- Alain
Watine-Ferrant descend des Prouvost
dits des Huchons par Piat de
LAOUTRE, né à croix vers 1540, bourgeois de Lille par achat du 07/09/1565,
demeurant à Flers, cité dans un bail du 15/12/1751 (AML 12153), ayant 5 enfants
connus (je descends de Lion), Piat est marié avec Antoinette de LANNOY et est
fils de :
- Jehan de
LAOUTRE, né vers 1500 épouse Jehenne PROUVOST: AMR AA9 A°1525 : “ Jehan de
LAOUTRE, à cause de Jehenne PREVOST sa femme, fille de feu Jehan : 6 cents de
terre tenant à la ruelle du Moulin de Biaurewart” (Beauregard)
- Jehenne
PROUVOST est fille de Jehan dit des Huchons, né à Lannoy
vers 1380, échevin de
Roubaix, décédé avant 1491 : dit
“l’aîné”, alias Haquin. Jehenne est
fille de :- Jacquemart,
dit des Huchons, né vers 1365 qui épouse N des Barbieux. Il est le fils de :
- Huars, alias
Huchon, PROUVOST, dit des Huchons qui épouse isabeau X. (On remarque que Huars, Huchon, Hugues, Hue
etc.. sont des graphies différentes du même prénom. Les “Huchons” à Roubaix
sont-ils simplement une cense où se sont succédés les membres d’une famille où
l’on donnait le prénom Huchon de père en fils, ou a-t-on continué à appeler les
enfants du prénom accolé de leur père et grand père ?). D’ailleurs, les
premières mentions de ces PROUVOST portent : Jakemart PROUVOST dit Huchon ainsi
que pour ses fils Ghillebin et Hacquin (AMR AA8 Brief de 1424 et successions
postérieures). Cà n’est que dans le Brief de 1491 qu’on voit apparaître le
terme : “dit des Huchons”pour Jehan et Guilbert. Rappelons que la cense nommée
plus tard “Huchon” était située à peu près en face de l’Hôpital Victor PROVO
actuel à l’emplacement (le plus haut de Roubaix) »
Piat de Laoutre a eu Roland de Laoutre (1605-23/02/1662) marié à
Philipotte Flameng ; ils ont une très nombreuse descendance ( plus de
38.000)
Alain Watine-Ferrant en descend aussi par Martine Prouvost (dit des
Huchons) épouse de Cornille de le Rue.
Et voici, par exemple, comment les Charles Prouvost-Masurel s’y rattachent:
Huars, alias Huchon, Prouvost, dit des Huchons qui épouse Isabeau
X.
|
- 2 Jacquemart Prouvost, dit des Huchons,
né vers 1365 qui épouse N des Barbieux
|
3 Guilbert Prouvost, dit des Huchons,
propriétaire à Roubaix en 1458
|
4 Jehan dit des Huchons, dit “l’aîné”, alias Haquin, né à Lannoy vers
1445-1525, échevin de Roubaix
|
5 Jehenne Prouvost (v 1485-a1545)
épouse Jehan de LAOUTRE, né vers
1500 AMR AA9 A°1525
|
- 6 Piat de LAOUTRE,
né à
croix vers 1540, bourgeois de Lille par achat du 07/09/1565, demeurant à
Flers, |
|
|
17 Eugénie Pauline
Masurel 1881-1926
&1900 Charles Prouvost
1875
18 Charles Prouvost
1900
Jehan Delaoutre, né en 1540, décédé en 1580 (40
ans), lieutenant de Roubaix en 1561, dont
Jean Delaoutre, né en 1580, décédé en 1631 (51
ans), marié avec Marie Deledicque, décédée le 23 novembre 1660, Croix, dont
Roland Delaoutre, né en 1605, décédé le 23 février 1662, Croix (57 ans),
censier de l'Espeisse à Croix.
marié avec Philippotte Flameng, née le 6 juillet 1607, Roubaix,
Nord, décédée le 3 juin 1648, Croix, Nord (40
ans), dont
Pétronille Delaoutre, née le 19 novembre 1628, décédée
après 1686, mariée avec Pierre de Lannoy.
Jeanne Delaoutre, née vers 1630,
décédée, mariée avec Jean Prouvost.
Catherine Delaoutre, née le 9 janvier 1644, Croix ,
décédée en 1700 (56 ans), mariée le 14 septembre 1663, Croix,
avec François Mathon, né le 24 avril 1643, Croix, décédé
le 28 février 1694, Roubaix (50
ans).
Isabelle de Laoustre, née le 17 février 1647, Croix, Nord, décédée le 17 janvier 1729, Croix, Nord (81 ans), mariée le 24 juillet 1665, Croix , avec Jean de Calonne, né le 22 septembre 1642, Croix , décédé en 1720, Croix (78 ans).
La descendance connue actuelle est issue de Jean de Laoutre,
né le 15 septembre 1695, Roubaix,
Nord, décédé le 23 décembre 1788, Roubaix,
Nord (93 ans), marchand, marié le 22 janvier 1720, Roubaix,
Nord, avec Marie Marguerite Roussel,
Floris Marie Joseph Delaoutre, né le 21 juillet 1752, Roubaix,décédé
le 2 mai 1819, Roubaix (66
ans), négociant, maire de Roubaix, marié
le 3 mai 1774, Roubaix, Nord,
avec Marie Françoise Bulteau,
Hyacinthe Delaoutre, née le 18 mars 1808, Roubaix,décédée
le 14 octobre 1844,
Roubaix (36 ans), mariée le 9 avril 1826, Roubaix,avec Antoine Charles Yon, père de joséphine, Madame
Amédée l Prouvost
Alphonsine Delaoutre, née le 28 février 1810, Roubaix,décédée
le 11 janvier 1863, Roubaix (52
ans), mariée le 4 mai 1829, Roubaix,avec Alphonse-Pierre Vernier, né le 24 juin 1805, Lille, décédé le 16 novembre 1863, Roubaix
(58 ans), filateur,
Justine Julie Delaoutre, née le 28 août 1844, Roubaix,décédée
en 1920, Roubaix (76 ans), mariée
avec Edouard François Duthoit, né le 12 août 1835, Roubaix,décédé
le 10 avril 1920, Roubaix (84 ans), notaire.
Jean Delaoutre, né en 1918, marié avec Annie Wallaert.
Philippe Delaoutre, marié
avec Myriam Broudehoux, dont 1) Alexandre Delaoutre, né
en 1973, marié avec Julie Schwab, dont Salomé Delaoutre, né en 2000. Robinson Delaoutre, né en 2002. Augustin Delaoutre, né en 2004. 2)
Benjamin Delaoutre.
Lionelle Delaoutre, née en 1919, mariée
avec Aymar Robert, marquis de Lézardière, né
en novembre 1917, Nantes, 44, décédé en novembre 1995, La
Chapelle Glain, 44 (78 ans), peintre-graveur,
Né à Nantes en 1917, les premières années de sa vie son marquées par le contexte rural des propriétés familiales de Poitou et de Vendée. Après une formation artistique aux Beaux-arts de Tours, l'artiste s'inscrit aux Beaux-arts de Paris en 1941. Son tempérament de dessinateur, son goût de la nature et de la solitude lui font peu à peu délaisser la gouache et la peinture pour se consacrer au dessin et à la gravure (pointe-sèche, puis eau-forte mêlée de pointe-sèche) qui lui permettent de traduire sa sensibilité de paysagiste.
Eutrope-Benjamin-Charles-Athanase Robert, vicomte de Lézardière,
né le 1er mai 1777 à Poiroux et décédé le 31 octobre 1866 au même lieu, était
un homme politique français. Né à Nantes en 1917, les premières années de sa
vie son marquées par le contexte rural des propriétés familiales de Poitou et
de Vendée. Après une formation artistique aux Beaux-arts de Tours, l'artiste
s'inscrit aux Beaux-arts de Paris en 1941. Son tempérament de dessinateur, son
goût de la nature et de la solitude lui font peu à peu délaisser la gouache et
la peinture pour se consacrer au dessin et à la gravure (pointe-sèche, puis
eau-forte mêlée de pointe-sèche) qui lui permettent de traduire sa sensibilité
de paysagiste.
Eutrope-Benjamin-Charles-Athanase Robert, vicomte de Lézardière,
né le 1er mai 1777 à Poiroux et décédé le 31 octobre 1866 au même lieu, était
un homme politique français.
Famille : Il est le fils du baron Louis-Jacques-Gilbert
Robert de Lézardière et de Charlotte Babaud de la Chaussade (nièce de Pierre
Babaud de la Chaussade et de Paul Boësnier de l'Orme), ainsi que le frère cadet
du Joseph-Alexis de La Lézardière.
Guerres de Vendée
Contrairement à son père qui était contre-révolutionnaire, le
vicomte de Lézardière est un libéral. Il est toutefois opposé à la Révolution
française et doit se réfugier à Choisy-le-Roi pendant la Terreur. Un de ses
frères périt assassiné pendant les massacres de Septembre. Il suit le procès de
Louis XVI en janvier 1793 aux côtés de Malesherbes.
En 1794 il revient en Vendée, où le château familial a été
brûlé. En septembre, il rejoint l'armée de Charette dont il devient l'aide de
camp. Il participe ainsi à la Bataille de Fréligné.
En 1795, il est de tous les combats aux côtés de Charette.
Capturé et blessé l'année suivante par les Républicains, La
Lézardière est traduit en conseil de guerre. Il aurait été fusillé sans
l'intervention d'un certain grenadier Théodore, qui prend sa défense car il lui
devrait la vie, tout comme six autres soldats républicains. Le ci-devant
vicomte n'est finalement condamné qu'à la déportation.
Transféré à l'île de Ré, il est alors accusé d'avoir émigré et
est envoyé devant une commission militaire à Fontenay-le-Comte. Cette fois
c'est sa sœur qui le sauve en apportant les pièces prouvant son innocence.
Envoyé à Caen pour être soigné, le jeune homme s'évade et rejoint son père en
Allemagne.
Sous Napoléon et Louis XVIII
La Lézardière revient en France sous le Consulat et ne fait
guère parler de lui sous Napoléon Ier. Il fréquente les cercles favorables à
l'instauration d'une monarchie constitutionnelle.
A la Restauration, tandis que son frère est élu député
ultra-royaliste de la Vendée, il doit se contenter de la croix de Saint-Louis
et du grade de chef d'état-major des gardes nationales vendéennes.
Député de la Vendée (1824-1827)
Président du collège électoral des Sables-d'Olonne, il est élu
député de la Vendée le 25 février 1824, par 121 voix sur 172 votants. Il siège
avec les monarchistes constitutionnels. En juillet 1824, il se signale à la
tribune en réclamant la réduction de l'impôt foncier et l'assouplissement des
droits protecteurs. Il est membre de la commission chargé d'examiner le projet
de loi sur le milliard aux émigrés. Le 24 mars 1825, il est le rapporteur de la
loi sur les communautés religieuses. En 1827, il est membre de la commission du
budget.
À plusieurs reprises au cours de son mandat, La Lézardière
s'oppose au ministère Villèle et intervient pour défendre le Charte de 1814. Il
s'élève contre la censure et accuse le gouvernement de désaffectionner la
monarchie.
Préfet de la Mayenne
Lors des élections de novembre 1827, le vicomte de La Lézardière
refuse de s'allier à la gauche et perd son siège. Toutefois en 1828, le
ministère Martignac lui confie la préfecture de la Mayenne. Mais il est
destitué au bout de quelques mois par le cabinet ultra-royaliste de Jules de
Polignac.
Député de la Mayenne (1830-1831)
Le 13 juillet 1830, il est élu député de la Mayenne par 199 voix
sur 359. S'il s'oppose aux Ordonnances de Saint-Cloud, il n'est pas favorable
au renversement de Charles X. Il se montre méfiant mais non hostile vis-à-vis
de la Monarchie de Juillet. En 1831, il intervient à la tribune pour se
prononcer contre l'exil forcé de la branche aînée des Bourbon.
Fin de carrière
Non-réélu lors des élections générales de 1831, il refuse
ensuite la proposition de Louis-Philippe Ier de devenir préfet du Nord.
La Lézardière revient sur la scène politique en 1848, lorsqu'il
devient conseiller général du canton de Talmont. La même année, il est pour
quelques mois président du Conseil général de la Vendée.
Il rentre ensuite dans la vie privée et meurt à l'âge de 89 ans
en 1866. Il était alors l'un des derniers survivants des Guerres de Vendée.
« Charles de La
Lézardière » , dans Robert et Cougny, Dictionnaire des parlementaires français,
1889 » Wikipedia
Jusqu'à la 6e génération.
Jean de Laoutre, né le 15 septembre 1695, Roubaix,
Nord, décédé le 23 décembre 1788, Roubaix,
Nord (à l'âge de 93 ans), marchand.
Marié le 22 janvier 1720, Roubaix,
Nord, avec Marie Marguerite Roussel, née le 23 août 1694, Roubaix, Nord,
décédée avant 1749, dont
Marié le 6 février 1781, Roubaix,
Nord, avec Ursule Angélique Jacobine Defrenne, née
le 19 juin 1761, Roubaix
(Nord), décédée le 25 octobre 1807, Roubaix
(Nord) (à l'âge de 46 ans), dont