« Les ascendants Frapier sont originaires de l’Ouest de la
France (Poitou, Charente, Angoumois, Touraine, Vendée) ; cependant, ce
patronyme, au XIXème siècle comportait deux P et s’orthographiait donc
Frappier ; toutefois comme chacun sait, l’orthographe des noms
patronymiques ne s’est fixée précisément que tardivement et l’on trouve au
XVIIème siècle aussi l’orthographe Frapier avec un seul P.
Il est fait état, dans la tradition orale de la famille d’un sénéchal Frapier et, d’autre part, d’armoiries Frappier « de gueules au pal gironné d’or et de sable ».
Mon arrière grand-père Alcide Frappier (depuis Frapier) vint de
Touraine ou d’Anjou et épousa Philomène Goubeau issue d’une famille de notables
d’Ecueillé (Indre); Alcide Frapier participe vers 1860 à la création, avec son
oncle Goubeau, de la Société des Produits Chimiques du Centre, (ensuite
« Compagnie Frapier ») qui fabrique, avant d’être absorbée par Saint
Gobain en 1930, des engrais dans ses usines d’Orléans et de Vierzon.
Mon grand-père Maxime Frapier épouse Louise Asselineau ;
parmi les ascendants de celle-ci Germain Pichault de La Martinière ,
premier chirurgien de Louis XV et de Louis XVI, Président de l’Académie de
Chirurgie il a joué un rôle éminent dans la modernisation des pratiques
chirurgicales et médicales au XVIIIème siècle ; une de mes cousines
possède le portrait, attribué au peintre « De Troy », de sa femme
Madame Pichault de La Martinière.
Du côté de ma mère, Madeleine Deguy, les ascendants
« Deguy » vivent, aux XVIIIème et XIXème siècle à Seignelay, en haute
Bourgogne ; il est cependant probable qu’ils soient venus au cours d’un
des siècles précédents de Lorraine ; patrons d’une fabrique de pièces
métalliques, ils participent à l’aménagement des voies ferrées qui passent à
proximité d’Auxerre (La Roche Migennes), en livrant les éclisses nécessaires à
la fixation des rails sur les traverses ; ceci leur assure une solide
fortune à la fin du XIXème siècle.
Mon grand-père, Alfred Deguy, laisse la direction de l’affaire
de Seignelay à son frère ainé ; il fait des études d’ingénieur à Chalons
sur Saône puis rentre aux aciéries Schneider du Creusot ; il est envoyé
par la société, en 1888, à 26 ans, au Japon ; il représentera l’affaire
Schneider ainsi que d’autres sociétés de métallurgie, de construction navale et
de construction de matériel ferroviaire
au Japon, en Chine et en Indochine, ceci jusqu’en 1906, année qui voit
son retour définitif en France.
C’est au cours d’un voyage par bateau entre Marseille et le Japon qu’il
rencontre Margueritte Duret qui deviendra peu après sa femme ; celle-ci revient
d’un séjour en France ; elle et sa mère, feront escale à Ceylan avant de
reprendre un autre navire à destination de Melbourne.
C’est à Melbourne, en 1876, qu’était née ma grand-mère
Margueritte Duret ; elle y vivra jusqu’à son mariage en 1900 ou 1901.
Mon arrière grand-père, Charles Duret, son père, était
médecin ; son cabinet se trouvait à Paris, rue de Rivoli, à deux pas des
Tuileries ; fut-il médecin à la cour de Napoléon III ? Il quitte la
France à la chute de l’empire sans que l’on sache trop pourquoi ; à
l’issue d’un long voyage il se fixe à Emeraldill (devenu Melbourne Sud) où il
exerce sa profession et remplit des fonctions consulaires ; lui et sa
femme retourneront en France au début du XXème siècle.
Le père de Charles Duret qui avait été, très jeune, chirurgien
dans les armées du premier empire et plus particulièrement au cours de la
campagne de Russie, était originaire de Granville ; il se fixe à Jersey à
la chute de l’empire et y exerce la médecine ; il épouse Marianne de
Montbrun, sans doute une descendante de protestants réfugiés à Jersey à la fin
du XVIIème siècle après la Révocation de l’édit de Nantes ; il a été
supposé qu’il existait un lien de filiation directe entre elle et Charles de
Montbrun (ou du Puy de Montbrun) célèbre chef de l’armée protestante du
Dauphiné, décapité en 1575.
Charles Duret avait épousé Marie-Amiclia Amic, mère de ma
grand-mère Marguerite ; Amiclia Amic était l’arrière-petite fille de Marie
Santi Lomaca dont la sœur, Elisabeth Santi Lomaca épousa Louis Chénier et fut
la mère d’André Chénier.
La fille de Marie Santi-Lomaca (épouse Amic), Marie-Madeleine
Amic (1774-1852) a été la mère d’Adolphe
Thiers (1797-1877) lequel était donc cousin de notre
arrière-arrière-grand-mère.
Ph. Coll. Archives Larbor ; la fondation Dosnes-Thiers,
place Saint Georges à Paris.
Les Santi Lomaca faisaient partie des familles de chrétiens
d’Orient établies en particulier à Smyrne mais ayant de nombreux liens avec les
sociétés des iles grecques, del’Anatolie et de Constantinople ; Elisabeth
et Marie Santi Lomaca étaient nées à Constantinople, elles étaient les filles
de Nicolas Santi Lomaca et de Arghiri Mamachi de Lusignan ; cette dernière
descendait des rois et princes de Chypre, de Jérusalem et d’Arménie (il existe
aujourd’hui des familles Mamachi de Lusignan ou, en Italie, Mamachi de Lusignano)
; il est de tradition dans la famille Amic- Duret-Deguy de dire que les jeunes
filles ressemblent à la fée Mélusine (dont sont issus les Lusignan). »
Denis Frapier
Denis Frapier
marié avec Martine Prouvost,
fille de Georges Prouvost 1894 , branche ainée, et Marthe Virnot 1896-1985 dont
La modification la plus importante est celle par laquelle ont été réunies
en un seul bâtiment, par la façade néo-classique aspectée au Nord, probablement
dessinée par Pierre Rousseau, l’architecte de l’hôtel de Salm (Palais de la
Légion d’Honneur), ce qui constituait auparavant deux maisons.
En effet, l'acte de vente Nau/L’Herbette daté de 1817 précise : «La maison
présentement vendue en faisait ci-devant deux … une grande et une petite. »
La grande a été acquise le 21 mars 1781 avec ses dépendances par la Dame
Dulong de M. Guillaume Raphael Boscheron, secrétaire du roi ; le dit Sieur
Boscheron en était propriétaire, comme provenant, … pour la majeure partie de
l’acquisition qu’il en a faite de la Dame Margueritte (Teichardin ) Charpentier, veuve de Joseph
Léon Guittard, Ecuyer, chevalier de l’ordre royal et militaire de Saint Louis,
ingénieur en chef.
La petite a été acquise en 1788 des « héritiers chacun pour un quart mais
sous bénéfice d’inventaire de Marie Françoise Dubuisson de Beauregard. »
Les deux maisons étaient des pavillons de chasse dont les propriétaires,
proches de la cour, participaient aux chasses royales dans la forêt de Sénart.
La
« grande » maison, se trouvait en face de la grille
d'entrée actuelle
encadrée par les deux pavillons situés à gauche et
à droite de la demi-lune
précédant le portail; ces pavillons, tels qu’ils se
présentent aujourd’hui, ont
été frappés d'un arrêté d'alignement
de la municipalité en 1649 (arrêté jamais
appliqué) alors qu'était envisagée
l'élargissement de la rue du Pont de Bart;
ces pavillons sont donc antérieurs à cette date et ont
été construits
probablement dans la seconde moitié du XVIème
siècle pour servir de communs à
la « grande maison ».
Après la Révolution les propriétaires de cette maison de campagne étaient
des notables parisiens.
Au XIXème siècle, la propriété change plusieurs fois de mains ; entre mars 1877 et novembre 1896 elle devient la résidence de campagne de Charles Auguste Emile Durand dit Carolus Duran, peintre parisien né à Lille, très célèbre à l’époque (« commandeur de la Légion d’Honneur ! ») et portraitiste de nombreuses personnalités; il modifie beaucoup (et assez malencontreusement) la façade Sud dont il rehausse le second étage pour y établir son atelier ; il rapporte d’Italie des cariatides et des carrelages pour l’aménagement du sol du rez-de-chaussée (dont des carreaux constituant une copie de la mosaïque de Pompéi dite d’Alexandre représentant un épisode de la bataille d’Issos entre Alexandre le Grand et Darius III), fait installer un chauffage central dans la maison, etc.
Portrait de
Carolus-Duran par John Singer Sargent, 1879, Sterling and Francine Clark
Institute, Williamstown
La maison devient, pendant cette période, la « Villa Carolus » ! C’est un
lieu de rencontre de nombreux peintres impressionnistes de l’époque ; Monet par
exemple, (qui épousera Madame Hoschedé après le veuvage de cette dernière) f ait
de longs séjours au château de Rottembourg chez les Hoschedé à quelques deux
cent mètres du Moustier.
Depuis plus d’un siècle, maintenant, (elle est achetée en 1911 par Alfred
Deguy) cette propriété appartient à notre famille. » Denis Frapier
Annexe
Extrait de l’acte de ratification de la vente Vve Dulong au sieur
L’Herbette
Ratification du 5 août 1817
« Une maison située en la commune de Montgeron, département de Seine et
Oise, faisant l’encoignure de la rue du Moustier et de la ruelle de Bart,
consistant en plusieurs corps de logis, bâtiment, cour, jardinet autres
appartenances et dépendances, le tout clos de murs et y tenant d’une part à la
ruelle de Bart et d’autre … d’un bout par le haut à la rue du Moustier et
d’autre bout par bas à la pièce de terre appartenant à la succession de
M.Dulong.
Plus la place qui est dans la ruelle de Bart, devant la porte cochère de la
dite maison et les deux pavillons à l’entrée de la dite ruelle en ce qui excède
les 7 pieds et demi de large que cette ruelle doit avoir en cet endroit suivant
l’alignement fait le vingt sept septembre mille six cent quarante neuf …
ensemble trois pieds de place qui (
regnent ?) le long et en dehors du mur du bout dudit jardin du coté des vignes.
»
1.La maison présentement vendue en
faisait ci-devant deux (pour ?) une grande et une petite,
- 1/1- la grande a été acquise avec ses dépendances par la Dame Dulong de
M.Guillaume Raphael Boscheron, secrètaire du roi et de Dame Marie Louise Vallée
son épouse suivant un contrat passé devant Me Delarue et son confrère notaire à
Paris le 21 mars 1781 dument …ensaisiné … (hypothèque purgé) ….
- Le dit Sieur Boscheron en était
propriétaire, comme provenant, savoir
-1/1/1- pour la majeure partie de l’acquisition que le dit Sieur Boscheron
en a faite de la Dame Margueritte (Teichardin ?) Charpentier, veuve de Joseph
Léon Guittard Ecuyer, chevalier de l’ordre royal et militaire de Saint Louis,
ingénieur en chef
Par contrat passé devant Me Bische et son confrère notaire à Paris le 14
juillet 1767 et ensaisiné le 24 du même mois par le fermier judiciaire de la
terre et, seigneurie de Montgeron (insinué ?) à Brunoy le 17 août suivant et
suivi de lettre de ratification obtenues par le dit Sieur Boscheron à Paris le
27 janvier 1772 ..etc.
-1/1/2-de l’échange que le dit Sieur Boscheron a fait d’un arpent de terre
qui faisait partie de la dite acquisition contre dix arpents de terre qui sont
aujourd’hui renfermés dans le jardin de la dite maison et qui lui ont été donné
en contre-échange par Charles Landrière, vigneron à Montgeron :…etc.. Suivant
acte passé devant Boullet, notaire en la prévoté de Montgeron …etc.
Ces même biens que ledit Sieur Boscheron avait acquits depuis le décès de
Dame Angélique Julie Bauvin sa première femme, mais pendant la continuation de
la communauté qui avait existé entre eux ont été abandonnés au dit sieur
Boscheron par l’acte de liquidation et partage de la dite communauté…..
A l’égard de la petite maison elle appartient à Madame Dulong comme lui
ayant été adjugée par une sentence rendue sur publication à l’audience des
criées du Chatelet de Paris le 20 septembre 1788 à la requête de Désiré Claude
Liégeon (et consorts autres dont détail
dans l’acte) héritiers chacun pour un quart mais sous bénéfice d’inventaire de
Marie Françoise Dubuisson de Beauregard, veuve de Pierre Etienne Lemaire ….
« Germain Pichault de La Martinière
(parfois la Martinière ou Lamartinière, né à Argenton-l'Église en 1697 et
décédé le 19 octobre 1783 au château de La Martinière à Bièvres, était un
chirurgien et conseiller d'État français au service des rois Louis XV puis
Louis XVI, qui créa les écoles de chirurgie en France. Né dans les Deux-Sèvres
dans une famille de chirurgiens, Germain Pichault suit les traces familiales.
Il arrive à Paris à l'âge de 23 ans où il est agrégé au collège de Saint-Cosme
en 1728, obtenant une place de chirurgien du roi servant par quartier2. Ayant
par ailleurs reçu le titre de maître en chirurgie, La Martinière est pourtant
attaché aux armées royales à sa demande, tout d'abord comme aide-major. Il fait
ainsi la campagne d'Italie du maréchal Villars en 1733, puis participe l'année
suivante au siège de Philippsburg lors de la campagne du Rhin de la guerre de
Succession de Pologne.
En 1740, Germain Pichault se marie avec Marie-Anne Nepicier3. La même
année, la guerre de Succession d'Autriche éclate, qui durera jusqu'en 1748. En
1741, promu au grade de chirurgien-major, il se distingue par son ardeur et
l'efficacité de ses soins lors du siège de Prague puis de la retraite de 1742,
lors de la campagne de Bohême du Maréchal de Belle-Isle. À son retour, il est
nommé et chirurgien-chef des Gardes-Françaises et c'est à ce poste qu'il suit
Louis XV dans la campagne de Flandres et se rend grandement utile pendant le
siège de Fribourg, puis, pendant une seconde campagne en 1746, lors des sièges
de Mons et Namur ou encore durant la bataille de Rocourt. C'est en 1747, à
Bruxelles, à l'issue de cette campagne que Louis XV nomme Pichault de La
Martinière premier chirurgien, à la succession de François de la Peyronie,
décédé en avril. Les hostilités cessent avec le Traité d'Aix-la-Chapelle
Premier chirurgien du Roi
Germain Pichault de La Martinière devient le chirurgien personnel du roi
Louis XV qui l'honore de sa plus intime amitié4 jusqu'à sa mort, fonction qu'il
conservera auprès de son successeur. Sa nomination à cette nouvelle charge est
assortie de la jouissance d'une étonnante prérogative : « tous maîtres,
chirurgiens, barbiers, perruquiers et autres, qui exercent quelque partie de la
chirurgie et de la barberie dans le royaume, lui payeront 21 sols et 3 deniers
pour une fois seulement »4.
Il poursuit l'entreprise réformatrice de Lapeyronie qui, avec l'appui du
vieux chirurgien de Louis XIV, Georges Mareschal, avait initié la création
d'une Académie royale de chirurgie dès 1731. La Martinière n'aura de cesse à sa
suite d'œuvrer à l'émancipation de la chirurgie et d'arracher l'indépendance de
celle-ci vis-à-vis de la Faculté de médecine de Paris, en en faisant une
discipline autonome, tâchant de réduire au silence les querelles
inter-disciplinaires. En effet, depuis 1716, une âpre fronde des chirurgiens,
qui n'étaient pas autorisés à traiter les maladies sans présence des médecins,
les opposait à ces derniers, représentés par la Faculté.
Émancipation de la chirurgie
Amphithéâtre d'anatomie de Saint-Cosme en 1694.
Cette lutte se traduira par une confrontation entre de La Martinière et
François Chicoyneau, premier médecin du roi et chancelier de la Faculté, qui se
soldera par un décret du conseil d'État cessant, de fait, la sujétion d'un
corps à l'autre en 1750. Un décret royal de 1770 effacera définitivement cette
sujétion séculaire des chirurgiens en faisant prêter serment au premier
chirurgien en les mains du roi à la place d'en celles du premier médecin5.
Les statuts de l'Académie de chirurgie seront promulgués en 17486 et La
Martinière en prendra la direction pendant près de trente-sept années. Ainsi,
soucieux d’améliorer la formation des chirurgiens et des médecins, il obtient
du roi l'édification d'un bâtiment assez spacieux pour contenir l'Académie, le
Collège et la Bibliothèque de chirurgie, en remplacement du trop exigu
amphithéâtre d'anatomie de Saint-Cosme7, dans le fief originel de la communauté
des chirurgiens de Paris8. La construction de l'ouvrage sera confiée à Jacques
Gondouin en 1769 et achevé en 17749. La Martinière fait par ailleurs établir
des écoles de chirurgie dans les principales villes de province et fonde à
Paris l'École pratique de chirurgie où les élèves peuvent s'exercer à disséquer
et à répéter les opérations sur des cadavres10.
En 1757, il obtient, avec François Desport, chirurgien en chef de l'armée
de Westphalie, que les chirurgiens militaires soient dotés d'un uniforme
particulier reconnaissable par tous pour les protéger tant des soldats ennemis
qu'alliés11.
La mort de Louis XV
Médecin et chirurgien inspecteurs des armées, 1786
En 1771, le souverain nomme son premier chirurgien conseiller d'État. Louis
XVIII rapporte dans ses Mémoires12 que Louis XV « était comme un enfant docile
en présence du chirurgien investi de toute sa confiance » et décrit de quelle
manière « il n'y avait pas à transiger avec sa volonté », parlant de sa «
franchise brutale ». En avril 1774, La Martinière fait conduire le roi, malade,
du Trianon à Versailles, contre l'avis du médecin de Madame Du Barry, qui
affirmait que la maladie du roi « ne serait rien ».
En fait, le souverain est atteint des premiers symptômes la petite vérole
qui l'emportera. Peu après, La Martinière est le seul des médecins du roi qui
ose diagnostiquer ouvertement la présence de la maladie et dire « qu'il
regardait le roi comme perdu », avis auquel finiront par se ranger les autres
médecins13. Cet épisode et ses enjeux sont racontés, romancés, par Alexandre
Dumas dans l'épilogue de son roman Joseph Balsamo14.
Germain Pichault de La Martinière meurt le 17 octobre 1783 dans sa
résidence de campagne de Bièvres, où il est inhumé simplement, laissant de quoi
fonder deux chaires de professeurs appointés à l'école pratique et 10 lits dans
l'hôpital pour maladies chirurgicales peu communes qu'il avait créé à l'école
de chirurgie. » Wikipedia
Gravure de 1780 représentant le grand amphithéâtre de l'École de chirurgie de Gondouin; Les bâtiments de l'École de chirurgie sont aujourd'hui le siège de l'Université Paris Descartes.
grandes familles du Nord ; grandes familles des
Flandres ; grandes familles des hauts de France ; familles
patriciennes du Nord