de Hainaut,
Belgique (à l’âge de 84 ans)
Sources : famille: aejz (sept 09) site patber33, site philetmaud
dont:
Sources : famille: aejz (sept 09) site patber33, peds
(roglo/A.Brabant/Livre des Familles du Nord 1937, sept. 2004)
Mariée
le 14 mai 1832, Lompret, 59840, Nord, France, avec Alexandre Benoît Joseph
DAMBRICOURT, né
le 19 février 1798, Lille, 59000, Nord, France, décédé
le 18 décembre 1837, Lille, 59000, Nord, France (à l’âge de 39
ans)
Sources : famille: aejz (sept 09) site patber33, peds
(roglo/A.Brabant/Livre des Familles du Nord 1937, sept. 2004)
,
...
Marié
avec Elisabeth Victoire
LAVOCAT, née
en 1775, décédée
Sources : famille: aejz (sept 09) site patber33
.
Sources : famille: aejz (sept 09) site patber33, site
philetmaud, site roglo
Marié
le 18 juillet 1796, Lille, 59000, Nord, France, avec Angélique LAGACHE, née en 1772, décédée en 1842
(à l’âge de 70 ans)
Sources : famille: aejz (sept 09) site patber33, site
philetmaud, site roglo
dont:
Sources : famille: aejz (sept 09) site patber33, peds
(roglo/A.Brabant/Livre des Familles du Nord 1937, sept. 2004)
Marié
le 14 mai 1832, Lompret, 59840, Nord, France, avec Arthémise DAMBRICOURT, née le 11 juin 1805,
Saint-Omer, 62500, Pas-de-Calais, France, décédée
le 3 septembre 1895, Hallines, 62570, Pas-de-Calais, France (à
l’âge de 90 ans)
Sources : famille: aejz (sept 09) site patber33, peds
(roglo/A.Brabant/Livre des Familles du Nord 1937, sept. 2004)
dont:
Sources : famille: aejz (sept 09) site patber33
Marié
le 1er septembre 1856, Saint-Omer, 62500, Pas-de-Calais, France,
avec Marie Virginie
DAMBRICOURT, née
le 3 août 1834, Blendecques, 62575, Pas-de-Calais, France,
décédée le 10 mars 1912, Saint-Omer, 62500, Pas-de-Calais,
France (à l’âge de 77 ans)
Sources : famille: aejz (sept 09) site patber33
dont:
Sources : famille: aejz (sept 09) ldf 05, site patber33
Mariée
le 10 mai 1880, Hallines, 62570, Pas-de-Calais, France, avec Paul DROULERS, né en 1856, décédé en 1931
(à l’âge de 75 ans)
Sources : famille: aejz (sept 09) ldf 05, site patber33
,
...
Sources : personne, famille: ldf 1995
Mariée
avec Maurice BEIRNAERT, né en 1880, décédé, Notaire
Sources : personne, famille: ldf 1995
.
Sources : personne, famille: fc (22/02/2001)
Marié
avec Madeleine MORAEL
Sources : famille: fc (22/02/2001)
.
Sources : famille: aejz (sept 09) ldf 05, site patber33
Mariée
en 1891, Hallines, 62570, Pas-de-Calais, France, avec Maurice Ambroise
PARENTY, né
le 14 décembre 1864, Guînes, 62340, Pas-de-Calais, France,
décédé en 1951 (à l’âge de 87 ans)
Sources : famille: aejz (sept 09) ldf 05, site patber33
.
Sources : famille: aejz (sept 09) ldf 05, site patber33
Marié
avec Fanny Augustine Blanche
Marie van den PEEREBOOM,
née en 1883, décédée en 1958 (à l’âge de 75 ans)
Sources : famille: aejz (sept 09) ldf 05, site patber33
.
Note
: Il existe une autre Céline Dambricourt-Dambricourt similaire (épouse
Droulers)
Sources : famille: aejz (sept 09)
site lefebvre4, site patber33
Mariée
le 28 décembre 1854, La Madeleine, 59110, Nord, France, avec Benjamin Alexandre
Auguste BERNARD, né
le 30 mars 1824, Lille, 59000, Nord, France, décédé
le 31 mai 1862, Vichy, 03200, Allier, France (à l’âge de 38 ans)
Sources : famille 1, famille 3: aejz (juil 08) site
lefebvre4, famille 2: aejz (sept 09) site lefebvre4, site patber33
,
...
Sources : personne: peds (roglo/A.Brabant/Livre des
Familles du Nord 1937, sept. 2004), famille: aejz (sept 09) site patber33, site
philetmaud
Mariée
le 14 mai 1861, Lille, 59000, Nord, France, avec Géry Julien DAMBRICOURT, né le 18 janvier 1839,
Saint-Omer, 62500, Pas-de-Calais, France, décédé
le 9 novembre 1861, Saint-Omer, 62500, Pas-de-Calais, France (à
l’âge de 22 ans)
Sources : personne: peds (roglo/A.Brabant/Livre des
Familles du Nord 1937, sept. 2004), famille: aejz (sept 09) site patber33, site
philetmaud
,
...
Sources : famille: aejz (sept 09) site patber33
Mariée
avec Louis Albert BELLART, né en 1796, décédé en 1864,
Hallines, 62570, Pas-de-Calais, France (à l’âge de 68 ans)
Sources : famille: aejz (sept 09) site patber33
.
Sources : personne: mv(dec01), famille: aejz (sept 09) site
patber33,
Marié
le 18 novembre 1807, Saint-Omer, 62500, Pas-de-Calais, France,
avec Catherine Constantine
Joséphine MAES, née
le 19 décembre 1788, Saint-Omer, 62500, Pas-de-Calais, France,
décédée le 3 mars 1879, Paris, 75000, Paris, France (à l’âge de
90 ans)
Sources : personne: mv(dec01), famille: aejz (sept 09) site
patber33,
dont:
Sources : personne: mv(dec01), famille: aejz (sept 09) site
patber33
Marié
le 23 juin 1840, Paris, 75000, Paris, France, avec Rosalie DELECLUSE, née
le 18 décembre 1822, décédée le 25 juillet 1885,
Villers-sur-Mer, 14640, Calvados, France (à l’âge de 62 ans)
Sources : personne: mv(dec01), famille: aejz (sept 09) site
patber33
dont:
Note
: Lieu de naissance (mv oct 2001): Vaux (S et O) ??? Seine et Oise,
probablement Vaux sur Seine (78) à confirmer
Sources : personne, famille:
mv (oct 2001)
Mariée
le 6 juillet 1864, Paris, 75000, Paris, France, avec Victor Louis Amédée
VERLEY, né
en 1839, décédé en 1911 (à l’âge de 72 ans)
Sources : personne, famille: mv (oct 2001)
,
...
Sources : famille: aejz (sept 09) site patber33
Marié
le 14 novembre 1716, Rollancourt, 62770, Pas-de-Calais, France,
avec Marie Antoinette WARIN, née en 1683, Rollancourt, 62770,
Pas-de-Calais, France, décédée le 12 avril 1738 (à l’âge de 55
ans)
Sources : famille: aejz (sept 09) site patber33
dont:
Sources : famille: aejz (sept 09) site patber33
Mariée
le 20 mai 1742, Auchy-les-Hesdin, 62770, Pas-de-Calais, France,
avec Sylvain DESPLANQUES, né en 1714, décédé
le 21 décembre 1790, Auchy-les-Hesdin, 62770, Pas-de-Calais,
France (à l’âge de 76 ans)
Sources : famille: aejz (sept 09) site patber33
.
Total:
62 personnes (conjoints non compris).