Flandre, Artois,
Hainaut, Cambrésis.
Armes: de
Gueules à 3 bandes d’argent ; Devise "Le droit chemin de LE SALLE et
Servir Dieu, ma Dame, mon Droit" ; cri: "Marcq".
Confirmation de
noblesse par lettres de Charles II d’Espagne (Madrid le 15-7-1667)
Auguste
Delesalle, créé
marquis romain, par bref pontifical du 12 décembre 1860,
titre
héréditaire confirmé par bref de 1890 à son frère Henri-Charles Delesalle,
Marquis romain, par bref pontifical du 24 février 1890, en confirmation du
titre conféré à son cadet.
Gérard de Le
Salle, (1919- Saint Omer), prince romain, par bref du 10 mars 1951,
(Leuridan,
histoire de la Maison de Le Salle ; Demay ; Rosny ;
Ternas ;
Heckenrode ; Nord 27H30 ; B1104 ; 130H36 …)
Le nom, celui
d'un fief allodial en la châtellenie de Lille, est connu des le XI" siècle.
Jehan de Le
Salle combattit a Hastings en 1066.
Henri, Jehan, se
croisèrent en 1188, 1198.
Simon de Le
Salle, chevalier, fut gouverneur de Crèvecœur en 1250.
Jehan de le
Salle était pair de la cour féodale de la Salle de Lille en 1291;
Bernard, Gilles,
chevaliers, sont cites en 1340 et 1400 ;
Baudouin de Le
Salle fut fait prisonnier à Azincourt;
Tassart de Le
Salle était en 1518 échevin de Valenciennes;
Pierre de Le
Salle reçut le 5 novembre 1555 des lettres de chevalerie de Charles Quint.
Ligne citée à
Aubers dès 1415, dont
La descendance :
Denis de Le
Salle, écuyer
ca 1539
écuyer , seigneur du Vert Bois, de
Rochecervière et de Beauvoir
Homme d'armes dans une Compagnie de Charles
Quint.
Ascendance antérieure non prouvée.
De gueules à trois bandes d'argent.
Devise "Le droit chemin de LE SALLE et
Servir Dieu, ma Dame, mon Droit"
cri: "Marcq"
&ca 1565
Adrienne de
Marquillies
|
Mathieu de Le
Salle, écuyer
ca 1567-ca 1630
Censier à Herlies.
Propriétaire d'une brasserie à Pradelles
(entre Bailleul et Hazebrouck) maître brasseur, censier à Herlies, échevin
d'Aubers de 1592 à 1628.
&
Claire Cuvelier
1560-1615
|
Denis de Le
Salle 1591-1630
fut l’aïeul de
Joseph Auguste Delesalle (1773-1838)
Il fit au 3e
Régiment de Dragons une brillante carrière interrompue par une blessure en
Espagne en 1811.
Il commanda ensuite la citadelle de Lille puis celle de Hesdin, prit sa
retraite avec le grade de lieutenant-colonel et s'établit fabricant de sarraus
à Lille. Nommé Chevalier de l'Empire français en 1810, Officier de la Légion
d'Honneur, Chevalier de Saint-Louis, il a publié en 1799 sous le titre
"Cent heures d'agonie" le récit de sa captivité pendant la campagne
de Syrie et de son évasion romanesque. Maître brasseur à la
Boutillerie.
Son frère est Pierre
de Le Salle (vers 1625-1667), écuyer, seigneur de Terramesnil, de La Tour,
de Foulleng et du Vert Bois, Cornette de Chevau-légers, Mort en août 1667 à
Lille des suites des blessures reçues lors du siège de Lille par les troupes de
Louis XIV, Inhumé à l’église d’Aubers, Confirmation de noblesse par lettres de
Charles II d’Espagne ( Madrid le 15-7-1667).
Son frère Floris
de Le Salle, seigneur du Vert-Bois, Echevin de 1622 à 1659, Possède 2
manoirs et une brasserieHabite le manoir-haras de la Rouge-Tour à Aubers-Empire
et fait de l’élevage de chevaux comtois.
&1611
Anne Le Cocq
1590-1638/
|
Pierre de Le
Salle 1630-1692
Notaire royal, maître brasseur
&1652
Marie Magdeleine
Le Saffre 1630-1692
|
Pierre de Le
Salle 1655-1740
&
Jacqueline du
Jardin 1661
|
Pierre de Le
Salle 1685-1766
Echevin du Pays de l'Alleu en 1721, à
Laventie en 1737 en qualité de commis au brandevin et en 1739-40 comme sergent
de l'Abbaye de Saint-Waast d'Arras.
Marchand de toile à Fleurbaix en 1741, maître
blanchisseur de toile à Steenwerck en 1747 et à La Gorgue en 1755.
&1711
Marie Marguerite
Ruyant 1683/-/1747
|
Jean François
Delesalle 1721-1780
&1747
Catherine
Lenglart 1726-1764
|
Jean François
Delesalle 1749-1794,
fixé a Lille en 1781, &1786
Jeanne Garez
1753-1839
|
Joseph Aimé
Delesalle, né le 1er décembre 1792,
Lille, décédé le 5 avril 1847,
Lille (54 ans), filateur de coton et de lin,
fondateur de
Delesalle-Desmedt,
Président de la Chambre de
Commerce.
Conseiller Général du Nord.
Président du comité des filateurs de Lille
Chevalier dans l’Ordre de la Légion d'honneur,
marié le 9 janvier 1815,
Lille, avec Charlotte
Desmedt 1792-1873
D’où trois branches :
Branche
ainée Emile Auguste
Delesalle,
né le 25 juin 1820,
Lille, décédé le 31 janvier 1903,
Lille (82 ans), filateur de lin, président du Tribunal de Commerce de
Lille, marié le 12 juillet 1846,
Valenciennes , avec Laure Caroline
Cailliau.
et son ainé
Emile Delesalle (1820-1903), président du Tribunal de commerce et de la Chambre de
Commerce de Lille de 1881 à 1889, membre de la Légion d’honneur
Alfred, Alphonse, qui firent des rameaux.
Les Charles Emile
Delesalle 1850-1923,
filateur, maire de Lille de 1904 à
1919, conseiller général du Nord de 1907 à 1913, Chevalier de la Légion
d'honneur, &1873 Berthe Dubus
1852-1926
Marie Amélie
Delesalle, née le 13 novembre 1884,
Lille, Nord, décédée le 20 mai 1977,
Verlinghem, Nord (92 ans), mariée en 1903 avec Alfred Thiriez,
né le 9 octobre 1871,
Lille, Nord, décédé le 29 janvier 1962,
Paris (90 ans).
Charles
Delesalle, né le 16 avril 1886,
Lille, Nord, décédé le 26 avril 1973,
Paris, inhumé, Groffliers (Pas-de-Calais) (87 ans), filateur de coton, député
du Nord, sénateur du Pas-de-Calais (1934-1944), secrétaire d'Etat au Ministère
de l'Air, marié le 30 janvier 1908,
Lille, Nord, avec Marie Thérèse
Boutemy, née le 31 janvier 1888,
Lille, Nord, décédée le 21 octobre 1978,
Paris, inhumée, Groffliers (Pas-de-Calais) (90 ans).
Fils
d'Emile, Charles Delesalle (1850-1923),
fut maire de Lille de 1912 a 1915, conseiller général du Nord, fit
remarquer son courage et son énergie lors de l’invasion ;
Il épousa Berthe-Henriette-Hortense DUBUS,
née le 18 Juin 1852, Conseiller Municipal en 1906, Charles Delesalle était depuis
huit ans Maire, lorsque la ville de Lille dont on avait négligé de prévoir et
d'assurer la défense, dut, en 1914, subir les prises d'otages, les déportations
de femmes et de jeunes filles, la dévastation, les exactions et les pillages de
l'armée allemande, mais son courage civique, son dévouement patriotique furent
a la hauteur de ces tragiques circonstances, et le pays tout entier leur rendit
hommage: « A l'heure au prend fin le martyre de Lille, et au le drapeau
tricolore flotte de nouveau sur votre Hôtel de Ville, la ville de Paris adresse
aux élus et a la population de la noble cite, son salut fraternel. D'un coeur
profondément ému, elle s’est associée a vos épreuves, si héroïquement
supportées, et vous félicite du courage, dont vous personnellement, Monsieur le
Maire, et taus vos concitoyens n'avez cesse de faire preuve en ces sinistres
années J) (,). « Le Congres des Maires des villes de l'Ouest, réuni au Havre
vous adresse l'expression de sa joie et vous félicite de la libération de votre
ville. Il salue en vous l'admirable administrateur, qui, accomplissant son
devoir, a défendu héroïquement la population» ('). Au cours de sa visite du 21
Octobre aux villes du Nord reconquises, le Président de la République remit a
M. Charles Delesalle la Croix de la Légion d'Honneur. La citation qui
accompagnait cette distinction, parut au Journal Officiel du 10 Novembre suivant
: « Quatorze ans de services civils, titres exceptionnels : A assure la
direction de l'administration municipale de la Ville de Lille pendant toute la
durée de l'occupation allemande. Il s'est acquitte avec un profond dévouement
de sa tache délicate et souvent périlleuse dans des circonstances
particulièrement difficiles. Grace a son action, la vie municipale a pu
continuer malgré les exigences de l'ennemi ». Charles Delesalle avait été nomme
par le roi Albert, Chevalier de l'Ordre de la Couronne de Belgique. D'un
caractère a la fois énergique et bienveillant, Berthe avait vaillamment
supporte les dures années de guerre pendant lesquelles elle fut séparée de son
mari. Présidente de la Société Maternelle de Lille, elle fut également a Paris,
pendant la guerre Présidente de la Fraternelle Lilloise, Œuvre de Secours aux
prisonniers de guerre de la région du Nord.
«
Président du Comite linier, apparenté aux plus notables familles lilloises
(Thiriez, Lienart, Le Blan, Descamps ... ), ce bel homme, arme d'un éternel
cigare, silencieux et attentif, joua un rôle primordial (insuffisamment connu)
durant la Grande Guerre. Quand on dépouille les archives modernes de la ville
de Lille, on est frappe par le zèle et la persévérance - souvent menaces par le
découragement mais n'y cédant jamais - avec lesquels le maire, face a un
occupant arrogant et insatiable, défendit les intérêts de ses administrés. Avec
quelle joie, le 16 octobre 1918, Charles Delesalle put annoncer aux Lillois : «
Enfin, le terrible cauchemar qui pesait sur nous s'est dissipe. Lille est
délivré et le cri si longtemps étouffe sur nos lèvres peut sortir librement :
Vive la France». Joie doublée par celle du père qui, le lendemain, accueillait
sur l'Esplanade le premier avion français d'ou descendait son propre fils, le
capitaine Charles (dit Carl) Delesalle, futur sous-secrétaire d'Etat a l'Air.
Le 21 octobre, Poincaré remit a Charles Delesalle la Légion d'honneur. Charles
et Berthe célébrèrent leurs noces d'or le 16 Mai 1923 ; il mourut le 16 Juillet
suivant dans la demeure qu'ils s'étaient fait construire rue Brule-Maison,
actuellement occupée par le Couvent des Dominicains, Berthe le suivit dans la
mort le 12 Octobre 1926. Ils avaient eu deux enfants : (I) Télégrammes adressés
à Charles Delesalle, le 15 Octobre 1918 par le Président du Conseil Municipal
de Paris et le Congres des maires de l'Ouest.
son fils Charles Emile Delesalle(1886-1973)
Né le 15 avril 1886 à Lille ,
Décédé le 26 août 1973 à Paris
Député du Nord de 1919 à 1928,
Député du Pas-de-Calais de 1928 à 1934, Sénateur du Pas-de-Calais de 1934 à
1944, Sous-Secrétaire d'Etat à l'air du 27 octobre 1933 au 30 janvier 1934,
officier de la Légion d’honneur, fut sous-secrétaire d’état. Il épousa Thérèse BOUTEMY, fille de Jules et
de Nella Barrois, sans postérité. Il épousa Thérèse BOUTEMY, fille de Jules et
de Nella Barrois, sans postérité.
Charles Delesalle
appartient à une vieille famille de filateurs de lin de la Madeleine-les-Lille
. Son
grand-père, Emile
Delesalle, fut président du tribunal de commerce et de la
Chambre de commerce
de Lille, de 1881 à 1889 ; son père, Charles Delesalle
(1850-1929) fut
président du Comité linier, maire de Lille de 1904
à 1919 et conseiller général
du Nord (canton de Lille Nord-Est) de 1907 à 1913. Après
des études secondaires
au collège Saint-Joseph de Lille, Charles Delesalle obtint une
licence de
sciences à la Faculté.Dès 1908, 22 ans, il est
élu conseiller municipal de la
Madeleine sur une liste d’Union républicaine et
porté à la mairie le 17 mai
1908 ; il est réélu en 1912. Aux élections
générales législatives des 26 avril
et 10 mai 1914, il tente d’arracher le siège de Gustave
Delory, qu’il ne
parvient qu’à mettre en ballottage, dans la
troisième circonscription de Lille.
Ayant accompli son service militaire au 43ème régiment
d’infanterie, il est
mobilisé en 1914 comme sergent et prend part aux attaques
d’Ypres en 1914 et
1915 ; puis, il est attiré par l’aviation et passe, en
avril 1916, dans l’arme
nouvelle, où sa conduite est très brillante. Promu
sous-lieutenant, il est
notamment cité le 8 mars 1917 pour avoir accompli plus de 50
opérations de
chasse ou de reconnaissance dans les lignes adverses; il termine la
guerre
comme capitaine, chef d’escadrille, avec 6 citations dont 4
à l’ordre de
l’armée, et la croix de la Légion d’honneur
à titre militaire (5 novembre
1917). Il est le premier officier allié à rentrer
à Lille atterrissant le 17
octobre 1918 sur l’esplanade, où il retrouve son
père, maire de la cité, qu’il
n’avait pas revu depuis quatre ans. Il rétablit du
même coup les communications
postales de la ville libérée avec le reste de la France.
Candidat aux élections
générales législatives du 16 novembre 1919, sur la
liste de la Fédération
républicaine du Nord, il est élu député du
Nord par 136 913 voix sur 374 022
votants, puis réélu sous la même étiquette
le 11 mai 1924, ayant obtenu 120 735
voix, sur 451.028 votants. A la Chambre, où il s’inscrit
au groupe de la Gauche
républicaine démocratique, il est vice-président
de la Commission des douanes
et membre de la Commission des régions libérées
où il se signale par ses
interventions en faveur des sinistrés du Nord, de la Commission
des comptes
définitifs et des économies, de la Commission du commerce
et de l’industrie et
de celle des affaires étrangères. A Lille, il
présente aux élections
municipales de 1925 une liste d’Union républicaine qui est
battue par la liste
socialiste. Il change alors de circonscription législative : le
29 avril 1928
(scrutin de ballottage), c’est dans le Pas-de-Calais
(circonscription de
Montreuil), qu’il est réélu député. A
ses activités d’industriel, s’ajoutent,
en effet, des intérêts agricoles dans le Pas-de-Calais,
dont il préside la
Fédération des sociétés
d’agriculture. Il obtient son siège par 10 114 voix
contre 8 171 à M. Dupuich, sur 18 906 votants. La même
circonscription le
renvoie à la Chambre au premier tour des élections
générales du 1er mai 1932 ;
par 11 597 voix, contre 4 939 à M. Delattre, sur 20 256 votants.
Il est inscrit
au groupe de la Gauche radicale, membre des Commissions de l’air
et des
finances, et rapporteur du budget de l’air. Ses brillants
états de service et
sa compétence le fout désigner comme
sous-secrétaire d’Etat à l’air dans le
premier cabinet Albert Sarraut (27 octobre-26 novembre 1933), puis dans
le
deuxième cabinet Camille Chautemps (26 novembre 1933 - 30
janvier 1934). Son
activité parlementaire est intense. Auteur d’une
proposition de résolution
tendant à inviter le gouvernement à ne prendre aucun
décret limitant au
supprimant l’importation ou l’exportation de certains
produits sans avoir
consulté les corporations intéressées (1920), il
est chargé de rapporter la
proposition dé résolution concernant l’application
de l’article 47 de la loi du
17 avril 1919 sur la cession des droits à indemnité pour
les sinistrés (1920),
et d’émettre un avis sur le projet de loi relatif au
régime fiscal dans les
régions occupées (1920) ainsi que sur le projet de loi
modifié par le Sénat,
sur l’établissementd’un régime transitoire pour la perception des impôts dans
les régions libérées (1921). Il intervient au cours des discussions des budgets
des exercices 1920, 1921, 1922 et 1923, en faveur des régions libérées. Il se
fait entendre en outre dans différents débats portant sur : le projet de loi
portant création de nouvelles ressources fiscales (1920); le projet de loi sur
le régime transitoire clé perception des impôts dans les régions libérées (1920
et 1921) ; le projet de loi accordant des avantages de carrière aux
fonctionnaires mobilisés (1922) ; le projet de loi sur le régime des bouilleurs
de cru (1923) ; le projet, de loi créant de nouvelles ressources fiscales
(1924). Il demanda à interpeller le gouvernement : sur la crise de chômage
(1920); sur la reprise des relations diplomatiques avec 1a Russie (1922) ; sur
l’augmentation du tarif marchandise des chemins de fer (1924). Durant son
deuxième mandat (19241928), il dépose une proposition de loi tendant à
appliquer un coefficient de majoration au droit spécifique sur la margarine
(1926), qu’il est chargé de rapporter (1927). Il participe à la, discussion :
du projet de loi instituant une contribution nationale exceptionnelle pour
l’amortissement de la dette publique (1926) ; du projet et des propositions de
loi tendant au redressement financier, à l’équilibre du budget de l’exercice
1926 et à la réforme du régime des taxes successorales (1926) ; il demande en
outre à interpeller le Gouvernement : sur sa politique douanière et ses
conséquences (1924) ; sûr les manifestations qui se sont produites lors de
l’inauguration de l’ambassade des Soviets (1924) ; sur les mesures à prendre
contre la propagande communiste et les incidents qui ont eu lieu dans lé Nord
(1925).Au cours de son troisième mandat (1928-1932), il rapporte le budget du
Commerce et de l’industrie de l’exercice 1931-1932 (1930) ainsi que celui de
l’air de l’exercice 1932 (1931). Il intervient dans la discussion : du projet
de loi relevant les droits de douane et diminuant les droits de consommation
sur les sucres (en qualité de rapporteur pour avis 1929) ; du projet de loi
portant dégrèvement d’impôts (1930) ; du projet de loi tendant à l’amélioration
du marché des vins (1930) ; du projet de loi portant participation de la France
aux expositions d’Anvers et de Liège (1930) ; du projet de loi tendant au renforcement
de la protection douanière et à la modification de l’admission temporaire des
sucres (1931) ; du projet de loi modifiant le tarif douanier pour certaines
catégories de papier (en qualité de rapporteur pour avis, 1931) ; du projet de
loi portant ouverture d’un crédit pour élever un monument à Douglas Haig (en
qualité de rapporteur pour avis, 1931) ; du projet de loi sur la viticulture et
le commerce des vins (1931) ; du projet de loi sur l’outillage national (1931)
; et il demande à interpeller le gouvernement sur l’orientation de sa politique
douanière (1929), il développe cette interpellation en 17930 ; sur
l’orientation de sa politique aérienne (1932) ; sur la nouvelle organisation du
ministère de la défense nationale et la suppression des ministères de la marine
et de l’air (1932). De 1932 à 1934 (date de son élection au Sénat), il rapporte
le budget du ministère de l’air de l’exercice 1933, et se fait entendre dans la
discussion : d’interpellations sur l’aéropostale (1932), du projet et des propositions
de loi portant assainissement du marché du blé (1933) ; des interpellations
relatives à la régie des tabacs (1933) ; du projet de loi portant programme de
travaux concernant la défense nationale (1934) ; du projet de loi tendant à
l’organisation et à la défense du marché du blé (1934) ; du projet de loi
tendant à l’assainissement du marché du vin (1934) ; il demande en outre à
interpeller le Gouvernement sur les mesures qu’il compte prendre pour assurer
l’application de la loi sur le blé (1933). A la fin de l’année 1934, il quitte
la Chambre pour le Sénat en se faisant élire sénateur du Pas-de-Calais, à la
faveur d’une élection partielle, le 23 décembre 1934. Il obtient au deuxième
tour de scrutin 1 220 voix sur 2 097 votants ; il s’inscrit à la gauche
démocratique et radicale. Il est réélu lors du renouvelle ment du 20 octobre
1935 par 1 148 voix sur 2 134 votants, au premier tour de scrutin. Membre de la
Commission de l’air, de celle de la marine, il intervient dans la discussion de
la loi de finances de l’exercice 1936 (culture du lin) et sur le budget du
ministère de l’air.Le 10 juillet 1940 à Vichy, il fait partie de la majorité
oui vote les pleins pouvoirs au maréchal Pétain.Après la guerre, le
renouvellement politique du 23 novembre 1958 le ramène à la vie publique. Il se
présente comme candidat de concentration républicaine dans la quatrième
circonscription du Pas-de-Calais. Il vient en tête au premier tour de scrutin
avec 11 575 voix (dont 4 110 proviennent du seul canton de Montreuil, où il écrase
ses adversaires) devant le candidat démocrate-chrétien M. Cateau (8 514 voix)
et le candidat UNR M. Béraud (6 448 voix), deux candidats socialistes et un
candidat communiste qui réunissent chacun quelque 5 000 voix.Au second tour, le
communiste et l’UNR s’étant désistés, Charles Dellesalle est élu par 14 520
voix contre 13 500 à M. Cateau et respectivement 7 513 et 6 372 aux deux
candidats socialistes (30 novembre 1958). D’abord non-inscrit, il s’affilie au
groupe de l’Entente démocratique. Aux élections législatives suivantes, celles
de 1962, Charles Delesalle a annoncé sa retraite par la déclaration suivante :
« Après une longue carrière politique consacrée à la défense des intérêts
nationaux, mon âge et ma raison me condamnent à me retirer de la vie publique.
Ma reconnaissance, je dois la marquer à tous ceux et à toutes celles qui me
sont toujours restés fidèles ; m’est-il permis d’espérer que je garde aussi
l’estime de mes adversaires » Lors
de la
réunion de l'Assemblée nationale du 10 juillet 1940,
Charles Delesalle vote en
faveur des pleins pouvoirs. II se retire ensuite temporairement de la
vie
politique, car il est à nouveau élu député
du Pas-de-Calais de 1958 à 1962.
http://www.assemblee-nationale.fr/histoire/biographies/1889-1940/Lettre_D/Pages%20de%20D_3.pdf
Germaine SIX-THIRIEZ,
Fondatrice de l’association « Renaissance du Lille ancien », Femme de grande élégance tenait salon dans sa demeure au milieu de ses collections d’art, est la fille de Marie-Amélie Delesalle (descendante des Virnot-Lenglart)
« Inquiets
par les aménagements urbains qui redessinent Lille, plusieurs groupes de
Lillois partent à la recherche de leur passé. Réunis en une
association baptisée "La Renaissance du Lille Ancien", ils
inventorient, défendent et cherchent à retenir le passé de leur ville. Sous la
houlette de Mme SIX THIRIEZ, sa présidente, l'association s'attache à préserver
et à rénover le patrimoine architectural. Dans cette perspective, un concours
de photos des bâtiments anciens a été organisé pour sensibiliser les plus
jeunes. Monsieur DILLY, géographe, explique à l'aide de plans anciens, les
étapes de la création de Lille. Monsieur PORCQ, dans un estaminet, nous plonge
dans le quotidien de Lille au début du siècle. Enfin, nous parcourons avec M.
DOURDIN, artiste peintre, les rues pittoresques et les quartiers les plus
modestes de la ville. Mme SIX
THIRIEZ explique que Lille en 1820 était aussi belle que Bruges et Gand, l'association a l'intention de recenser et
rénover le Lille ancien. L'opinion publique doit être sensibilisée,
particulièrement les jeunes. Mme TREFFEL du CRDP explique le principe du «
Grand concours du Lille ancien » : on demande aux jeunes de reconnaître des
bâtiments sur des photographies puis d'aller réaliser eux-mêmes une
photographie d'un bâtiment ancien. M. MALLE, auteur des photographies, des
quartiers de la Porte de Roubaix, de la rue de la Monnaie et St Sauveur, qui
sont concernés par ce concours explique le caractère éducatif de ce travail. On
retrouve cet intérêt du Lille ancien jusque dans les entreprises qui accrochent
gravures et plans anciens à leurs murs. Monsieur DILLY, géographe, explique que
c'est le commerce qui a donné naissance à la ville qui s'est installée au bord
d'une rivière navigable, la Deûle le long de la route de foires de la Champagne
aux Flandres. A travers différents plans il montre les évolutions de la ville :
au Moyen âge, à l'époque espagnole, après le rattachement à la France.
L'industrialisation a entraîné un afflux de populations qui s'entassait dans
les cours et les caves. L'agrandissement commence en 1858 quand la commune de
Wazemmes a demandé son annexion à Lille. De grands boulevards ont été tracés
mais sans l'attrait commercial qu'on aurait espéré avoir ; ainsi le centre
commercial de Lille reste concentré dans le lieu historique qui a vu naître la
ville : la Grand place et les rues qui y aboutissent. C'est dans un vieil
estaminet de Saint Sauveur que M PORCQ raconte le Lille de son enfance en 1900
«
et Alfred Thiriez, né le 9 octobre 1871, de Albert, Chevalier de
la Légion d’honneur, Président du Tribunal de Commerce et de N. Valdelièvre,
Petite fille de Charles Delesalle, maire de Lille, Alfred Thiriez né le 16 octobre 1833, décédé
le 26 octobre 1903,
marié à
Delphine VALDELIEVRE, fille VALDELIEVRE-DESTOMBES, née en 1842, décédée en
1926.
4 enfants. Alfred quitte l'école à 15 ans pour travailler en usine tout en
suivant des cours du soir. En 1853, donc à 20 ans, il installe au Faubourg de
Béthune (Lille), une filature qui s'étendra jusqu'à Loos-lez-Lille. Puis, il
s'associe à son père Julien-Romuald, pour créer "Julien THIRIEZ Père et
Fils" (JTPF). Au décès de leur père, les frères s'associeront pour
développer l'affaire. Alfred joua le rôle du Comte de DURAS, grand-officier de
la Maison du Roi, aux fastes de Lille le 9 octobre 1892 au sein du cortège de
2.400 (!) personnes qui rappelait 7 grandes époques de l'histoire de Lille...
Cette date commémore le centenaire du siège de Lille par les Autrichiens,
héroïquement repoussés par les français, aidés par des wallons et flamands.
L'archiduc autrichien Albert de Saxe-Teschen somme la ville de se rendre, sinon
elle sera bombardée. Le maire de Lille, André lui répond (texte gravé dans le
socle de la colonne de la Déesse, ci-dessous) "nous venons de renouveler
notre serment d'être fidèles à la Nation, de maintenir la liberté et l'égalité
ou de mourir à notre poste, nous ne serons pas des parjures". Malgré une
pluie de 30.000 boulets chauffés au rouge, les Lillois repoussent
l'envahisseur. En 1842 est érigée sur la Grand Place de Lille la statue de la
"Déesse" représentant cet épisode historique; sa couronne symbolise
les remparts inviolés. Son sculpteur, Théophile BRA, dira
"Lille, Lille ! C'est une femme dont le nom doit porter l'empreinte du
courage calme et obstiné des flamands.
Les Emile Delesalle,
né le 15 mai 1854, Lille, Nord, décédé le 27 septembre 1927, Lille, Nord (73 ans), marié le 29 juillet 1878, Roubaix, Nord, avec Pauline Adèle de Lattre,
Pierre Delesalle, né le 23 juin 1909,
Lille, marié le 29 avril 1938,
Mouvaux , avec France-Marie
Segard, née le 8 mars 1918,
Little-Rock (Arkansas, Etats-Unis-d'Amérique), décédée le 30 octobre 2005,
Marcq-en-Baroeul , inhumée le 3 novembre 2005,
Mouvaux (87 ans) (sans postérité).
Fanny Delesalle, née le 27 mars 1912,
Lille, décédée le 9 février 2008,
inhumée le 9 février 2008,
Sorrus (62, Pas-de-Calais) (95 ans), mariée le 20 octobre 1932,
Lille, avec Philippe Motte,
né le 15 avril 1908,
Lille, décédé le 3 avril 1997,
Lille, inhumé en avril 1997, Sorrus (Pas de calais) (88 ans),
industriel,
Les Lucien Delesalle
1867 &1890 Adeline Thiriez
1870
Josette Delesalle, mariée avec Jehan Degouve de Nuncques :
1867 &1890 Adeline
Thiriez 1870
Josette Delesalle, mariée avec Jehan Degouve de Nuncques : Charles Degouve, bourgeois d’Arras, fait enregistrer
ses armoiries dans d'Hozier en 1696 : de sable à une barre d'argent, chargée de
trois billettes de sinople.Jehan est cousin issus de germain de William Degouve
de Nuncques, Peintre et dessinateur originaire des Ardennes françaises, Degouve
de Nuncques descend d'une grande et vieille famille de la noblesse où les arts
furent toujours à l'honneur. Un de ses oncles fut préfet de la Seine, un autre
conservateur au musée de Valenciennes et protecteur du sculpteur Carpeaux.
Degouve voue une très grande admiration à son père, esprit très cultivé, qui
l'initie non seulement à l'art et à la littérature, mais aussi à la
philosophie, aux sciences et à la musique. Il est âgé de trois ans seulement,
lorsque ses parents décident de s'installer en Belgique, à Spa d'abord, à
Bruxelles ensuite. Encouragé par son père, William prend, dès l'enfance,
l'habitude de consacrer son temps à rêver de la vie et à écouter ses émois.
Pendant quelques mois, il suit les cours de l'académie, mais renonce rapidement
à cet enseignement. C'est en autodidacte qu'il aborde la peinture. "Je me suis
mis à dessiner et à peindre, subissant l'attirance de la vie à la campagne sans
maître, sans conseils comme sans influences, ce fut la priorité laissée à
l'instinct, le plaisir de demeurer délibérément soi." En 1883, il se lie
d'amitié avec le peintre hollandais J. Toorop avec qui il partage un atelier à
Machelen. Celui-ci l'initiera aux secrets du métier. Une amitié plus profonde
encore va le lier à H. de Groux. Les deux artistes cohabitent un certain temps
et posent l'un pour l'autre. C'est Degouve qui servira de modèle à H. de Groux
pour la figure du Christ dans son célèbre "Christ aux outrages". Fort
des conseils de ses amis qui l'orientent vers le symbolisme, Degouve est
désormais mûr pour accomplir sa destinée. Soutenu par Rodin, il expose pour la
première fois en 1890, à Bruxelles, et montre au salon de Paris de 1894
"Place du Warichet à Perwez" (1889), toile qui trouve immédiatement
acquéreur. Le 30 octobre 1894, il épouse Juliette Massin, peintre de talent et
belle-sœur du poète E. Verhaeren, qui l'introduit auprès des poètes symbolistes
de La Jeune Belgique. A Bruxelles, il est lié avec E. Demolder, E. Verhaeren et
M. Maeterlinck; à Paris, il rencontre Puvis de Chavannes et M. Denis. Cherchant
sa voie, Degouve fait de nombreux voyages à l'étranger : Italie, Autriche,
Suisse, Allemagne et France ("Escalier vénitien", Otterlo, Kröller
Müller). De 1900 à 1902, il vit aux îles Baléares ("Tempête à
Majorque", 1900, Bruxelles, M.R.B.A.B.) Pendant la guerre de 1914-1918, la
Hollande l'accueille. Il revient ensuite à Bruxelles, mais, en 1919, il perd sa
femme et son désespoir est tel qu'il provoque l'arrêt complet de sa production
pendant trois ans. Il s'installe à Stavelot, qu'il ne quittera plus, et y
retrouve le goût de vivre grâce à l'amitié dont l'entoure sa deuxième compagne,
Suzanne Poulet, qu'il épouse en 1930. Se remettant doucement à la peinture, il
se consacre exclusivement aux paysages de l'Ardenne ("Le dégel à
Stavelot", Verviers, M.B.A.). Sa période symboliste, de 1892 à environ 1900,
est marquée par un climat étrange qui préfigure le surréalisme ("La Maison
rose", 1892, Otterlo, Kröller Müller; "Les paons", 1896,
Bruxelles, M.R.B.A.B.). Plus encore que la peinture à l'huile, le pastel fut le
moyen d'expression privilégié de Degouve.
Branche
puinée Gustave Delesalle
né le 19 novembre 1823,
Lille, décédé le 25 mars 1900,
Lille (76 ans), filateur de coton,
marié le 22 septembre 1851
avec Clara Descamps,
Louise Delesalle, née le 12 novembre 1859,
Lille, décédée le 13 avril 1932,
Lille (72 ans).
mariée le 31 mai 1881,
Lille, avec Achille Liénart,
dont
Le Cardinal
Achille Liénard 1907-1973),
grandes familles du Nord ; grandes familless ndres ; grandes familles des hauts de France
Branche cadette 1 : Alfred Delesalle,
Les Albert Delesalle,
né en 1852, décédé en 1933 (81 ans), marié le 5 juin 1883, Lille, avec Louise Descamps.
Suzanne
Delesalle, née en 1886, décédée, mariée le 29 juin 1909,
Lille, avec René Dépinay,
né le 9 mars 1882,
Paris 16°, décédé le 1er mars 1918,
bois de Germicourt (Aisne). (35 ans), capitaine au 101ème régiment
d’artillerie.
Les André Delesalle,
né en 1853, marié avec Antoinette
Lunings,
Les Léon Delesalle,
né le 11 décembre 1854,
Lille, décédé le 7 novembre 1893,
Lille (38 ans), marié avec Gabrielle
Humbert,
Robert Delesalle, fondateur du tissage de
linge de table "Nydel", président de la CCI de Lille
Fondateur de la compagnie aérienne Flandre-Air,
marié avec Marie Odile
Gérard.
Bertrand Delesalle, ingénieur ISEN et diplômé du CPA Nord (1988), Président du CETI : « Projet structurant du pôle UP-tex, le CETI est un centre de recherche, d’innovation, de prototypage et de valorisation technologique et industrielle, de niveau mondial, dans le domaine des Matériaux Textiles Avancés et des Nouveaux Matériaux. Il est ouvert à tout acteur scientifique, technologique, industriel, institutionnel intéressé, au niveau régional, national, européen, international. Le CETI est situé au nord de Lille, au carrefour de Roubaix, Tourcoing et Wattrelos sur le site de l’Union, qui s’étend sur 80 hectares et accueillera 3 filières économiques spécifiques : les textiles innovants, l’image-culture-média et la distribution. Implanté dans le quartier de l’Union, sur un terrain de 20.000 m², le CETI regroupe sur 12 000 m² en deux bâtiments : une halle technologique abritant des ateliers pilotes et laboratoires d’essais, un bâtiment tertiaire regroupant des centres de ressources pour les entreprises de la filière. » http://www.up-tex.fr/ceti. Il descend d’Antoinette Prouvost 1849-1924 et Henri Lestienne 1845-1912.
Dominique
Delesalle, mariée avec Christian
Dewavrin,
Branche
cadette 2 : Alphonse
Delesalle,
né le 15 février 1830,
Lille, décédé le 23 juin 1914,
Lambersart (84 ans), marié le 26 avril 1853,
Lille, avec Adèle Verley,
Les Alphonse
Delesalle,
né le 27 février 1855,
Lille, décédé avant 1904, marié le 5 août 1878,
Lille, avec Marie Lemaître,
Jacques Etienne Delesalle, industriel, fabricant de matériel électrique à Lille, marié le 25 juillet 1942, Lille, avec Christiane Descamps,
Dominique
Delesalle, né en 1950, marié le 8 avril 1978,
Buros (64), avec Isabelle Rozier
de Linage, d’une ancienne famille anoblie en 1653, aynat
produit des Avocat au parlement de Dauphiné et lieutenant particulier de la
maîtrise des eaux et forêts, Brigadier des gardes du corps du Roi, Chevalier de
saint Louis, Capitaine d'infanterie au régiment de la reine, Maire de Voreppe,
prévôt de Gap, chef d'escadron de gendarmerie, capitaine commandant la
compagnie royale du département de l'Isère (1822), Chevalier de Saint-Louis et
de la Légion d'honneur (1822), Directeur de l'enregistrement et des domaines,
Officier d'infanterie, Ancien élève de Saint-Cyr, ESM Saint-Cyr, promotion d'in
Salah.
Les René Delesalle,
né le 18 février 1872, Lille, décédé le 5 novembre 1952, Lille (80 ans), industriel filateur de coton, marié le 25 septembre 1895, Lille, avec Marguerite Bernard.
Claudine
Delesalle, née le 13 février 1925,
mariée avec Lucien Danel,
imprimeur.
Maud Delesalle, mariée en 2007,
Verlinghem 59, avec Hugues Gaultier
de Carville,
Christine
Delesalle, née à Lille (filleule: Alix Cisternes
de Vinzelles (filleul: Enguerand
Cathelineau ), mariée en1977,
église Saint Pantaléon, Turenne (Corrèze), avec Arnaud Brabant,
né à Ouzouer-le-Marché, Loir-et-Cher, décédé en 2006,
Sainte-Feyre (Creuse), inhumé à Ouzouer-le-Marché (Loir-et-Cher) (53 ans),
gérant de société.
Descendance de Pierre-François
de Le Salle, né en 1726, décédé en 1786 (60 ans),
cocher, puis huissier royal. Selon un Cahier
généalogique publié en 1960 sous la responsabilité de Georges Besnier, il
est l'auteur de la famille qui va suivre et il serait l'arrière-petit-fils de Pierre de Le
Salle, né vers 1625 à Aubers. Cette famille de Flandre et d'Artois
se considère comme un lignage de gentilhommes campagnards, de souche féodale,
de noblesse militaire et utérine coutumière . Sources: personne: Paul de Boisgelin (Simili-Nobiliaire.
Dioudonnat), JL Mondanel, 2 vii 2010 (GGRN),
marié avec Françoise
Catherine Josèphe Hennevieux, dont
Jean-Baptiste de
Le Salle, né en 1768, décédé le 29 mai 1835
(67 ans Devient Delesalle à la Révolution, il est sergent de la
municipalité de la ville de Lille, et il décède concierge, marié
avec Ne N,
dont
Henri-André
Delesalle, né en 1796, décédé en 1856 (60 ans), maître
ébéniste, tapissier & fripier, marié, dont
Henri, marquis romain
et de Le Salle
(2e, 24 février 1890), né en 1840, décédé en 1899 (59 ans), dont
Jean Maurice
Antoine, marquis romain
et de Le Salle
(3e, 1899), né en 1882, décédé en 1953 (71 ans), docteur en
droit, notaire, marié en 1913 avec Marguerite Marie
Pauline Huret, née en 1884, décédée en 1959 (75
ans), dont
Jean, marquis de Le
Salle (4e, 1953), marié avec M L Delcroix,
dont
Isabelle de Le
Salle,Ide de Le Salle,
Godeleine de Le
Salle, Baudouin de Le
Salle.
Marguerite de Le
Salle, mariée avec Nn Griffaton.
Thérèse
Françoise de Le Salle, mariée avec Henry des Mazis,
né le 17 février 1912,
Deux Chaises, Allier.
Gérard de Le Salle, (1919- Saint Omer), prince romain, par bref du 10 mars 1951, marié à Agnès de Le Rue (dont Gérard, Patricia, Jehan, Michel, Henri, Pierre).
directeur du L.P.S "
Je suis Altesse Sérénissime, Grand d'Espagne, Prince Inca, Duc et Prince de
Cuzco et de Potozi. Ma famille possède en outre les titres de : Baron (féodal),
comte (du Saint-Empire 1530), marquis (bref 1860), et pour ma descendance
personnelle les titres de Prince de Le Salle et de Dentelin (Titres
héréditaires à tous les descendants des deux sexes. Bref du 10 mars 1951) avec
la qualification d'Altesse Sérénissime. " (Lettre du prince Gérard de
Le Salle publiée en octobre 1955 dans l'Intermédiaire des chercheurs et
curieux, colonne 653. Prince romain du nom et de Dentelin, par bref du 10
mars 1951, chevalier armé, le 15 août 1944, automiste flamand, directeur du
L.P.S.
Il inventa une catégorie inconnue de tous les
historiens les " Nobles Francs Hommes ".
dont
Gérard de Le
Salle, Patricia de Le
Salle, mariée avec Robert Vanloo.
Jehan de Le
Salle, Michel de Le
Salle, Henri de Le
Salle, Pierre de Le
Salle, Clotilde de Le
Salle,
Joseph de Le Salle, marié en 1946 avec Solange des Mazis, née aux Deux-Chaises (Allier).
Auguste, marquis romain
et de Le Salle
(1er, 12 décembre 1860), né en 1841, décédé en 1861 (20
ans), zouave pontifical. Une d'elles a
donné Auguste Delesalle, zouave volontaire pontifical, (1841-1861); Mort des
suites de ses blessures, fut créé marquis romain, par bref pontifical du 12
décembre 1860, confirmé à son frère, le 26 avril 1890, en récompense de sa
conduite dans les volontaires pontificaux à la bataille de Castelfidardo. La
bataille de Castelfidardo a lieu le 18 septembre 1860, à Castelfidardo, petite
ville de la région des Marches. Les troupes piémontaises menant la guerre
d'unification italienne y défont les troupes pontificales. À la suite de cette
bataille, les États pontificaux sont réduits à la surface de l'actuel Latium.
La bataille est restée dans les mémoires pour avoir été sanglante, et livrée
dans des condition des plus inégales (moins de 10 000 Pontificaux contre près
de 60 000 Piémontais). L'armée pontificale comptait dans ses rangs des
volontaires de différents pays d'Europe, parmi lesquels les ressortissants
français et belges constituait un bataillon franco-belge. Parmi les volontaires
français figuraient nombre de nobles de l'Ouest de la France : en consultant,
après la bataille, la liste des morts et des blessés pontificaux le général
piémontais Cialdini a dit, avec un humour des plus noirs, "L'on dirait une
liste d'invités à un bal de Louis XIV ! ...". Le bataillon franco-belge
donna naissance au corps des Zouaves pontificaux. (Wikipedia)
Légions d’honneur :
Delesalle Auguste Alfred, 1851/07/04 Nord Marcq en Baroeul
Delesalle Charles Emile, 1850/02/04 Lille
Delesalle Emile Auguste, 1820/06/25 Lille
Delesalle Joseph Aimé, 1792/12/01 Lille
Delesalle Joseph Augustin, 1773/03/22 Royaume des Pays Bas
Achevé en 1661, le château de Flers à Villeneuve d’Ascq devient
en 1667 la propriété de la famille des seigneurs de Flers : les De Kessel, et
ce jusqu'en 1747. Philippe André de Baudequin, seigneur de Sainghin, reçoit
alors de son cousin De Kessel la seigneurie et le château de Flers. En 1770,
Marie-Claire-Josephe de Baudequin épouse le comte Ladislas de Diesbach.
Celui-ci, à la mort de son épouse en 1791, hérite du Château et devient donc le
dernier seigneur de Flers. Pendant les troubles de la révolution, les deux
tantes du comte qui habitent le Château émigrent et celui-ci est confié à la
garde du jardinier. Il ne sera pas confisqué mais sera dévasté avant d'être
converti en ferme. En 1927, Paul Delesalle-Dewas rachète le Château à la
famille De Diesbach.
Il y aut aussi, non rattaché,
Joseph Augustin Delesalle, né le 22 mars 1773 à Neuve-Église (ancien
département de la Lys) de parents français, est un général français. Il épouse
Adélaïde Van Dessel dont il aura deux enfants, Auguste Delesalle et Adélaïde
Delesalle.
Jusqu'à la 5e génération. Base Roglo
Jean François
Delesalle, né le 25 février 1721,
Fleurbaix, Nord, décédé en 1780, Warneton, Nord (à l'âge de 59 ans).
Marié en 1747 avec Catherine
Lenglart, née en 1726, Erquinghem sur la Lys (59),
décédée en 1764, Esquermes (à l'âge de 38 ans), dont
Marié en 1766 avec Rose Lepers,
née en 1734, Loos (59), décédée en 1811, Esquermes (à l'âge de 77
ans), dont