Pourquoi

cette histoire des illustrations des lignées patriciennes
des Flandres Méridionales.
 Couverture-Prouvost

L’énoncé du nom Prouvost a toujours évoqué, pour mes interlocuteurs, « les grandes familles du Nord» , le textile, l’ère industrielle ; la question rituelle ne manquait pas : « qu’êtes-vous par rapport à Jean et Albert Prouvost ».   ?

 Je savais que le Nord était aussi cette grande civilisation des Flandres, bourguignonne, espagnole et française et je passais les vacances de ma jeunesse dans le vieux Lille à découvrir les vestiges d’un passé collectif ou familial ; on me disait que Lille, Roubaix et Tourcoing avaient depuis toujours été rivales et différentes et qu’elles ne se fréquentaient pas. Etant issu de deux familles représentatives de Lille et Roubaix, j’investigais la première puis, très tard, la seconde ; je la connaissais peu ; Roubaix était pourtant le berceau de mes ancêtres paternels, cette ville d’art et d’industrie, aujourd’hui confrontée à des problématiques référentes pour toute la France ; son histoire vous est relatée dans cet ouvrage depuis l’apport civilisationnel des ducs de Bourgogne.

 Le dernier travail sur la famille datait de Pierre Prouvost … en 1748 ; Albert-Eugène puis Albert-Auguste avaient réalisé une bien utile synthèse sur quelques pages ; de plus, je connaissais le « Ravet-Anceau»     qui regroupe les familles, essentiellement de l’industrie de la région ; il semblait qu’elles ne se référaient pas à des repères antérieurs à 1850 et sa révolution industrielle.

 Plus je cherchais, plus je trouvais d’informations sur les périodes d’Ancien Régime et plus je voyais se dessiner la permanence, l’importance, l’élégance de cette famille ; par exemple quant aux tempéraments et aux physiques : ceux du XVI° et XVII° eurent le même comportement de chef, d’entrepreneur et de panache que les Pierre-Constantin ou Henri au XVIII° ou les Charles, Jean ou Albert aux XX° siècles. Ces familles sont restées longtemps monarchistes ; leur essor au XIX° en a surtout fait des barons de l’industrie ; un des buts de cet ouvrage est d’en extraire leur part de noblesse.

Les Prouvost appartiennent à ces familles terriennes puis patriciennes des Flandres au service de leur ville, de leur région, de leurs suzerains, de l’Eglise et dédiées à leurs terres et au textile ; cultivateurs propriétaires aisés autour de Roubaix, Wasquehal puis Lille depuis au moins le XV° siècle, ils eurent le modèle de la lignée en la personne de Guillaume Prouvost qui cultivait une surface importante et négociait la laines peignées et de filets de sayettes, associant ses fils à son labeur et à ses affaires ; ses descendants se sont, dès le XVII° siècle, continuellement illustrés, ont guidé et dirigé à chaque génération, eurent un grand nombre de charges municipales et régionales, de religieux, de marguilliers, d’officiers de réserve, de décorations et légions d’honneur ; beaucoup d’entrepreneurs, initiateurs, voyageurs ; « Les épouses valent les époux : les femmes se haussent facilement jusqu’à l’héroïsme » . On remarque le goût prononcé pour les arts, les collections, les couleurs, les productions manufacturées comme les tapisseries de haute lisse des Flandres, les porcelaines, toiles et papiers peints, verreries et, bien sûr, tous les textiles bien caractéristiques de cette civilisation des Flandres. Car, de génération en génération, les Prouvost furent connus en dynasties de Maîtres de Manufactures puis d’industriels et négocièrent la laine, jusqu’à être parmi les premiers sur la scène internationale : Hilaire-Trénard, dans son histoire de Roubaix disait « Depuis Charles Quint, les mêmes familles dominent la Fabrique Roubaisienne : Pollet, Mulliez, Prouvost, Van Reust (qui devient Voreux), Leclercq, Roussel, Fleurquin, Florin, Malfait. Elles assurent la majorité de la production». Nous observons la permanence de ces familles dans l’économie de la France depuis des siècles ; mais nous verrons qu’ils n’étaient pas que cela.

 Certaines descriptions du regretté abbé Henri Lestienne-Prouvost illustrent « tout ce qu’il y a de meilleur dans nos traditions roubaisiennes : la foi, l’attachement au devoir d’état, le culte des parents, l’union des frères et sœurs, la joie des réunions de famille, nombreuses et prolongées, le goût du travail et de l’initiative, l’esprit d’entreprise, le génie industriel, particulièrement mélé, dans le milieu où grandit l’abbé Lestienne, à un goût artistique très éclairé et très sûr ». Que ce soit son père (Henri Lestienne), son grand père maternel (Amédée Prouvost), puissant créateur d’industrie, ou ses oncles, les hommes qui lui sont unis le plus étroitement par les liens du sang ne se croient pas dispeusés par la fortune à la loi du travail mais, tout au contraire, d’autant plus tenus à la tâche que la providence les a en quelques sorte payés à l’avance et institués économes de ses divines libéralités ». 

 Les nombreuses descendances liées aux traditions et aussi au développement industriel, l’amour de la famille et la constitution de dynasties aux règles précises avec la transmission des prénoms d’ainé en ainé pendant des siècles, jusqu’à nos jours (Jean ou Jehan Prouvost depuis ceux du Moyen-âge jusqu’à l’homme de presse et industriel Jean Prouvost appelé souvent Jehan, Henri Prouvost I à V, Amédée Prouvost I à VII, Albert Prouvost I à VI, Auguste Lepoutre I à VI, Gaspard I à XII de Surmont/Desurmont), François I à IX Masurel, Urbain Virnot I à IX, demandaient le tri en trois branches et sous branches.

 Il me fallait aussi synthétiser et transmettre les « valeurs », les repères qui les caractérisent :    Ils sont devenus si cruciaux à nos époques de métamorphoses. Notre but n’était pas de faire une base généalogique mais de mettre la lumière sur les familles et les nombreux parcours de vie qui s’illustrèrent dans les charges, fonctions, l’industrie, la religion, les lettres, les arts, l’armée etc. Une seconde édition permettrait d’enrichir considérablement un livre qui contient néanmoins déjà l’essentiel.

Nous nous honorons, tout au long de la réalisation de ces ouvrages, de l'accompagnement de trois grands généalogistes : Philippe Rammaert-Mignot, fondateur et président d'honneur du groupement généalogique de la Région du Nord, Flandres-Hainaut-Artois (GGRN), membre de la commission historique du Nord, Alain Watine Ferrant, auteur d'importantes généalogies et aussi d'études des archives relatives aux Prouvost du XV° siècle, et Ferdinand Cortyl, auteur de nombreuses études généalogiques; ils ont passé leur vie à interroger les archives ORIGINALES et démonter ainsi certaines erreurs ou tentatives; vous verrez très clairement et sans ambiguïté leurs conclusions que nous suivons en les présentant par des couleurs et surlignages différents: nous pensons aux monographies Prouvost des Huchons, Dewavrin, Desurmont, d'Halluin, Macquart, Jeanne d'Arc etc.

 Cet ouvrage peut être une clef de voûte, une référence, un guide pour ces familles mais aussi pour les autres. Il est destiné à Servir, raison d’étre des élites. Thierry Prouvost, Paris, le 2 janvier 2011

Note de la rédaction: ces livres sont un « puzzle » reconstituant la teneur de l’histoire de ces familles par d’innombrables sources que nous avons toujours citées sans jamais vouloir nous en approprier induement. J’ai veillé, par notre base importante de contacts, à faire valider les monographies par les intéressés et chacune des familles. Seuls les parcours officiels au sein de la la vie sociale sont mentionnés; jamais ce qui relève de « la vie privée  ».  Merci de ne pas nous tenir rigueur de telle ou telle lacune dans ces ouvrages qui concernents des dizaines de milliers de personnes.


Thierry Prouvost, Paris, le 2 janvier 2011  


Quelques présupposés:

    Cet ouvrage est dédié à mon grand père, Charles Prouvost,
qui en incarnait le contenu.
Charles-Prouvost-epousa-Helene-dalle

 Le principe des élites : SERVIR

« Voilà la description des descendants des Prouvost et de ceux qui se sont alliez jusques a la fin de cette année mille sept cens quarante huit. Et on peut dire sans vanité, que lesdits du surnom Prouvost, ont toujours vécu en gens de biens, d’honneurs et de bonne réputation en la foi catholique apostolique et romaine et les plus notables des villages qu’ils ont habitez » Pierre Prouvost en 1748

Notre première devise : « Tout à sa juste place ».

"A qui veut régénérer une Société en décadence, on prescrit avec raison, de la ramener à ses origines." Léon XIII, Rerum Novarum.

La science de ton passé est ton passeport pour l'avenir. " (Christine de Suède, Maximes et pensées, 1682). 

La constitution de dynasties aux règles précises avec la transmission des prénoms d’ainé en ainé pendant des siècles  jusqu’à nos jours (Jean ou Jehan Prouvost depuis ceux du Moyen-âge  jusqu’à l’homme de presse et industriel Jean Prouvost appelé souvent Jehan, Henri Prouvost I à V, Amédée Prouvost I à VII , Albert Prouvost I à VI, Auguste Lepoutre I à VI, Gaspard  I à XII  de Surmont/Desurmont), François I à IX Masurel, Urbain Virnot I à IX.

« Les lettres  échangées entre mon grand- père, ma grand-mère Amédée Prouvost et leurs six enfants témoignent d’un attachement fondamental aux vertus essentielles de notre race du Nord de la France, consacrées par des siècles de luttes et d’épreuves. S’aimer, s’entr’aider, travailler dans la loyauté et l’honneur à créer chaque jour un peu plus de bonheur pour tous, être prudents dans le succès, courageux dans l’adversité, tels étaient les enseignements traditionnels de nos familles, transmis dans un grand esprit chrétien.».Jacques Toulemonde

Roubaix : « ville unique, où tous travaillent dès l’ âge légal, jusqu’à la tombe, où chaque réfractaire est montré du doigt comme frappé de la lèpre, (..) où la concurrence loyale et excitant pique de son aiguillon les flancs d’une jeunesse jusque là intrépide, où les carrières libérales sont quasi inconnues ou d’importation, où nul ne jette un œil  d’envie ou de concupiscence sur le fonctionnarisme, où par surcroît chacun s’accommode de familles nombreuses, parce que chaque nouveau venu est considéré pour l’ avenir comme un capital en bourgeon, bientôt en fleurs, et en rameaux ombragés, où viendront s’abriter des générations laborieuses d’artisans, trouvant emploi de leurs bras, leur unique capital, et parce que ces nouveaux venus sont de plus dans le présent pour les parents, ferments nouveaux d’énergie et d’entreprises plus vastes.» Eugène Motte

« Tout ce qu’il  y a de meilleur  dans nos traditions roubaisiennes : la foi, l’attachement au devoir d’état, le culte des parents, l’union des frères et sœurs, la joie des réunions de famille, nombreuses et prolongées, le goût du travail   et de l’initiative, l’esprit d’entreprise, le génie industriel, particulièrement mélé, dans le milieu où grandit l’abbé Lestienne-Prouvost, à un goût artistique très éclairé et très sûr.»

Le châtiment de ceux qui ne connaissent pas leur passé est de devoir l’expérimenter à nouveau.

Une lignée sans chef est alors la proie des médiocres, des ambitieux et des jaloux.

 « Prend soin de ton nom.
Ce sera pour toi un bien plus durable que mille grands trésors.
On compte les jours d’une bonne vie, mais un beau nom demeure à jamais. ».
L’Ecclésiaste Chapitre 41, versets 15 et 16.

"Celui qui ne sait pas d'où il  vient, ne saura pas où il  va, parce qu'il  ne sait pas où il  est"

(Otto de Habsbourg)

                                           Bombe à retardement des manipulations  identitaires depuis quarante ans.

« Beaucoup de villes ne valent pas le bourg de Roubaix  tant dans la beauté des maisons du lieu que dans le nombre de ses habitants » Panckoucke, XVIII° siècle.

« Dans chacune de nos cités des Flandres –maritime et wallonne- l’Eglise nous enseigne la fidélité aux traditions religieuses, le Beffroi affirme l’attachement aux  libertés communales, toutes les productions des lettres et des arts nous démontrent le respect de la foi jurée, le culte du beau, l’amour du bien, la fierté du devoir accompli. » Albert-E Prouvost

Lille,  en 1820 , était  aussi  belle  que  Bruges et Gand.

« L’œuvre de la France, elle remplit toutes les pages de l’histoire humaine, elle est connue de l’univers entier et ce n’est pas  Dieu qui l’oubliera, lui a qui tout est présent. Le zèle déployé par cette noble race pour la cause et pour le nom de Dieu, l’esprit de sacrifice et d’abnégation, le dévouement et l’enthousiasme qu’elle a mis au service de Jésus-Christ et de son évangile, voilà des titres qui subsistent, des mérites qui ne s’effaceront jamais. D’autant  qu’ils n’appartiennent pas uniquement au passé. » Monseigneur Pie.

Le peuple qui a fait alliance avec Dieu aux fonds baptismaux de Reims, se repentira et retournera à sa première vocation. Un jour viendra(…) où la France, comme Saül sur le chemin de damas, sera enveloppé d’une lumière céleste… Tremblante et étonnée, elle dira : »Seigneur, que voulez vous que je fasse ? » et lui : « Lève toi, lave les souillures qui t’ont défigurées, réveille dans ton sein les sentiments assoupis et le pacte de notre alliance, et va, fille ainée de l’Eglise, nation prédestinée, vase d’élection, va porter, comme par le passé, mon nom devant tous les peuples et tous les rois de la Terre » Saint Pie X : allocution consistoriale de 20 novembre 1911.

L’homme médiocre est juste milieu sans le savoir. Il  l’est par nature, et non par opinion ; par caractère et non par accident. Qu’il soit violent, emporté, extrême, qu’il s’éloigne autant que possible des opinions du juste milieu, il sera médiocre. Il y aura de la médiocrité dans sa violence… Il admet quelquefois un principe mais si vous arrivez aux conséquences de ce principe, mais si vous arrivez aux conséquences de ce principe, il vous dira que vous exagérez…. L’homme vraiment médiocre admire un peu toutes choses, il n’admire rien avec chaleur. Si vous lui présentez ses propres pensées, ses propres sentiments rendus avec un certain enthousiasme, il sera mécontent. Il  répètera que vous exagérez. Il aimera mieux ses ennemis s’ils sont froids que ses amis s’ils sont chauds. Ce qu’il déteste, par-dessus tout, c’est la chaleur. L’homme médiocre dit qu’il y a du bon et du mauvais dans toutes choses, qu’il ne faut pas être absolu dans ses jugements etc. etc. Si vous affirmez fortement la vérité, l’homme médiocre dira que vous avez trop confiance en vous-même… L’homme médiocre dira que vous avez trop confiance en vous-même… L’homme intelligent lève la tête pour admirer et pour adorer ; l’homme médiocre le lève pour se moquer : tout ce qui est au dessus lui parait ridicule, l’infini lui parait néant… L’homme médiocre est le plus froid et le plus féroce ennemi de l’homme de génie… L’homme de génie compte sur l’enthousiasme ; il demande qu’on s’abandonne. L’homme médiocre ne s’abandonne jamais. Il est sans enthousiasme et sans pitié : ces deux choses sont toujours ensemble… L’homme médiocre est beaucoup plus méchant qu’il ne le croit et qu’on ne le croit, parce que sa froideur voile sa méchanceté… Au fond, il voudrait anéantir les races supérieurs : il se venge de ne le pouvoir pas en les taquinant… L’homme médiocre ne lutte pas : il peut réussir d’abord, il échoue toujours ensuite. L’homme supérieur lutte d’abord et réussit ensuite. L’homme médiocre réussit parce qu’il subit le courant ; l’homme supérieur triomphe parce qu’il va contre le courant. «  Ernest HELLO

Eugène V., ancien cadre : « Il y avait de la considération. On était 100 fois plus heureux quand il y avait le paternalisme » ; « c'était une famille », abonde Mohamed B. » Nord Eclair 14 septembre 2011

«  Les noms des hommes ont une importance inouïe, une importance qui leur échappe, parce qu’elle est au-dessus de leur intelligence. Leur nom parle leur être; 
c’est leur substance qui se trahit. » Ernest Hello

« Plus l'âme a reçu dans le silence, plus elle donne dans l'action.  »  Ernest Hello

«  Faisons donc l’éloge des hommes illustres,
Et des pères de notre race.
C’étaient des riches ayant des biens en abondance
Vivant en paix dans leur demeure.
Tous ces hommes furent honorés par leurs contemporains
Tous ont été la gloire de leur temps. »
« Le bonheur reste attaché à leur race
Et un héritage est assuré à leurs enfants.
Leur race se maintient fidèle aux alliances
Et leurs enfants à cause d’eux.

Leur race demeure éternellement
Et leur gloire ne sera jamais effacée.
leur corps a été enseveli en paix

Et leur nom vit d’âge en âge. » Ecclésiastique Chapitre 44

«  La Saga des Prouvost »,
Ouvrage non publié et sur souscription réservé à l'usage familial.
Il retrace aussi l'histoire des familles alliées.
2015.
Relié et numéroté.

Une grande part des renseignements et tableaux généalogiques contenus dans ces ouvrages proviennent de la base ROGLO et sont de notre unique responsabilité;
celle-ci peut contenir des erreurs malgré son sérieux reconnu et ses soins constants et nos vérifications. La base ROGLO décline toute responsabilité 

quand à leur justesse ou leur utilisation.

grandes familles du Nord ; grandes familles des Flandres ; grandes familles des hauts de France ; familles patriciennes du Nord

Remerciements :

Il importe de remercier :
Mes parents ;
Mon entourage familial dont l’alchimie a été un puissant moteur pour la réalisation de cette somme.
Pierre Prouvost qui, en 1748, réalisa la première et assez complète étude de la famille,
Mon grand père Charles Prouvost qui a incarné cette figure de chevalier et de capitaine
si fréquente dans la famille et qui reste la fierté de tous.
Les responsables de la base généalogique Roglo en la personne de Renaud du Mas de Paysac, l'association des amis de Roglo 
et aussi au Bottin des familles du Nord, couramment appelé " Le Ravet-Anceau" que guide Blanche de Kersaint;

Il importe de dire que nous avons supprimé les dates des contemporains pour la confidentialité (nous avons gardé l'année de mariage 
pour les situer au moins dans leur siècle!).

par contre, les personnalités aux monographies  connues sur Internet ont gardé leurs dates principales.
Albert-Eugène et Albert-Auguste Prouvost pour leur description sensible et juste de notre passé et leur rayonnement ;
Le rayonnement et le mécénat d’Anne et Albert Prouvost qui enchantèrent ma jeunesse.
Albert-Bruno Prouvost qui, à la vue de mes premiers travaux, m’avait encouragé à décrypter et calligraphier
le parchemin de notre passé  et aussi de faire revivre le poète Amédée Prouvost,
Mes remerciements vont aussi à Pierre de Bizemont qui voyait comme je voyais et m’a, de façon spontanée, rédigé la préface de ce livre,
les travaux, la rectitude et l'iconographie des généalogistes renommés Philippe A Rammaert-Mignot, Alain Watine-Ferrant, Ferdinand Cortyl, Gonzague Lemaître qui ont grandement contribué à valider et faire valider généalogiquement une bonne partie des ouvrages.
François-Joseph Furry pour son accompagnement et sa confiance tout au long de l'évolution des ouvrages.
Ma cousine Sylvie Lelouarn-Motte pour ces précieux documents et sa confiance instinctive en mon travail,
Mes chers Jean Claude et Lilibeth Dewavrin dont le rayonnement de toute une vie m’a guidé et qui restent une référence pour moi et l’incarnation de ces familles du Nord.
Mon cousin Xavier Prouvost pour ses validations systématiques dans les registres paroissiaux et de mairies, Bertrand Dufour pour ses images mortuaires et portraits,
Thierry Toulemonde, Pascal, Eymeric Segard , Emmanuel Rougier pour leur innombrable iconographie, Jean Philippe Cuvelier et Ferdinand Masurel, François-Xavier Lepoutre et Stéphane Lepoutre, auteurs de la vidéo et du livret sur la famille d’Auguste et Simone Lepoutre- Prouvost et disponible sur Dailymotion en exprimant toute l'élégance, le rayonnement et le réalisme; Alban Lepoutre pour ses recherches familiales, François Olivier-Six, Renaud Guibal, Jean Luc Mondanel.
Mes cousins Edmond et Chantale Prouvost- Dourlens, Antoine Uhalde qui a su être « sur la même longueur d’ondes », Gérard Becquart-Verlinde, M. et Mme Stéphane Piat, Philippe Prouvost-Florin, Maître Francis Barrois, Sophie Desurmont-Behaghel, Pïerre Behaghel-Watine, Philippe Cavril pour ses photos et cartes de Roubaix.


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