Flandres
« Armes :
de sable à la fasce bretessée et contrebrétessée d’argent. »
De Puymège, les vieux noms de France, nous dit : « L’histoire généalogique de la
maison de Surmont » la dit issue d’un fils naturel de guillaume III, comte
de Hainaut et d’Ida de Suermondt (issue des Suermondt van Hindersteyn éteins
dans la Maison d’Alsace.
Seigneurs de Fremeaux, de Flégard,
de Dicque,
Jehan, Charles et Otto sont les auteurs des branches au XIV° siècle ; il est dit qu’Otto est l’auteur de la branche de Tournai. Pierre fut reçu bourgeois de Tournai le 6 juin 1571. ».
_______
NOTE PREALABLE IMPORTANTE
Nous veillons à soumettre toutes généalogies aux généalogistes soucieux des sources et de l'exactitude; nous mentionnons donc Philippe A. Rammaert-Mignot
« Fernand DECROIX a publié dans le Bulletin de la SEPC en 1963/64 une étude sur la famille DE SURMONT dont je descends 2 fois par une branche ignorée dans la très belle généalogie de 1922 (qui comporte de nombreux blasons attribués faussement à toutes les familles alliées) ; Fernand DECROIX a rectifié la première généalogie qui remontait avant des degrés sur Tourcoing à des générations établies à Tournai et auparavant à Courtrai avec un rattachement non prouvé à la famille VAN SURMONT descendante d’un bâtard de Guillaume duc de HOLLANDE. La vérité rectifiée par Mr DECROIX est une origine tourquennoise ancienne et il a établi que des descendants se sont fixés à Tournai et sont revenus ensuite à Tourcoing et Lille (une branche a été anoblie et possédait le beau château de la Fontaine à Croix que j’ai connu alors qu’il appartenait à Benoît ROUSSEL-RASSON, grand’père d’un ami). Plusieurs cousins DESURMONT tourquennois ont demandé et obtenu des rectifications d’état-civil à une époque où le TGI acceptait de séparer la particule sur le vu d’acte de baptême anciens ; plusieurs ont essayé plus récemment mais se sont heurtés à un refus au prétexte que des milliers de familles ont un patronyme qui s’écrivait avec une particule séparée du nom avant la Révolution ou que beaucoup d’autres ont une particule qui est flamande et signifie « le » en français. Pour prouver une origine noble d’une famille il faut maintenant fournir des actes qui ont une qualification nobiliaire, ce qui est rare dans les Provinces du Nord en dehors de familles anoblies par les souverains espagnols et reconnues ensuite par Louis XIV ; ces familles de marchands font l’essentiel de l’œuvre de Paul DENIS du PEAGE dont 8 volumes de généalogies lilloise et mélanges généalogiques ont été réédités en 1997 et 2000 par les Sources Généalogiques et Historiques des Provinces du Nord (dont je fais aussi partie). Il s’avère maintenant que, bien que chartiste, Paul DENIS du PEAGE, dont l’œuvre est considérable, a commis des erreurs pour les premiers degrés de certaines généalogies en utilisant sans pouvoir les vérifier des généalogies manuscrites anciennes. Grâce à Mr DECROIX, j’ai pu connaître Lucien A. BOULY de LESDAIN, généalogiste et héraldiste réputé, qui m’a mis en garde lui aussi sur la généalogie DE SURMONT en cours de rectification par Fernand DECROIX » Philippe A. RAMMAERT-MIGNOT
Jean Desurmont deviendra compagnon d’armes du fameux Pierre de Guethem qui voulait enlever à Versailles le Dauphin de France.
L’ensemble
des photographies est de Ferdinand Cortyl
Pierre
de Guethem est un militaire français né en 1659 à
Tourcoing et mort dans la même ville en 1709.
Colonel
des armées impériales, il prend part aux campagnes
militaires des Habsbourgs à partir du siège de Vienne
(1683) et devient le chef des commandos du prince Eugène
à la tête desquels il capture le maréchal de
Villeroy lors du siège de Crémone, puis tente d'enlever
le Grand Dauphin à Versailles.
Le
Mercure de France, le duc de Saint-Simon et Voltaire ont relaté
les actions de cet aventurier fameux à son époque. Sa
ville natale lui rend hommage par une rue à son nom et un
géant à son image.
Pierre
de Guethem vient au monde à Tourcoing en 1659, né de
Jacques Guethem et de Marie Tiberghien. Bientôt, le pillage et le
feu ravagent le bourg. Les habitants se réfugient aux quatre
coins de l’Europe. A vingt ans, Pierre débarque dans les
Pays-Bas espagnols sans un « rouche doupe » en poche et se
place comme valet de pied. Il connaît le solfège, un brin
de violon. Son maître, Maximilien-Emmanuel de Bavière,
amateur de musique, le prend dans son orchestre. Un jour, Maximilien
part pour la guerre et il emmène ses joueurs avec lui.
Sur
les champs de bataille, notre Tourquennois se découvre une
âme de soldat. Il échange son violon et son archet contre
un mousquet et des balles. A lui les coups de mains, les coups de ruse,
le corps à corps. Au siège de Vienne, il arrache aux
Turcs un étendard de soie. Il envoie le trophée à
Tourcoing où il existe toujours au musée du Carillon.
Guethem poursuit sa course à travers les combats. On cite ses
faits d’armes à la campagne de Hongrie, aux prises de
villes de Neufchâtel, de Bade, de Belgrade.
Un
jour de 1702, le général en chef Carignan charge le major
Guethem d’assiéger Crémone. La ville,
ceinturée de remparts et défendue par le maréchal
de Villeroy, semble imprenable. Guethem apprend qu’un ancien
égout passe sous les remparts et aboutit au cœur
même de Crémone chez un chanoine, le chanoine Cassoli.
Pierre Guethem arrive à faire savoir à don Cassoli
qu’il lui donnera un évêché s’il
consent à déboucher l’égout. Marché
conclu. Par l’ouverture déblayée, Guethem et ses
hommes se répandent la nuit dans Crémone et ouvrent les
portes de la ville aux assiégeants. Le maréchal de
Villeroy est fait prisonnier et toute la garnison avec lui.
Du
coup, Guethem connaît la gloire : il est anobli et reçoit
le grade de colonel. Dans les années qui suivent il
s’offre une débauche de batailles. Sous les ordres du
fameux Malborough, il joue encore un tour au maréchal de
Villeroy et gagne la bataille de Ramillies.
Quand
les troupes rançonnent les Flandres, la consigne est formelle :
épargner gens et biens de la paroisse de Tourcoing.
Le
diable le poussant, Guethem décide au printemps de 1707 un coup
sans pareil : s’emparer du dauphin de France. Avec une trentaine
de partisans déguisés en marchands de chevaux, il
traverse les lignes de feu et arrive à Versailles.
Pendant
ce temps, Louis XIV et sa sœur chassent le loup en forêt de
Marly. Pierre de Guethem poste ses hommes derrière les arbres,
au lieu-dit « le Point du Jour ». Quand, en grand
équipage, palefreniers devant et derrière, passe le
carrosse aux armes de France, de Guethem et ses amis se
précipitent au-devant des chevaux. Le colonel ouvre la porte. Ce
n’est pas le dauphin qu’il trouve assis sur les coussins du
carrosse mais un homme d’âge, M. de Béringhem,
qu’on appelle à la cour M. le Premier. Pierre de Guethem
se montre plein d’égards pour son prisonnier. Il
l’installe dans une chaise à porteur et on se hâte
vers la route de Flandre.
Entre-temps,
le carrosse aux armes de France est revenu à vide au
château de Versailles. Le roi Louis XIV éclate de
colère, les dames de la cour s’évanouissent, la
police est sur les dents dans tout le pays.
Les
soldats du roi rattrapent de Guethem en Picardie. Il devient à
son tour prisonnier. A son tour aussi M. le Premier se montre plein
d’égards pour lui et le ramène à Paris.
Pierre
de Guethem a passé sa vie à donner du fil à
retordre aux armées de Sa Majesté, a emprisonné un
maréchal à Crémone et a essayé par-dessus
le marché de s’emparer du fils du roi. Va-t-on le pendre
haut et court ? Que nenni. Au Grand Siècle, on traite les gens
de guerre avec bien plus d’élégance.
Louis
XIV remet à M. de Béringhem le sort de son ravisseur.
Alors, M. le Premier ouvre à deux battants au colonel de Guethem
les salons de Versailles. On lui pardonne de si bon cœur
qu’on l’invite peu de jours après à la revue
des gardes du corps. Sur un cheval des écuries du roi, Pierre de
Guethem caracole aux côtés de Jacques II d'Angleterre, du
dauphin de France et de M le duc de Bourgogne. Après la revue,
voici le roi.
De Béringhem présente de Guethem à Louis XIV :
- Monsieur le Premier, dit le roi, se loue fort des traitements
qu’il a reçus de vous. On ne saurait faire la guerre trop
honnêtement...
- Sire, répond le Tourquennois, je suis si étonné
de me trouver devant le plus grand roi du monde et qui me fait
l’honneur de me pardonner que je n’ai pas la force de
répondre.
Louis
XIV se montre fort aise de cette réplique, toute la cour
répète la phrase. On invite partout le colonel, on lui
donne des gens pour le servir, il va au théâtre, il
écoute les concerts dans les salons. On le comble de cent
manières.
Il
voudrait bien quand même revenir à Tourcoing. Quand il
quittera Paris M. le Premier le suppliera d’accepter une bourse
pleine de pièces d’or.
La
vie de panache de Pierre de Guethem s’arrête là. Il
rentrera bien sage en sa paroisse Saint-Christophe pour y mourir deux
ans plus tard. » Wikipedia
Louis
Desurmont fut premier maire de Tourcoing.
Philippe de Surmont, écuyer , né en 1645, Tourcoing , marié avec Balduine van Alkemade, dont Elisabeth Balduine de Surmont, décédée le 1er janvier 1709, mariée le 17 octobre 1683 avec Jean Baptiste Aronio, seigneur des Escaliers, né le 28 mai 1651, Lille, 59, baptisé le 28 mai 1651, Lille, décédé le 17 juin 1723, Lille, 59 (72 ans), trésorier de France, bourgeois de Lille. Et aussi Catherine Marie de Surmont, née en novembre 1656, mariée avec Jean Gillès, écuyer , né le 6 septembre 1642.
« Fernand DECROIX a publié dans le Bulletin de la SEPC en 1963/64 une étude sur la famille DE SURMONT dont je descends 2 fois par une branche ignorée dans la très belle généalogie de 1922 (qui comporte de nombreux blasons attribués faussement à toutes les familles alliées) ; Fernand DECROIX a rectifié la première généalogie qui remontait avant des degrés sur Tourcoing à des générations établies à Tournai et auparavant à Courtrai avec un rattachement non prouvé à la famille VAN SURMONT descendante d’un bâtard de Guillaume duc de HOLLANDE. La vérité rectifiée par Mr DECROIX est une origine tourquennoise ancienne et il a établi que des descendants se sont fixés à Tournai et sont revenus ensuite à Tourcoing et Lille (une branche a été anoblie et possédait le beau château de la Fontaine à Croix que j’ai connu alors qu’il appartenait à Benoît ROUSSEL-RASSON, grand’père d’un ami). Plusieurs cousins DESURMONT tourquennois ont demandé et obtenu des rectifications d’état-civil à une époque où le TGI acceptait de séparer la particule sur le vu d’acte de baptême anciens ; plusieurs ont essayé plus récemment mais se sont heurtés à un refus au prétexte que des milliers de familles ont un patronyme qui s’écrivait avec une particule séparée du nom avant la Révolution ou que beaucoup d’autres ont une particule qui est flamande et signifie « le » en français. Pour prouver une origine noble d’une famille il faut maintenant fournir des actes qui ont une qualification nobiliaire, ce qui est rare dans les Provinces du Nord en dehors de familles anoblies par les souverains espagnols et reconnues ensuite par Louis XIV ; ces familles de marchands font l’essentiel de l’œuvre de Paul DENIS du PEAGE dont 8 volumes de généalogies lilloise et mélanges généalogiques ont été réédités en 1997 et 2000 par les Sources Généalogiques et Historiques des Provinces du Nord (dont je fais aussi partie). Il s’avère maintenant que, bien que chartiste, Paul DENIS du PEAGE, dont l’œuvre est considérable, a commis des erreurs pour les premiers degrés de certaines généalogies en utilisant sans pouvoir les vérifier des généalogies manuscrites anciennes. Grâce à Mr DECROIX, j’ai pu connaître Lucien A. BOULY de LESDAIN, généalogiste et héraldiste réputé, qui m’a mis en garde lui aussi sur la généalogie DE SURMONT en cours de rectification par Fernand DECROIX » Philippe A. RAMMAERT-MIGNOT
« La généalogie Desurmont, publiée en 1922 par le marquis de La Roche-Lambert-Myons, qui commence à Adam et Evè et descend par Priam, roi de Troie, jusqu’à Guillaume le Bon, duc de Hollande, qui a eu un enfant naturel de Ida van Suermondt, dont la descendance portant son nom puis de Surmont serait venue à Courtrai puis à Tournai et ensuite à Tourcoing ; cette généalogie a été rectifiée par Fernand Decroix dans un bulletin de la Sté d’Etudes de la Province de Cambrai qui a établi qu’avant de se fixer à Tournai les Desurmont venaient déjà de Tourcoing où on les trouve sous la forme De dessus le Mont puis De Surmont. » Philippe Rammaert
Louis Desurmont fut premier maire de Tourcoing.
Philippe de Surmont, écuyer, né en 1645,
Tourcoing, marié avec Balduine van Alkemade, dont Elisabeth Balduine de
Surmont, décédée le 1er janvier 1709, mariée le 17 octobre 1683 avec Jean
Baptiste Aronio, seigneur des Escaliers, né le 28 mai 1651, Lille, 59, baptisé
le 28 mai 1651, Lille, décédé le 17 juin 1723, Lille, 59 (72 ans), trésorier de France, bourgeois de
Lille. Et aussi Catherine Marie de Surmont, née en novembre 1656, mariée avec
Jean Gillès, écuyer, né le 6 septembre 1642. »
« Fernand Decroix a publié
dans le Bulletin de la SEPC en 1963/64 une étude sur la famille de Surmont dont
je descends 2 fois par une branche ignorée dans la très belle généalogie de
1922 (qui comporte de nombreux blasons attribués faussement à toutes les
familles alliées) ; Fernand Decroix a rectifié la première généalogie qui remontait
avant des degrés sur Tourcoing à des générations établies à Tournai et
auparavant à Courtrai avec un rattachement non prouvé à la famille Van Surmont,
descendante d’un bâtard de Guillaume duc de Hollande. La vérité rectifiée par
Mr Decroix est une origine tourquennoise ancienne et il a établi que des descendants
se sont fixés à Tournai et sont revenus ensuite à Tourcoing et Lille (une
branche a été anoblie et possédait le beau château de la Fontaine à Croix que
j’ai connu alors qu’il appartenait à Benoît Roussel-Rasson, grand’père d’un
ami). Plusieurs cousins Desurmont tourquennois ont demandé et obtenu des
rectifications d’état-civil à une époque où le TGI acceptait de séparer la particule
sur le vu d’acte de baptême anciens ; plusieurs ont essayé plus récemment mais
se sont heurtés à un refus au prétexte que des milliers de familles ont un
patronyme qui s’écrivait avec une particule séparée du nom avant la Révolution
ou que beaucoup d’autres ont une particule qui est flamande et signifie « le »
en français. Pour
prouver une origine
noble d’une famille il faut maintenant fournir des actes qui ont
une qualification
nobiliaire, ce qui est rare dans les Provinces du Nord en dehors de
familles anoblies
par les souverains espagnols et reconnues ensuite par Louis XIV ; ces
familles
de marchands font l’essentiel de l’œuvre de Paul
Denis du Péage dont 8 volumes
de généalogies lilloise et mélanges
généalogiques ont été
réédités en 1997 et
2000 par les Sources Généalogiques et Historiques des
Provinces du Nord (dont
je fais aussi partie). Il s’avère maintenant que, bien que
chartiste, Paul Denis
du Péage, dont l’œuvre est considérable, a
commis des erreurs pour les premiers
degrés de certaines généalogies en utilisant sans
pouvoir les vérifier des
généalogies manuscrites anciennes. Grâce à
Mr Decroix, j’ai pu connaître Lucien
A. Bouly de Lesdain, généalogiste et héraldiste
réputé, qui m’a mis en garde
lui aussi sur la généalogie De Surmont en cours de
rectification par Fernand Decroix » Philippe
A. Rammaert-Mignot
LILLE
— SAINTE-CATHERINE.
« Milieu
de la grande nef : Marie Prouvost,
fille de Pierre et de Marguerite de Lespaul, décédée le 25 juillet 1744, fille
de Jacques de Lespaul, sieur du Gaucquier, échevin de Roubaix, né le 13 octobre
1606 – Roubaix, décédé le 4 septembre 1676 - Roubaix 69 ans, inhumé dans
l'église de Roubaix avec épitaphe ; Marie était l’épouse de Philippe Dassonville,
greffier de la juridiction consulaire de Lille.
1753-1781. — Au baptistère; marbre blanc; actuellement au presbytère. Sépulture de Lamoral-Antoine-Joseph Dutilleul, marchand, inhumé en cette ville, décédé le 23 avril 1757,
agé de 47 ans; de Jeanne-Agathe-Joseph Prouvost, son épouse, décédée le 21 de mars 1753, âgée de 41 ans; et de leurs enfants, de François-Pasqual- Joseph, décédé le 25 juin 1781,
âgé de 34 ans; de Jean- Baptiste-Ignace- Joseph, décédé le 12 décembre 1773, âgé de 24 ans ; et d'Henriette-Charlotte, décédée le ..., âgée de .. ans. R. I. P. Amen. CIV. 1753-1776.
— A côté de l'autel de Notre-Dame. — Écussons: de Surmont, 428; de Brigode, 512. Sépulture de messire Louis-Ernest de Surmont, chevalier, seigneur de Fauvreulle, Warwanne, etc.,
décédé le 29 de Juin 1753, âgé de 65 ans ; et de dame Marie-Robertine de Brigode, son épouse, décédéc le 10 Juillet 1776, âgée de 59 ans, inhumée à S. Maurice. Requiescant in pace.
CV. 1765-1777, fille de Pierre de Brigode, sieur de Canteleu, bourgeois de Lille par relief (22 IV 1707), marchand, juge en la Chambre consulaire, directeur de la Chambre de commerce
de Lille — Dans la grande nef à droite. — Écussons : Potteau, 513; Fruict, 514. Sépulture de Jean-Baptiste Potteau, écuyer, conseiller secrétaire du roy, maison et couronne de France,
greffier honoraire. L'acte de son décés dit qu'elle fut inhumée « vis-à-vis la chapelle de Notre-Dame de Paix » gouvernance et souverain bailliage de Lille, seigneur de la Chaussée, d'Escamin,
etc- et décédé le 2 octobre 1768, âgé de 74 ans; et de dame Catherine- Françoise Fruict, son épouse, décédée le 21 février 1777, âgée de 77 ans; et de leurs enfans : de Marie-Joseph-Bonne,
décédée le 17 février 1766, âgée de 34 ans; de Marie- Anne- Joseph, décédée le 23 mars 1755, agée de 19 ans ; et de Marie-Ange, décédée le 5 novembre 1772, âgée de 36 ans. Requiescant in paee.
CVI. 1756-1762. — Chapelle du Saint-Sacrement.Quartiers: Imbert, 2A2; Fourmestraux, 127 ; Le Prévost de Basserode, 97 ; Poulie, 105 ; d’Avenues, 515 ; Manseman, 516 ; de Sailly, 517;
Poulie, 105. Sépulture de Robert-François Imbert, écuyer, sgr de Barlemont, la Phalecque, Sénéchal, Inglemaret, décédé le 28 décembre 1756, agé de 89 ans ; et de son épouse,
dame Marie- Antoinette d'Avennes, dame d’ennevelin, du Plantis, d'Avenues et de Mouteuz, décédée le 19 Juillet 1762, âgée de 86 ans. R. I. P. CVII. 1758. — Au passage du chœur
à la chapelle Saint-Jean. Sépulture de M. Charles- Albert Duriez d'Hocron, prêtre, décédé le 14 novembre 1758. CVIII. 1750-1808. — Au côté droit du chœur. — Écussons : de Courcelle,
429; Bequet, 518. CI gist Jacques-François-Marie-Bonaventure de Courcelle, sgr De Terbecque, de Thieulaine et du Petitmez, conseiller du roi et son avocat au siège royal de la Gouvernance
et souverain bailliage de Lille et marguilller de cette paroisse, décédé le 25 Juillet 1772, âgé de 72 ans ; Marie-Catherine Becquet, son épouse en premières noces, dame du Piquene, le Roy,
décédée le 4 avril 1759, âgée de 66 ans ; et Marie-Anne-Joseph Durant, sa seconde femme, décédée le [7 Juin 1808], agée de 71 ans. R. I. P. GIX. 1761. Passage du chœur à la chapelle Saint Jean
. — Écusson : Ingiliard, 519. Messire Edouard-Marie Ingiliard, chevalier, sgr de Fromelle, etc., décédé le 28 septembre 1761. GX. 1761. — Marbre blanc; actuellement au presbytère.
D. O. M. Ici reposent les corps du sieur Léonard-Joseph Delecourt, marchand brasseur de cette ville, décédé le, ftgé de .. ans; et de damoiselle Jeanne-Françoise LeMpbrbur, son épouse,
décédée le 17 novembre 1761, âgée de 25 ans; et plusieurs de leurs enfans. R. 1. P. CXI. 1762. — Chapelle Noire- Dame. — Écussons : de Maulde, 520; d^Hespel, 104. Sépulture de
Martin-Louis de Maulde, écuyer, s de la Tourrelle, dééédé le 14 février 1762, ftgé de 62 ans; et de Françoise-Séraphine Hespel, dame de Loos, son épouse, décédée le ...., âgée de.. ans ;
et de Louis-Marie de Maulde, leur fils, écuyer, seigneur de la Tourrelle, décédé le 22 avril 1762. Requiescant in pace.1762. — Au baptistère; marbre blanc ; actuellement au presbytère,-
Ecusson : Muyssart, 791. HicJacetPetrus Augustinus H. G«F. de Muissart, ordin.provinc. Insul. ballii fillus, Franciscl pronepos, bellic. franc, cohortis praafectus, avitae virtutis non
degener, miles Indefessus, glorise cupidus, disciplins militaris ac christiansa pariter œmulus, soclis carus, nullis invisus, confectis Bohemise, Germaniae, Batavias, Flandriœ bellls,
parentibus mœstissimls, lugentibus amlcls» medios inter labores, matura morte eripitur. Obiit XX Kalend.' junii, anno MDGGLXII, œtatis XXIX. Lector pie apprecare. GXIII. 1766
. — Emplacement non indiqué. — Êcusson : de la Biotière, 521, de messire Jean-Louis de Biotière, chevalier, sgr de Ghassincourt, décédé le 34 may 1765.
CXIV. 1765. — Sans indication d'emplacements Icy repose le corps de M. Nicolas Larghez, conseiller du roy au bailliage de Lille, fils de feu M. Antoine et de Marie-Magdeleine Desmazières,
natif de Pont à Vendin, décédé en célibat, le 18 Juin
1765, âgé de 62 ans. R. I. P. 1753-1776. — A côté de l'autel de Notre-Dame. — Écussons: de Surmont, 428; de Brigode, 512. Sépulture de messire Louis-Ernest de Surmont, chevalier,
seigneur de Favreulle, Warwanne, etc., décédé le 29 de Juin 1753, âgé de 65 ans ; et de dame Marie-Robertine de Brigode, son épouse, décédée le 10 Juillet 1776, âgée de 59 ans,
inhumée à S. Maurice. Requiescant in pace ». www.archive.org
1699, mai. — Lettres
de noblesse
pour Philippes
de Surmont,
seigneur de Warvanne.
« Louis, par la grâce
de Dieu,
Roy de
France et
de Navarre,
à tous
présens et
à venir,
salut. Par
nostre édit
du mois
de mars
1696, registré
où besoin
a esté,
nous avons
anobli le
nombre de
cincq cens
personnes qui seront
choisies parmy ceux
qui se
sont le
plus distinguez par
leurs mérites,
leurs vertus
et leurs
bonnes qualitées
et qui
se sont
rendus recommandables
par leurs
charges et
par leurs
emplois, à chacune
desquelles lettres particulières
d'annoblissement seront expédiées
en payant
les sommes
auxquelles elles seront
fixées ;
et comme
nous avons
esté pleinement
informé de
la famille,
vertus et
bonnes qualitées
de nostre
cher et
bien aimé
Philippes de Surmont,
seigneur de Warvanne,
fils de
défunct Philippe
et de
Baldine van
Alckemade, demeurant en
nostre ville
de Lille
en Flandres,
nous l'avons
agréé pour
l'un desdits
cincq cents
annoblis créés par
nostre édit,
ainsi qu'il
est contenu
par l'estat
arresté en
nostre Conseil
le 18
juin dernier,
en conséquence
duquel il
nous a
payé la
finance que
nous avons
fixé par
l'arrest du 3 avril 1696
et par
le rolle
du 7
aoust audit
an, suivant
la quittance
du garde
de nostre
Trésor royal
du 3
avril 1699,
registrée au controlle
général des
finances le 17 du mesme
mois cy
attachée sous nostre
séel. A
ces causes
et autres
considérations à ce nous mou
vans, Nous,
de nostre
grâce spéciale,
pleine puissance
et autorité
royale, par
ces présentes
signées de
nostre main,
avons annobli
et annoblissons
ledit Philippe
de Surmont,
seigneur de Warvanne,
pour estre
du nombre
des cinq
cens annoblis
créés par
nostre dit
édit et
du titre
et qualité
de noble
nous l'avons
décoré et
décorons, voulons et
nous plaist
qu'il soit
tenu, censé
et réputé
pour tel,
ensemble ses enfans
et sa
postérité tant masles
que femelles,
nez et
à naistre
en loyal
mariage tout
ainsi que
s'ils estoient
issus de
noble et
ancienne extraction et
que luy
et sa
postérité soient en
tous lieux
et actes,
tant par
jugement qu'autrement tenus,
censés et
réputez pour
nobles, que
comme tels
ils puissent
prendre la
qualité
d'écuyer, parvenir au
degré de
chevalier et autres
honneurs réservés à
notre noblesse,
et qu'ils
jouissent, et usent
de tous
les droits,
prérogatives, privilèges, prééminences,
franchises, libertés et immunités
dont jouissent et ont accoustumé de jouir les autres nobles de nostre royaume,
comme aussy qu'ils puissent acquérir, tenir et posséder tous fiefs, terres et
seigneuries nobles et (de) quelques titres et qualités qu'elles soient ; nous
luy permettons de porter les armoiries timbrées avec des supports et un cimier
telles qu'elles
seront réglées et blasonnées par le sieur d'Hozier, exerçant l'office de juge
d'armes de France suivant la commission expresse que nous luy en avons donnée
par arrest de nostre Conseil du XVIII décembre 1696, ainsi qu'elles seront
peintes et figurées dans les présentes lettres, avec pouvoir de les faire
peindre, graver et insculpter en tels endroits de ses maisons, terres et
seigneuries que bon lui semblera, sans que pour raison du présent
annoblissement le dit Philippes de Surmont, seigneur de Warvanne, et ses descendans
soient tenus de nous payer, ny à noz successeurs Roys, aucune finance, ny
indemnité, dont, à quelque somme elle puisse monter, nous leur avons fait et
faisons don par ces présentes, à la charge de vivre noblement, sans que le
commerce en gros et en banque qu'il pourra exercer, suivant et conformément à
nostre dit édit, déroge à ladicte qualité tant pour lui que pour ses descendans
nés et à naistre, et sans que ledit annoblissement puisse estre par nous et nos
successeurs suprimé, ny révocqué, ny sujet à aucunes taxes pour estre confirmé,
attendu la finance qu'il nous en a payé. Sy donnons en mandement à noz amez et
féaux les gens tenans nostre court de Parlement à Tournay, gardes des archives
de nostre Chambre des Comptes à Lille, présidens et trésoriers généraux de
France au Bureau de nos Finances de Flandres estably à Lille et autres juges
qu'il appartiendra que ces présentes ils aient à faire enregistrer et du
contenu en icelles faire jouir ledit Philippe de Surmont, seigneur de Warvanne,
et sa postérité, en faisant cesser tous troubles et empeschemens, Car tel est
notre plaisir. Et afin que ce soit chose ferme et stable à tous jours, nous y
avons fait mettre nostre séel.
Donné à Versailles, au mois de may, l'an de grâce seize cens quatre-vingt-dix
neuf et de nostre règne le cinquante sixième. Estoit signé : Louis, et y
appendoit le séel de Sa Majesté sur cire verte.
Et sur le reply desdites lettres estoit escrit : Par le Roy, Le Tellier, avec
paraphe et visa : Boucherat, et veu au Conseil : Phelippeaux. »
www.archive.org
1699, 3 avril. — Quittance du garde du Trésor royal, de la somme de six mille
livres.
« Je, Pierre Gruyn, conseiller du Roy en ses conseils, garde de son trésor
royal, confesse avoir receu comptant en ceste ville de Parisde Philippe de Surmont, seigneur de Warvanne,
la somme de six mille livres à laquelle il a plu à Sa Majesté fixer la finance
de chacune lettres de noblesse par arrest du Conseil du 3 avril 1696, suivant
le rolle arrêté audit Conseil le 7 aoust dudit an, en exécution de l'édit du
mois de mars dudit an portant annoblissement de cincq cens personnes qui seront
choisies par Sa Majesté parmy ceux qui se seront le plus distingués par leur
mérite, vertus et bonnes qualités, dont Sa Majesté luy fera expédier ses
lettres particulières de noblesse, en vertu des quelles luy et ses enffans nez
et à naistre en légitime mariage seront réputez pour nobles et comme tels
respectez et honorez dans tous actes, assemblées et occasions et pourront
prendre la qualité d'escuïer et parvenir au degré de chevalerie et autres
réservés à la noblesse et jouïr de tous les honneurs, privilèges, prééminences,
franchises, libertés, exemptions et immunités dont jouissent les autres nobles
du royaume sans distinction, conformément audit édit. De laquelle somme de six
mille livres à moy ordonnée pour employer au fait de ma charge, je me tiens
content et en quitte ledit sieur de Surmont et tous autres. Fait à Paris, le
troisiesme jour d'avril 1699. (signé) : Gauyn. » www.archive.org
1699, 14 mai. — Enregistrement d'armoiries pour le sieur Philippe de Surmont.
« Charles d'Hozier, conseiller du Roy, généalogiste de sa maison,
gardé de l'armorial général de France et chevalier de la religion et des ordres
militaires de Saint-Maurice et Saint-Lazare de Savoie, après avoir veu les lettres
patentes en forme de charte données à Versailles au moys de may de l'an 1699,
ces lettres signées Louis (et) contresignées Le Tellier, veu au Conseil :
Phelippeaux, visa : Boucherat et sellé du grant sceau en cire verte, par
lesquelles Sa Majesté annoblit le sieur Philippe de Surmont, seigneur de
Warvanne, et annoblit aussy ses enfans masles et femelles nés et à naistre,
Nous, en exécution de la clause qui est contenue en lesdites lettres et qui
permet audit sieur de Surmont de porter des armoiries timbrées avec des
supports et un cimier telles qu'elles seront réglées et blasonnées par nous,
comme exerçant l'office de juges d'armes de France, en vertu de la commission
"expresse qui nous en a esté donné ( e) par Sa Majesté par arrest du
Conseil d'Estat rendu le XVIII décembre de l'an 1696 et ainsy qu'elles seront
peintes et figurées dans ces lettres, avons réglé pour ses armoiries à l'avenir
: un écu de sable à une fasse bretessée d argent, cet écu timbré d'un casque de
profil orné de ses lambrequins d'argent et de sable, pour supports deux lions
d'argent lampassés et armés de gueules et pour cimier une teste de licorne
d'argent posée de profil. Et afin que ce règlement que nous avons enregistré
dans nostre registre général du règlement des armoiries de ceux qu'il plait au
Roy d'annoblir, puisse servir audit seigneur de Surmont, nous luy en avons
donné le présent acte et nous l'avons signé de nostre signe et séellé du sceau
de nos armes, à Paris, le i4e jour du mois de may de l'an 1699. Estoit signé :
D'Hozier, et y appendoit un séel sur cire rouge. » Archives
départementales du Nord, Chambre des Comptes de Lille.Série B. 1677 ;
Supplément aux Registres des Chartes ; Titres nobiliaires, tome m, f° 605.
Source: gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France, 2012-130261
La
lignée
Alix Farvaque ca 1475
|
Arnould de Surmont ca 1500-/1588
(Arnould Albert de Surmont)&
Jeanne de Phalempin ca 1500-/1588
|
Philippe de Surmont +/1585 &
Jeanne des Reveaux
|
Gaspard de Surmont ca 1550-1585(Pierre)
Conseiller pensionnaire de Tournai
Achète la bourgeoisie
de Tournai, le 6 juin 1571, pour 6 livres de Flandres.
Etienne de
Beaurepaire (Denis du Péage,recueil de généalogies Lilloises) 21/04/09 &
Marie Desrousseaux ca 1540
|
Gaspard de Surmont ca 1570-/1629 &ca 1600
Jacqueline du Mortier ca 1570
|
D’où les deux lignées :
|
Lignée Gaspard Desurmont
Gaspard I de
Surmont ca 1550-1585 (Pierre)
Conseiller pensionnaire de Tournai
Achète la
bourgeoisie de Tournai, le 6 juin 1571, pour 6 livres de Flandres.
Etienne de
Beaurepaire (Denis du Péage,recueil de généalogies Lilloises) 21/04/09 &
Marie
Desrousseaux ca 1540
|
Gaspard
II de Surmont (Jaspart)
Bourgeois,
marchand, échevin, homme de fief
Jacqueline
du Mortier
|
Jean de
Surmont 1605-1666 &1631
Françoise
Lefebvre 1612
|
Gaspard
III de Surmont 1636-1682 &1661
Hélène Lefebvre 1639-1702
|
Augustin
Paul de Surmont 1665-1715 &1693
Jeanne
Lefebvre 1670-1727
|
Gaspard
IV Desurmont 1699-1741
Négociant
en Laines, marchand, pauvrisseur &1723
Marie Agnès Lefebvre 1700-1771
|
Gaspard
V Augustin Desurmont 1738-1788 &1763
Anne
Françoise Dubus 1738-1787
|
Gaspard
VI Joseph Desurmont 1768-1817
Négociant
en laine et coton &1789
Marie
Anne Tiberghien 1767-1831
|
Gaspard
VII Desurmont 1791-1842
Marchand
de coton, négociant &1819
Marie Motte 1795-1838
|
Gaspard
VIII Desurmont 1823-1895 &1846
Eugénie Motte 1825-1889
|
Philippe
Desurmont 1850-1940 &
Marie Duvillier 1858-1933
|
Gaspar
IX Desurmont 1882 &1913
Gabrielle Duchange 1893
|
Gaspar
X Desurmont &
Jacqueline
Pollet
|
Gaspar
XI Desurmont 1940- &1976
Pascale
Willemetz 1947-
|
Gaspar XII Desurmont 1979
Branche ainée : Gaspard
Desurmont,
né le 13 mai 1791, Tourcoing, décédé le 20 mars 1842, Tourcoing (50 ans), marchand de coton, négociant, marié le 25 janvier 1819, Tourcoing, avec Marie Motte.
Quelques
personnalités de cette branche (sans liens généalogiques) et alliances:
Histoire : L'hôtel Gaspard
Desurmont a été construit en 1819 (A.M. Tourcoing, permis de construire). Les lucarnes cintrées
et les croupes visibles sur l'élévation du permis de construire n'existent plus
aujourd'hui ou n'ont jamais été réalisées. A l'arrière, un long bâtiment
aujourd'hui détruit abritait un magasin, une remise et des écuries (cadastre de
1885, C 2980). L'emplacement de ce bâtiment et les parties non bâties de la
parcelle ont été lotis récemment. L'hôtel est construit en
1819 dans un style Empire exceptionnel à Tourcoing: 9 rue de Tournai:
Inventaire général du patrimoine culturel: 1er quart 19e siècle.
Un
Gaspar Desurmont, zouave pontifical, engagé
sous la bannière du général de Charrette, fut tué au Mans à 22 ans.
Les Philippe Desurmont,
né le 26 février 1850, Tourcoing,
décédé le 1er juillet 1940,
Tourcoing (90 ans), marié avec Marie Duvillier
Les Joseph Desurmont,
né le 15 juin 1860, Tourcoing,
marié le 5 octobre 1889, Tourcoing,
avec Zulmée Pollet,
Les Louis Desurmont,
né le 8 avril 1863, Tourcoing,
décédé le 12 janvier 1942,
Saint-Brieuc (22, Côtes-d'Armor)) (78 ans),
marié le 14 juin 1892, Lille, avec Elisa Gennevoise,
Solange Desurmont, née le 1er octobre 1928,
Flers-les-Lille , mariée le 8 septembre 1948, La
Madeleine , avec François Masurel, Petit fils de François Masurel 1855-1894
et Eugénie Louise Jonglez 1857-1918
Branche cadette : Antoine Desurmont
Quelques
personnalités de cette branche (sans liens généalogiques) et alliances:
né le 5 octobre 1798, Tourcoing,
décédé le 6 juillet 1836,
Tourcoing (37 ans), industriel, filateur
de laine, marié le 19 octobre 1818, Tourcoing,
avec Julie Bonne Lefebvre,
Les Antoine Desurmont,
né le 14 novembre 1827, Tourcoing,
décédé le 28 septembre 1864,
Tourcoing (36 ans), brasseur à Linselles
et Tourcoing, marié le 9 février 1852, Lille, avec Pauline Lefebvre,
Les Jean-Baptiste Desurmont,
né le 11 septembre 1835,
Tourcoing, décédé le 12 juin 1907 (71 ans),
industriel, négociant, marié le 7 janvier 1861 avec Héléna Motte,
Ernest Desurmont, né le 16 novembre 1870,
décédé en 1930 (60 ans), industriel,
marié le 15 novembre 1893 avec Elisa Duvillier.
Avenue de la République, Marcq-en-Baroeul,1929.
Architecte : Maillard
Cet hôtel
particulier est construit en 1926-1929 sur l’avenue de la République par
l’architecte Maillard à la demande d’Ernest Desurmont, industriel parisien,
auteur du pneu de vélo entoilé. Ce pied à terre composé de deux maisons
communicantes abritait son foyer et celui de sa fille. Successivement occupé, pendant
la guerre par les allemands, puis à la Libération par les américains,
l’intérieur subit des détériorations et une grande partie du mobilier
disparaît. En 1974, la fille de l’industriel se retrouve seule pour entretenir
cette grande demeure. Soucieuse de préserver ce bâtiment prestigieux, la Ville
propose de le racheter pour y installer l’Ecole de musique. Copie des hôtels du
Marais de la première moitié du XVIIe siècle, cet édifice reprend les matériaux
typiques du nord : la pierre pour le soubassement et le chaînage des fenêtres,
la brique pour les murs. La toiture fait appel à la noblesse de l’ardoise.
L’architecte a utilisé un vocabulaire architectural d’ordre classique. Si la
façade sur rue peut paraître un peu austère, à l’arrière, le corps central est
scandé de part et d’autre par un pavillon et une tourelle, tandis qu’une
terrasse et son escalier monumental desservent un jardin à la Française. Une
cuisine médiévale, des galeries renaissance et classique, une chambre
Directoire font de l’intérieur un répertoire de l’histoire décorative
française. Accueil » Edition Marcq-en-Baroeul » Actualité Marcq » À Marcq, dans
la maison Desurmont, on change de siècle à chaque pièce : en industriel
esthète lié aux antiquaires, Ernest Desurmont a fait de sa vaste demeure du
Grand Boulevard, à Marcq, une galerie d'art architectural. Dans les pièces
d'apparat, on passe ainsi de siècle en siècle. Mais la maison est triple et
possède bien des portes dérobées. «
Construite en 1927-29, la maison est dans son état d'origine. Ne manquent que
les meubles et les tapisseries, résume Patrick Ansart, directeur des affaires
culturelles de la ville. Ernest Desurmont en a fait une sorte de répertoire de
l'art architectural, du Moyen-Âge au XIXe siècle. » Pour cela, il a requis les
services du Tourquennois Jean-Baptiste Maillard, « un architecte de génie. Ici,
il s'est plié à la commande ; on a des maisons à Tourcoing où il a montré plus
d'inventivité. Sa technicité et son goût se sont exprimés, mais sous la
conduite de Desurmont. Celui-ci a fait tous les croquis d'aménagement des
pièces, il était très cultivé, il savait ce qu'il voulait et passait ses
commandes aux antiquaires de Paris. » Cuisine médiévale. Au 1er étage, la
petite cuisine comporte une cheminée en pierre noire du Moyen-Âge, une lave
sans doute issue du Massif central. « Bien souvent les éléments de la
"vente noire" des antiquaires venaient d'hôtels ou de châteaux »,
précise Patrick Ansart. Aucun écrit ne témoigne de la provenance des biens de
la maison Desurmont. Les poutres du plafond sont sculptées, mais ce sont des
demi-poutres médiévales collées sur du bois de 1930. Le sol est carrelé d'une
mosaïque d'époque : « Ici, c'est du XIIIe ; là, plutôt du XVe ; le jaune, de la
Renaissance. » tSalle à manger Renaissance. Attenante, elle comprend des portes
à médaillons sculptés, des originaux incrustés dans le bâti du XXe. Le plancher
de chaque pièce est d'une géométrie particulière. Galerie Louis XIII. De belle facture, elle
possède sur les portes, dont les deux faces sont différentes, des chérubins et
des palmes. Le marbre est un trompe-l'oeil. Le bois peint a été restauré par la
ville. La galerie donne sur la salle d'apparat par excellence, le salon. Salon Grand Siècle. Il était empli de
canapés, de tapis et tapisseries. Il reste une belle cheminée, avec une plaque
de foyer finement sculptée. On y lit quatre mots latins, on y voit les quatre
vertus, pour une devise du style « L'amour est aveugle mais l'espoir fait vivre
». Au-dessus, un tableau bien noirci représente la prise d'Arras par Condé. «
Ce n'est pas une oeuvre de première classe, mais il est dans le style des
batailles et il donne une topographie, note Patrick Ansart. Le maire souhaite
qu'il soit restauré en 2011. » Chambre conjugale. Avec ses colombes, ses amours
potelés ornant des panneaux en bois, elle est « XVIIIe un peu revu par le XIXe
». Devenue salle de cours, elle est moins d'apparat. « On la sent un peu plus
intime. » Car, dans cette maison à deux entrées et deux escaliers, toute une
série de pièces demeuraient privées. » Par Christian Furling
Le
peintre Ernest Desurmont, né le 16 novembre 1870, décédé en 1930 (60 ans),
industriel, marié le 15 novembre 1893 avec Elisa Duvillier, née le 19 mars
1875, décédée en 1961 (86 ans)
Lignée Julien Auguste Desurmont
Les Jules Louis Desurmont,
né le 10 juin 1838, Tourcoing , décédé le 26 août 1918, La Pommeraie (14) (80 ans), marié le 4 août 1862, Roubaix,avec Clémence Dumanoir,
IUT carrières
sociales institute of technology 1996 reconversion filature Vandenberghe -
Desurmont, 35 rue Sainte Barbe, Tourcoing,
Filature de laine et usine de bonneterie Jules Desurmont et fils
Jules-Desurmont-47,rue-Bradford--Tourcoing
La filature
Jules Desurmont et fils est construite en 1896. Des agrandissements successifs
ont lieu en 1902 et 1907, notamment sur l'emplacement de la rue de l'Epinette
qui est repoussée jusqu'à la voie de chemin de fer. En 1911, sur les plans de
l'architecte Georges Forest, est construit un nouveau bâtiment de filature
auquel est accolée une tour polychrome portant la date et le monogramme JDF.
Une nouvelle extension atteint la rue d'Elbeuf en 1929. La société Jules
Desurmont et fils réalise alors, outre la filature de laine, la confection
d'articles de bonneterie tels que chaussettes, chandails, maillots de bain,
etc. Elle possède une autre filature située à Wattrelos. René Vincent
(1879-1936), grand dessinateur et aquarelliste publicitaire, illustre, en 1930,
un ouvrage commercial pour la société Jules Desurmont. Malgré la destruction de
quelques ateliers et de la salle des machines, l'usine a gardé son intégrité.
Elle continue à l'heure actuelle sa production de laine peignée.En 1896, la
filature actionne 13500 broches à retordre pour une production annuelle de
600000 kg. En 1902 ce nombre est porté à 24500 pour une production de 1150000
kg. En 1930, elle compte 94400 broches pour une production de 3800000 kg. A la
veille de la Première Guerre mondiale, le matériel de la filature se compose de
40000 broches de renvideurs et continus à filer, celui de la retorderie est de
14000 broches de moulineuses. La surface globale est de 70000 m² de surface
bâtie.L'entreprise emploie 2650 ouvriers en 1914. Adresse : 47 rue de
Bradford ; Type : Inventaire général du patrimoine culturel.
French Worsted Mill Hamlet Avenue (c. 1906)
Le Château
Verhaegue à Roncq.
Un premier
château fut construit rue des Arts, en 1775, puis démoli et reconstruit vers
1907 par Jules Desurmont; il en avait hérité mais ne le trouvait pas à son
goût. Alors qu'il était la propriété de Joseph Verhaeghe depuis 1922, il fut
ravagé par un incendie en mai 1940 et reconstruit après-guerre. Racheté en 1973
par la Municipalité, pour la qualité exceptionnelle de son parc, il devint en
1976 le Centre Social Jacques Duclos. Il est aujourd'hui l'Annexe-Mairie,
abrite divers services administratifs et sera un élément emblématique du
patrimoine roncquois en plein cœur du nouveau centre ville de Roncq. Dans le
parc attenant au château, nous découvrons les "Anciennes Ecuries",
qui étaient de véritables écuries de luxe, avec sellerie et bourrelerie, ainsi
qu’un logement pour le cocher. A proximité, il y a aussi une fermette
construite vers 1910, en bordure de la rue de la Latte, qui comprenait étable,
laiterie et poulaillier modernes, ainsi qu’un bâtiment pour l’entreposage du
fourrage des bêtes.
Odile Desurmont, décédée le 7 mars 1989, mariée avec Claude François-Marsal, décédé le 11 mai 2001.
Fanny Desurmont, née le 24 juillet 1919, Tourcoing ,
mariée le 25 mars 1941, Paris VIIe ,
avec Francis Cyprien-Fabre, né le 6 septembre 1911, Marseille
(Bouches-du-Rhône), décédé le 3 février 1991 (79 ans), divorcés,
mariée avec Patrick de La Bruère du Coudray.
Jacques Desurmont, né le 7 juillet 1891, Tourcoing,
décédé le 27 mai 1916, Moreuil (80,
Somme) (24 ans), pilote, marié le 29 novembre 1915, Tourcoing
, avec Marcelle Desurmont, née le 22 janvier 1895, Tourcoing ,
décédée le 7 janvier 1934, Paris (38
ans).
Mariage de Jules Desurmont, né le 25 juillet 1889 - Tourcoing de Jules Aimable Joseph Desurmont 1863-1919 et Thérèse Motte 1868, fille d’ Alfred Motte 1827-1887 et Léonie Grimonprez 1833-1899, marié le 29 juin 1912, Roubaix, avec Marcelle Prouvost 1893, d’ Edouard Joseph Prouvost 1861-1933 et Pauline Elisa Fauchille 1865-1954, petite fille d’Amédée l Prouvost, dont Jules +1941, France-Anne +2008, Odile +1989, Fanny 1919, Jacques +
Jules Desurmont, né le 25 juillet 1889, Tourcoing, époux de Marcelle Prouvost ; il fut « de la plus sure amitié » pendant des décennies avec Albert-Eugène Prouvost.
Monsieur et Madame Jules Desurmont- Prouvost
« C'est en présence d'une élégante assistance qu'a été
célébré avant-hier, en l'église Saint-Fran-
çois-Xavier, le mariage de Mlle Odile Desurmont, fille de M. Jules Desurmont et
de Mme, née Marcelle Prouvost, avec M. Claude François-Marsal, fils de M.
François-Marsal et de madame, née Duroch. La bénédiction nuptiale a été donnée
aux jeunes époux par le R. P. Decarreau, qui a prononcé une allocution des plus
élevées. Les témoins étaient, pour la mariée M. Robert Prouvost et M.
Jules-Edouard Desurmont. Ceux du marié Mme des Isnarts et M. Thierry de Bocard.
La jeune mariée portait une robe de style en satin, au corsage très ajusté,
fermé devant par de petits boutons de fleurs d'oranger. Le voile de tulle, posé
sur la nuque et maintenu par un nœud de satin formant la coiffure. Cette
toilette ravissante était une création de Maggy Rouff. « Figaro 1938/10/27 (Numéro 300).
Claude François-Marsal, décédé le 11 mai 2001 était le fils
de Frédéric François-Marsal1, né le 16 mars 1874 à Paris et mort le 20 mai 1958
à Gisors, homme politique français dont la carrière a culminé avec son bref
passage à la présidence du Conseil en 1924.Après des études au lycée Louis-le-Grand,
puis à l'école militaire de Saint-Cyr, il commence une carrière d'officier en
Indochine. Attaché au cabinet de Paul Doumer, gouverneur de l'Indochine
(1900-1904), il travaille dans différentes banques : fondé de pouvoir puis
directeur général de la Banque privée industrielle, commerciale et coloniale à
Lyon (1906) puis à Paris (1913), administrateur de la Banque de l'Union
parisienne (1919).Spécialiste des questions financières, il est attaché au
cabinet de Georges Clemenceau, président du Conseil, responsable des questions
économiques (1917-1918), expert financier près la délégation française à la
conférence de la paix (1919). Ce technicien commence ensuite une carrière politique.
Il est ministre des Finances dans les cabinets Alexandre Millerand (20 janvier
- 24 septembre 1920), de Georges Leygues (24 septembre 1920 - 16 janvier 1921),
et de Raymond Poincaré (29 mars - 9 juin 1924). Il a exercé les fonctions de
président du Conseil des ministres et de ministre des finances du 8 juin 1924
au 10 juin 1924 (voir gouvernement Frédéric François-Marsal) et assura
l'intérim du président Alexandre Millerand après sa démission (du 11 au 13 juin
1924).. Il fut sénateur du Cantal de 1921 à 1930. Yvert Benoît (dir.),
Premiers ministres et présidents du Conseil. Histoire et dictionnaire raisonné
des chefs du gouvernements en France (1815-2007), Paris, Perrin, 2007, 916
p. » Wikipedia
[5-7-20, conférence de] Spa, [M. François-Marsal], Lloyd George, [Léon] Delacroix, [le comte Sforza, M.] Millerand, [et M. Le Trocquer] : [photographie de presse] / [Agence Rol]
Jacques Desurmont, né le 7 juillet 1891,
Tourcoing, décédé le 27 mai 1916,
Moreuil (80, Somme) (24 ans), pilote,
marié le 29 novembre 1915,
Tourcoing, avec Marcelle Desurmont,
née le 22 janvier 1895,
Tourcoing, décédée le 7 janvier 1934,
Paris (38 ans).
Thérèse Léonie Desurmont, née le 25 mai 1893, Tourcoing,
décédée le 1er décembre 1978, Paris (85
ans).
mariée le 6 novembre 1912,
Saint-Gérard (BEL, Belgique), avec Paul Lefebvre, né le 11 décembre 1890, Roubaix,décédé
le 23 août 1914, Saint-Gérard
(BEL, Belgique) (23 ans), mort pour la France, mariée le 18 février 1919 avec Robert Prouvost, né le 24 février 1886, Roubaix,
Marie Desurmont, née le 13 avril 1895, Tourcoing ,
mariée le 29 janvier 1919, Cannes (06,
Alpes-Maritimes), avec Albert Glorieux, né le 1er juin 1888, Roubaix,décédé
le 11 juillet 1964,
Boulogne-sur-Mer (62, Pas-de-Calais) (76 ans), co-associé de la Société
Glorieux et fils, fondateur à Halluin des Ets Glorieux (tissage).
Georges Desurmont, né le 25 octobre 1866, Tourcoing,
décédé le 8 janvier 1926, La Pommeraie
(Calvados) (59 ans), industriel en bonneterie à Roubaix, marié le 4 août 1892, Lille, avec Madeleine Descamps,
Agnès Desurmont, née le 4 juin 1896, Tourcoing ,
mariée le 12 février 1919, Tourcoing,
avec Jean Segard,
Catherine de Surmont, née à
Paris, mariée le 27 février 1958, Cathédrale
St Louis des Invalides, Paris 7ème, avec Alain Baguenault de Viéville, né à
Évreux (27, Eure), décédé en 1973, Troyes (10, Aube) (41 ans), officier,
DGA Etalose Industrie, mariée avec Henri Perrier, né à Lyon 6.
Les Paul Desurmont,
né en 1840, décédé en 1911 (71 ans), marié avec Maria Joire.
Paul
Desurmont 1840-1911
&
Maria Joire
1841-1911
|
Paul
Desurmont 1868
&1892
Marie Bossut
1871
|
Robert
Desurmont &
Marguerite
Deprez
|
Robert
Desurmont &
Françoise
Mulle
Robert Desurmont
s’est illustré dans le textile et l’armée : colonel de cavalerie, il a
commandé le 18 ° régiment de chasseur de réserve basé dans la citadelle d’Arras
avec le 7° régiment de chasseurs d’active
|
|||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Achille Desurmont
(né à Tourcoing,
France, le 23 Décembre 1828. D 23 Juillet
1898) était un écrivain
français ascétique rédemptoriste.
Il a assisté à la première du collège des Jésuites à Brugelette, Belgique,
et après (1848)
l'école théologique de Cambrai. Dessiné à l'état religieux, il a été reçu dans la Congrégation
du Très-Saint-Rédempteur en 1850, a fait sa profession l'année suivante, et a été ordonné prêtre
24 Septembre 1853.
Il a été nommé préfet des étudiants et professeur
de théologie, des bureaux qu'il
occupera jusqu'en 1865, quand il
est devenu supérieur de la province
française. Sous ses sujets
et les fondations soins multipliés; la congrégation, réparties en Espagne pour la
deuxième fois, et il a fait
des fondations au Pérou,
l'Équateur, le Chili et la Colombie en
Amérique du Sud.
Il a été contraint de transférer sa nombreuse religieuse de la France aux Pays-Bas. A son retour en France, il bientôt organisé des missions et des retraites comme avant. En 1887, il a été donné le travail de visiteur
apostolique pour les
Petites Sœurs des Pauvres. À l'âge de soixante-dix, il a de nouveau été nommé provincial.
Bien en mauvaise santé, il se mit au travail, mais
le résultat a été un effondrement complet.
travaux. Il était le fondateur (1875) de la revue
ascétique, "La Sainte Famille", et
un contributeur constant
à elle. Ses œuvres sont éditées en trois séries:
Vie Chrétienne.
- "L'Art d
'assureur fils Salut";
"Le Credo et
la Providence"; "Le
Monde et l'Evangile"; "La Vie Vraiment chrétienne»;
"Dévotions de l'âme chrétienne»; "Le Vén.
Passarat et les
Rédemptoristes".
Vie Religieuse.
- "Exercices Spirituels" (Retraites). - "Renouvellements spirituels" (Retraites); "Conversion Quotidienne et retour continuel
à Dieu" (Retraites);
"Une Vertu verser
CHAQUE mois de
l'Année»; "La Vie Vraiment
religieuse»; "Manuel de méditations Quotidiennes".
Vie Sacerdotale.
- "Dieu et
la libération conditionnelle de Dieu"; "Discours et plans de retraites
ecclésiastiques»; "L'esprit Apostolique"; "L'art de Sauver les âmes»;
"La charité sacerdotale"
(Paris, Libraire de la "Sainte Famille", 1907-8)
Cet article incorpore le texte d'une publication maintenant dans le domaine public: Herbermann, Charles, éd. (1913). "Achille
Desurmont". Encyclopédie catholique.
Robert Appleton Société.
L'entrée cite:
La Sainte Famille (1898),
450; Archives Congr. SS.
R
.
Mariage de Jules Desurmont, né le 25
juillet 1889 - Tourcoing de Jules Aimable Joseph Desurmont 1863-1919 et Thérèse Motte 1868, fille d’ Alfred Motte 1827-1887 et Léonie Grimonprez 1833-1899,
marié le 29 juin 1912, Roubaix,
avec Marcelle Prouvost 1893, d’ Edouard Joseph Prouvost 1861-1933 et Pauline Elisa Fauchille 1865-1954, petite
fille d’Amédée l Prouvost, dont Jules +1941, France-Anne +2008, Odile +1989,
Fanny 1919, Jacques +
mariée le 6 novembre 1912,
Saint-Gérard (BEL, Belgique), avec Paul Lefebvre,
né le 11 décembre 1890,
Roubaix, décédé le 23 août 1914,
Saint-Gérard (BEL, Belgique) (23 ans), mort pour la France, mariée le 18 février 1919
avec Robert Prouvost,
né le 24 février 1886,
Roubaix,
Marie Desurmont, née le 13 avril 1895,
Tourcoing, mariée le 29 janvier 1919,
Cannes (06, Alpes-Maritimes), avec Albert Glorieux,
né le 1er juin 1888,
Roubaix, décédé le 11 juillet 1964,
Boulogne-sur-Mer (62, Pas-de-Calais) (76 ans), co-associé de la Société
Glorieux et fils, fondateur à Halluin des Ets Glorieux (tissage).
Georges Desurmont, né le 25 octobre 1866,
Tourcoing, décédé le 8 janvier 1926,
La Pommeraie (Calvados) (59 ans), industriel en bonneterie à Roubaix, marié le 4 août 1892,
Lille, avec Madeleine Descamps,
Agnès Desurmont, née le 4 juin 1896,
Tourcoing, mariée le 12 février 1919,
Tourcoing, avec Jean Segard,
Catherine de
Surmont, mariée Cathédrale St Louis des Invalides,
Paris 7ème, avec Alain Baguenault de
Viéville, né à Évreux (27, Eure), décédé en
1973, Troyes (10, Aube) (41 ans), officier, DGA Etalose Industrie, mariée
avec Henri Perrier,
né à Lyon 6.
Divers
Maison Jean Desurmont, 1700, Grand Place, Tourcoing
Cette
maison a été construite en 1700 pour Jean Desurmont (date portée sur le fronton, d'après un dessin conservé
aux A.D. Nord Tabellion 8835 n° 52). Un acte notarié de 1751 la décrit comme
"une grande maison à usage de marchand consistant en ouvroir, salle,
cuisine, place à manger, chambres et autres édifices avec cour, potager, jardin
à l'herbe par derrière." Le rez-de-chaussée, dédié au commerce, était
protégé par un auvent. Le pignon était en brique et pierre.Grand-Place ;
Inventaire général du patrimoine culturel: maître d'oeuvre inconnu.
La chapelle de la Marlière à
Tourcoing
A la
chute de Robespierre, peu à peu les églises se rouvrirent, la chapelle de la
Marlière avait été rachetée par l'aubergiste de l'Ecu de France à Tourcoing.
Mlle
Desurmont la racheta. Après le 9 Thermidor de l'an 1802 le sanctuaire fut rendu
au culte. La piété se réveilla et les pèlerinages se firent de plus en plus
nombreux.
"Le
journal des voyages d'un négociant" par Joseph de
Surmont (1755-1830) : « Un extraordinaire journal
manuscrit original-
parchemin relié de cuir a été transmis de
génération à génération par les
femmes... C'est un document capital car Joseph de Surmont est, souvent
malgré
lui, un grand témoin de l'Histoire, comme il le raconte...
Embarqué à 17 ans
dans le nord (à Dunkerque ?) il arrive, pour faire du commerce,
aux Etats-Unis
durant la guerre d'Indépendance et côtoie La Fayette et
Washington sur les
champs de bataille... Il fait ensuite, comme tout le monde à
l'époque, du
commerce triangulaire avec les Antilles, mais s'émeut -
très modernement - du
sort des noirs dans son bateau... Bref, il ne cautionne pas l'esclavage
!
A Saint-Domingue, il côtoie Toussaint Louverture, chef mythique de
la révolte des esclaves, et assiste au grand incendie de Saint-Domingue... Il
est le dernier à quitter l'île enflammée sur une barque, avec ses enfants... et
sa femme enceinte ! Au cours de ses pérégrinations sur les océans du monde, il
fait plusieurs naufrages spectaculaires... dont il survit toujours ! Il est
plusieurs fois recueilli in extremis sur des îles, où des indiens, des
"bons sauvages", comme on les appelait alors, dont il décrit les
mœurs comme un anthropologue, le soignent et le ramènent à la vie. Il est
aussi, plus tard, témoin de la révolution industrielle : il importe
d'Angleterre la première machine à vapeur dédiée au textile et fait travailler
dans sons entreprise, tous les prisonniers d'une ville du nord de la France
(dont j'ai oublié le nom). Il fait plusieurs fois fortune puis perd tout avant
de tout regagner ! Il surmonte toutes les épreuves... Il finit sa carrière
conseiller à la cour des comptes de Louis XVIII puis...ermite-philosophe, comme
Rousseau, dans une cabane au fond d'un bois ! C'est l'un des manuscrits les plus
impressionnants que j'aie lu dans ma carrière... et d'autant qu'il est
magnifiquement écrit ! » Antoine Uhalde
Le château de
Montreul
Les armes de
Taverne de Surmont, seigneur qui fit construire le château en 1783
En 1781, le fief
de Montreul appartenait à Charles de
Rohan Soubise. Une notable partie du fief lui fut rachetée, cette même année,
par Pierre François Albert Taverne, écuyer, Seigneur de Burgault, époux de
Marie Angélique de Surmont.
Pierre François
Albert Taverne fit d'abord construire un pavillon de chasse, puis, en 1783, le
château actuel qui porte au fronton donnant sur le parc, ses armoiries et
celles de son épouse. Il devint veuf en 1785 et c'est en son Château de
Montreul qu'il
se retira au début de la
Révolution. Malgré le certificat favorable qui lui fut
donné par la Municipalité
de Chereng, il fut arrêté et emprisonné à
Amiens. Il est décédé en son Château
en 1831. Au XIXème Siècle, le château fut
modifié.
Armoirie de :
Surmont de Volsberghe Devise : in monte
salus.
Augustin Paul de Surmont 1665-1715 &1693
Jeanne Le Febvre 1670-1727
|
Augustin François de Surmont 1707-1752 &1737
Marie Louise Durigneux 1713-1762
|
Louis François Joseph Desurmont 1739-1810 &1767
Marie Antoinette Flipo 1744-1782
|
Pierre Joseph Desurmont 1772 &1810
Celestine Chombart 1785
|
Louis Desurmont 1812-1877
Histoire : Cette
filature de laine peignée est construite par la famille Malfait Desurmont au moment
du percement du boulevard industriel au début du 20e siècle. Le matériel est
détruit par les Allemands en 1914. Néanmoins, les activités reprennent dès
1919. Suite à la baisse de la production de la laine peignée en France, tombant
de 54000 t à 35000 t pour le seul secteur de la bonneterie, la société
Desurmont décide, en 1990, de cesser la production de ce site et de la reporter
sur l'établissement situé rue de Bradford.La production en 1922 était de 650000
kg de laine.
Adresse : 1
chaussée Denis-Papin Monuments historiques de Tourcoing
Quentin
Desurmont
Thierry
Desurmont, Vice-président du directoire de la Sacem
- Diplômé
d'Etudes supérieures de droit privé de la Faculté de droit de Paris (1969)
- Diplômé
d'Etudes supérieures de sciences criminelles de la Faculté de droit de Paris
(1971)
- Docteur en droit
(1974)
- Diplômé de
l'Institut d'Etudes Politiques de Paris - Section service public (1968)
- Diplômé du
Centre de Perfectionnement aux Affaires de la Chambre de Commerce et
d'Industrie de Paris (1996)
Activités
nationales :
- Assistant à la
Faculté de droit de Paris (1970-1979)
- Avocat au
Barreau de Paris (1970-1971 - 1974-1984)
- Directeur,
adjoint au Directeur général de la Sacem (1985) puis Directeur général adjoint
de la Sacem, Membre du directoire du Groupe Sacem (depuis avril 1995), puis
Vice-président du directoire de la Sacem (depuis février 2001)
- Directeur
général adjoint (à compter du 1er juillet 1998) de la Société pour
l'administration du Droit de Reproduction Mécanique (SDRM), puis Directeur
général (depuis janvier 1999)
- Président de
l'Association Française pour la diffusion du Droit d'Auteur national et
international (AFDA), éditrice de la Revue internationale du droit d'auteur -
RIDA (depuis 1991)
- Membre (depuis
1985) puis Président (depuis 1993) du Conseil d'administration de la Société
pour la rémunération de la copie privée sonore (SORECOP)
- Membre (depuis
1986) du Conseil d'administration de la Société pour la rémunération de la
copie privée audiovisuelle (COPIE FRANCE)
Activités
internationales :
- Président du
Bureau Européen des Licences (BEL) (2001-2002)
- Membre (depuis
1986) puis Président (1993-1997) de la Commission juridique et de législation
de la CISAC.
- Membre du Comité exécutif de l'Association Littéraire et Artistique Internationale (ALAI) 55 rue des Mathurins - 75008 PARIS
Jean
Nicolas De Surmont
est
chercheur autonome membre de l'équipe "Popular Cultures Research
Network" de l'Universite de Leeds (Royaume-Uni).
Il s'intéresse à la
métalexicographie, aux réseaux hypertextuels et à la poésie vocale québécoise.
Jusqu'à la 8e génération. Base Roglo
Piérart de
Surmont, né vers 1475.
Marié avec Alix Farvaque,
née vers 1475, dont
Marié avec Charlotte du
Castiel, décédée avant 1585, dont