la lignée des Saint
" Entre
Amiens et Abbeville, le long de la Nièvre, dans les cantons de Domart en
Ponthieu, Flixecourt et Picquigny, l'industrie textile a fait vivre la
population pendant deux siècles. De sa création en 1814 par trois frères
marchands tisserands de Beauval aux années soixante, Saint Frères s’est
déployée dans la Somme dans la mono industrie du jute, Elle a employé jusqu’à
11 000 personnes, dont 9 000 dans le département, dans 20 usines, de Doullens à
Abbeville en passant par Amiens, et dans son cœur de la Vallée de la Nièvre,
Harondel (Berteaucourt) Saint-Ouen et l’Étoile et surtout Flixecourt ainsi que
des infrastructures collectives et des habitations, illustrations du
paternalisme social. »[1] et [2]
« C'est la
découverte d'une fibre nouvelle, le jute, qui change le destin de la ville et
par delà, de toute la région. Vers 1840, les Saint, négociants en toile
d'emballage établis à Rouen, découvrent cette toile importée des Indes, et
procèdent à des essais de tissage mécanique (1855-56). La machine, une fois
mise au point, est installée à Flixecourt, et les patrons font venir des
ouvriers écossais pour démarrer l'exploitation. En quelques décennies, le
nombre d'employés, de quelques dizaines au début, explose.
L'usine est
électrifiée dès 1907. La ville appartient dans les faits à la famille Saint,
qui organise l'habitat des employés (premiers lotissements vers 1870), installe
l'eau courante, propose l'électricité aux habitants, et met en place des
commerces coopératifs (La Prévoyance), une « école industrielle » et des
services sociaux (pharmacie, crèche en 1935, maternité en 1938). Les usines
connaîtront divers mouvements sociaux, particulièrement au moment de la crise
de 1934-36, mais conservent une compétitivité jusqu'en 1952. Cette année-là, la
toile industrielle connaît une crise de débouchés avec le développement des
emballages en polymère, qui fait s'effondrer en quelques années la demande en
Europe. Les Saint mettent en vente les logements ouvriers. Les primes de
compensations octroyées par les gouvernements successifs ne permettront pas une
reconversion des emplois, et de reventes (acquisition par la famille Willot en
1969, rachat de nouveau par Boussac-Saint Frères en 1982) en dépôts de bilan
(banqueroute d'Agache-Willot en juin 1981), l'industrie poursuit son déclin
jusqu'en 2004, date à laquelle débute la production de l'usine DEFIAL
(aujourd'hui BIGARD) de Flixecourt, qui fabrique des produits élaborés à base
de viande (steak haché, viande sous vide, tomates farcies) et emploie en 2008
près de 250 personnes. »[3]
Jusqu'à la 6e
génération. Base Roglo.
Pierre Saint, né en 1765, Beauval (Somme),
décédé le 13 décembre 1818, Beauval
(Somme), inhumé, paroisse St Nicolas, Beauval (Somme) (à l'âge de 53 ans),
tisserand.
Marié le 18 octobre 1787, Beauval
(Somme), avec Marie Angélique Candillon, née
vers 1764, décédée le 7 avril 1853, Beauval (Somme) (à l'âge de
peut-être 89 ans), ménagère, fileuse, dont
Branche ainée Pierre
Saint, né le 27 mars 1788, Beauval (Somme), décédé le 10 octobre 1847, Beauval
(Somme) (à l'âge de 59 ans), tisserand, marchand de toiles, ménager.
Marié le 5 mars 1810, Beauval (Somme), avec Marie-Madeleine Appoline Moignet, née le 1er juin 1787, Beauval (Somme), baptisée le 1er juin 1787, Beauval (Somme), décédée
après mai 1851, Beauval (Somme), fileuse (parrain et marraine: Benjamin Hordequin Marie Magdeleine Olive Caruel) (6 enfants), dont
Rameau
Jean Baptiste Saint, né le 9 février 1820, Beauval (Somme), décédé le 2 décembre 1880, Paris (à
l'âge de 60 ans).
Marié vers 1853 avec Stéphanie Zambaux, née le 28 novembre 1836, Paris,
décédée le 11 août 1900, Flixecourt (Somme) (à l'âge de 63
ans),
« Le
sentiment d'avoir une mission sociale à remplir ainsi qu'un devoir lié à leurs
convictions chrétiennes les incitent à y construire des cités ouvrières, en de
longs alignements de briques, rassemblant des maisons de quatre pièces avec
cour, jardin et buanderie, qu'ils louent à un prix modéré et leur permettent un
contrôle et une emprise sur la population , des
écoles, coopératives, crèches, une
maternité , une nouvelle église dans leur village natal sans compter
leurs châteaux etc. faisant de cette entreprise l'un des plus beaux fleurons du
paternalisme en France. »[4]
« Le paternalisme, qui fut principalement l’œuvre
du catholicisme social mais avec plusieurs branches :
les conservateurs voire réactionnaires qui sont les
vrais promoteurs du paternalisme :
les libéraux avec Lacordaire
les progressistes avec la CFTC, le MRP
En 1852, la loi sur les secours mutuels est promulguée
(les biens de la famille d’Orléans ayant été spolié sous Napoléon III, 50% de
ces biens sont attribués au secours mutuel).
Le théoricien du paternalisme est Frédéric Le Play,
conseiller d’état à Napoléon III en 1855.
Saint Frères n’est pas un cas unique : il faut citer
le Creusot, Meunier, Schneider, Michelin...Il s’agissait de réagir à un
mouvement social, d’endiguer la contestation.
Dans ce contexte, une commission consultative
d’industriels fut crée ainsi qu’une union de la paix sociale. Il fallait créer
des échanges et tirer des conséquences des expériences professionnelles de
chacun.
On peut citer Albert de Mun qui faisait parti du
cercle des catholiques ouvriers et qui en 1875, se pencha sur la question de la
famille (hygiène, morale, éducation...). Il s’agissait de prendre l’individu
dans sa globalité.
De même, il faut évoquer Léon Harmel qui était un
industriel près de Reims et qui avait crée une communauté du Val des Bois dans
lequel il y avait un conseil intérieur d’usine, un livret d’épargne de l’usine,
et surtout se furent les premiers à penser les allocations familiales. Il avait
aussi réalisé des internats car il embauchait beaucoup de jeunes filles dans la
confection. Il prenait surtout des orphelines qu’il dotait ensuite pour le
mariage. Il était cependant contre le travail des femmes. En 1889, il envoie
même 10 000 ouvriers à Rome pour rencontrer le pape car il est proche de Léon
XIII. On encourage la confrontation d’idées notamment par le biais des expositions
universelles. En 1867, le Play lance un concours auprès de 600 industriels
français et étrangers, afin de montrer les réalisations d’œuvres sociales. Le
Play lancera ensuite la société d’économie sociale. Cependant, parmi toutes ces
initiatives, il existe des opinions diverses, notamment par rapport au travail des femmes. Léon Harmel par exemple
était contre, l’usine pour lui était un lieu de promiscuité et de perversion.
La femme doit conserver la cellule familiale et s’occuper de l’éducation. Les
frères Saints sont pour le travail des femmes car c’est un besoin lié à la demande,
de plus il faut souligner qu’alors le travail journalier est payé 3F50 pour les
hommes, il est payé la moitié pour les femmes. Godin quant à lui est féministe,
il pense que le travail des femmes est lié directement à une perspective d’émancipation
pour ces dernières.
Quant à Albert de Mun, il s’est positionné pour la
réduction du temps de travail des enfants. La question du logement ouvrier a
crée également des dispositions particulières : les Frères Saint louaient leurs
logements (c’était alors un moyen de pression supplémentaire sur ces derniers).
Ils avaient alors une propre briqueterie à Oisemont qui servait à la
construction de ces logements. Au niveau des logements, il faut noter que la
hiérarchie était reproduite : ouvriers/contremaîtres/chefs/directeurs .
Egalement des jardins ouvriers furent crées, c’était
un moyen de subsistance supplémentaire, et une façon de limiter l’alcoolisme.
Cela revenait encore à contraindre l’ouvrier à un espace clos.
Tout ces facteurs laissent penser qu’il existait des
signes d’une certaine féodalité : à la fois dans l’usine et dans le fait que
les directeurs se fassent construire des châteaux à proximité, ils devaient être vus tels des seigneurs
industriels nouveaux. Cela a pour conséquence de marquer l’urbanisation du
territoire (Saint Ouen surtout). Il fallait montrer des signes de richesse,
Saint Frères dont la fortune est estimée, fin XIXème, à 20 millions de francs
or, possède deux maisons de vente : une à Paris, 34 rue du Louvre près du forum
des Halles et une seconde à Rouen.
Néanmoins, il faut nuancer ces propos, il existait une
fierté ouvrière à l’époque, lié à la transmission d’un savoir faire. Saint
Frères embauchait des jeunes gens après l’obtention du certificat d’étude et
c’était un honneur de rentrer dans la «maison ». De même, il y eut diverses
façons de concevoir le salaire : à la tâche (Saint Frères), les femmes étant
payées alors au nombre de kilos de fils ou mensualisé.
Dans ce contexte, en 1856, Dollfus (président de la
société mulhousienne des cités ouvrières) préside le congrès d’économie
charitable. Puis, en 1886, est née la société HBM (habitations bon marché).
Le 15 mai 1891, Léon XIII publie l’encyclique Rerum
Novarum qui prône la réconciliation des classes et le devoir pour tout homme
d’accepter sa condition. Cette encyclique intervient dans un contexte
particulier : les événements de Fourmies quelques jours auparavant, de même il
faut signaler plusieurs problèmes à Decazeville. Les patrons furent fâchés
quand les lois sociales furent divulguées puisqu’ils pensaient que c’étaient de
leurs initiatives que devaient émaner ces lois sociales.
Cependant, tout au long du XXème, on peut remarquer un
certain nombre d’avancées :
en 1936, le secrétaire départemental du textile signe
une convention collective qui reconnaît le syndicalisme.
en 1904, réduction du temps de travail à 10h, les
ouvriers demandent une compensation financière.
la même année, un mouvement important chez Cermichaël
oblige l’armée à intervenir en 1910, la
caisse de retraite est créée : les ouvriers considèrent que c’est une amputation
du salaire. L’une des conséquences est le sabotage à Harondel la même année en
1930, un décret d’application sur les assurances sociales est promulgué.
Cependant, avant toutes ces promulgations officielles
venant de l’Etat, des avancées avaient eu lieu de façon sporadique dans
certaines entreprises.
Dés les années 1860, des caisses de secours avaient
été crées. Alors qu’une loi crée une caisse pour les accidents de travail en
1898, celle-ci existe déjà dans depuis dix ans. Les ouvriers étaient forcés à
l’adhésion, bien avant que l’Etat promulgue cette loi. » Isabelle Mangin [5]
Le château
Rouge
« Avant
que Jean-Baptiste Saint ne fasse construire cette première demeure patronale
face à l'entrée principale de l'usine de toile en jute, le site est occupé par
deux petites maisons appartenant à Charles Marie Godin, ébéniste, et Didier
Alexandre Carpentier, débitant de boissons. L’ensemble est vendu le 18 mars
1861 et les maisons présentes sur le terrain sont détruites en 1863, comme
l'atteste le registre des matrices cadastrales qui signale la destruction de
deux maisons à cette date.
La nouvelle
demeure est construite en 1864. Le partage effectué le 4 mai 1864 entre les
frères Saint confirme cette date de construction et évoque "une maison de
maître récemment construite […] vis-à-vis de l'usine dont elle n'est séparée
que par la route [...] construite aux frais de la société", qui est
complétée par "une autre petite maison servant de logement d’employés, une
autre maison tombant en ruine". Les plans de cette demeure peuvent être
attribués à Paul Delefortrie, dont un des projets pour la façade principale
figure dans le fonds de l'agence Delefortrie (AD Somme). Cette intervention
constituerait la première collaboration de la famille Saint avec l'architecte.
L'immeuble est
complété vers 1875 de plusieurs bâtiments de dépendances et de communs, avec
étables et pigeonnier.
Jusqu'en 1880,
cette demeure est la résidence de Jean-Baptiste Saint et de sont épouse, qui y
vivaient avec leurs enfants, les trois domestiques et l'institutrice. Après le
décès de son mari, Stéphanie Saint (née Zambaux) quitte les lieux après avoir
fait construire le château de la Navette. Dès lors, le château Rouge est repris
par l'entreprise. En 1929, il est converti en maison des œuvres sociales et
accueille dans ce cadre le centre de formation de l'entreprise, ainsi que la
crèche installée à partir de 1937. »[6]
Château de la Navette à Flixecourt
Après la mort de l'industriel en 1880, sa veuve, née Stéphanie Zambaux,
acquiert de vastes terrains en bordure de la route de L’Étoile. A partir de
1882, elle y fait construire une grande demeure de style éclectique, pour
laquelle Delefortrie donne plusieurs projets, dont le plus ample sera le parti
choisi, pour un coût de construction estimé à plus de 800 000 francs. Le gros
œuvre est achevé en 1884, et la décoration intérieure, particulièrement
raffinée, en 1886, date que porte la grille du portail d'entrée. L'identité des
maîtres d'oeuvre de ce décor n'est pas connue, mais l'on peut peut-être avancer
les noms du sculpteur Alexandre Hesse ou du menuisier Labbé, collaborateurs
habituels de l'agence Delefortrie, qui ont notamment travaillé au château
d'Havernas entre 1875 et 1882. Les verrières de certaines pièces (grande salle
à manger, billard, salle de bains) sont signés du peintre-verrier Joseph
Vantillard. Le parc paysager, quant à lui, est attribué par tradition orale au
célèbre ingénieur et créateur de jardins parisien Jean-Charles Alphand.
Pierre Saint, le fils de Jean-Baptiste et Stéphanie Saint, qui dirige les
usines de la Somme à la suite de son père, occupe le château de 1900 à sa mort,
en 1943. Si en 1909, il évoque son souhait de redessiner le parc "afin que
le château proprement dit n'écrase pas autant la propriété", il abandonne
finalement cette idée de jardin à la Française, pour se concentrer sur
l'extension du logis en 1910, et surtout sur l'agrandissement considérable du
domaine entièrement boisée. »[7]
Le château blanc
à Flixecourt
Immeuble du 34, rue du Louvre à Paris
dont
Blanche Saint, née le 13 décembre 1854, Paris,
décédée le 26 janvier 1915, Paris (à
l'âge de 60 ans).
Mariée en janvier 1879 avec Guillaume Saint, né
en 1854, décédé en 1904 (à l'âge de 50 ans), ...
Henri Saint, né le 25 juillet 1856, Paris, décédé
le 31 janvier 1907, Paris (à
l'âge de 50 ans).
Marié le 20 février 1879, Rouen
(Seine-Maritime), avec Alice Saint, née le 11 octobre 1858, Rouen
(Seine-Maritime), décédée le 15 novembre 1940, Paris (à
l'âge de 82 ans),
Marie Saint, née le 16 février 1880, Fixecourt
(Somme), décédée le 27 octobre 1949, Tourcoing
(Nord) (à l'âge de 69 ans).
Mariée avec Albert Six,
René Saint, né le 2 mars 1881, Flixecourt (Somme), décédé le 29 septembre 1946, Paris (à
l'âge de 65 ans).
Marié le 12 avril 1912, Paris, avec Jeanne Carmen Rodrigue, née le 22 octobre 1891, Lulés
(Argentine), décédée le 26 août 1975, Belloy-sur-Somme (Somme) (à l'âge
de 83 ans), dont
Jacqueline Saint, née
en 1913.
Henri Saint, décédé le 8 août 1915, Paris.
Marie José Saint.
Mariée avec Roger Objois, né en 1912, ...
Jeanne Saint, née le 12 mai 1882, Flixecourt (Somme), décédée le 16 avril 1945, Reims (Marne) (à l'âge de 62 ans).
Mariée le 11 juillet 1905, Flixécourt
(80), avec André Mandron, né le 17 décembre 1876, Reims (51),
décédé le 14 décembre 1953, Reims (51) (à
l'âge de 76 ans), docteur en droit, notaire, ...
Thérèse Saint, née le 14 août 1883, Fixecourt (80), décédée le 24 janvier 1967, Rouen (76) (à
l'âge de 83 ans).
Mariée le 15 février 1910, Fixecourt
(80), avec Maurice Barrois, né le 2 avril 1878, Fives (59), décédé (onze enfants),
...
Robert Saint, né en 1884, décédé le 17 juillet 1964, Paris 16e (à
l'âge de 80 ans).
Germaine Saint, née le 9 avril 1887, Fixecourt (Somme), décédée le 10 octobre 1955, Paris (à
l'âge de 68 ans).
Mariée le 4 mai 1908, Fixecourt (Somme), avec René Frémaux, né en 1882, Armentières
(Nord), décédé le 16 février 1942 (à l'âge de 60
ans), ...
Raymond Saint, né
en 1890, décédé le 2 mars 1967 (à l'âge de 77 ans).
Marié en janvier 1922, Paris 16ème, avec Marie-Suzanne Reumaux, née le 11 mai 1895, Béthune (Pas-de-Calais), décédée le 20 septembre 1990,
Boissy-Saint-Léger (Val-de-Marne) (à l'âge de 95 ans), dont Michel et
Philippe
Rameau
Charles Saint, né le 13 septembre 1826, Beauval
(Somme), décédé le 28 janvier 1902, Paris 8e (à
l'âge de 75 ans), industriel, manufacturier, député de la Somme (1894-1902).
Marié le 6 mai 1851, Beauval (Somme), avec Opportune Marie Marcelline Saint, née le 6 mai 1831, Beauval (Somme), décédée le 18 janvier 1911, Paris (à
l'âge de 79 ans),
dont
Jules César Saint, né
en 1853, décédé en 1854 (à l'âge de un an).
Guillaume Saint, né
en 1854, décédé en 1904 (à l'âge de 50 ans).
Marié en janvier 1879 avec Blanche Saint, née le 13 décembre 1854, Paris,
décédée le 26 janvier 1915, Paris (à
l'âge de 60 ans), dont
Jean Saint, né le 14 février 1880, Paris, décédé
le 14 novembre 1955,
Bouchevilliers (Eure) (à l'âge de 75 ans).
Marié le 30 avril 1906, Paris, avec Joséphine Bonnaud O'Brien, née le 26 juin 1882, Calcutta ( Indes), décédée le 22 février 1951, Paris (à
l'âge de 68 ans),
dont
Charles Saint, né
en 1907, décédé en 1964 (à l'âge de 57 ans).
Geneviève Saint, née le 4 janvier 1911, Paris, décédée le 27 août 1998, Bouchevilliers (à l'âge de 87
ans).
Mariée avec Jean Devilder, ...
Gui Saint, né en 1914, décédé
en 2002 (à l'âge de 88 ans).
Jacqueline Saint, née
en 1915.
Mary Saint, née le 19 novembre 1918, Paris,
décédée le 30 mars 2013, inhumée le 4 avril 2013, cimetière de Bouchevilliers (Eure)
(à l'âge de 94 ans).
Mariée avec Alain Michel, ...
Charles Saint.
Mathilde Saint, née le 30 novembre 1884, Paris,
décédée le 11 janvier 1941, Paris (à
l'âge de 56 ans).
Mariée avec Maurice Leroy,
Jacques Saint, né
en 1886, décédé en 1966, Paris (à l'âge de 80 ans).
Mathilde Saint.
Mariée avec François Joseph Mistral-Bernard, né
en 1844, décédé en 1911 (à l'âge de 67 ans), maire de Saint-Rémy,
Conseiller général, ...
Maurice Saint, né le 12 juin 1863, Paris 1er, décédé en 1936 (à
l'âge de 73 ans), industriel (1897) (filleul: Maurice Druon 1918-2009).
Marié le 4 mai 1897, Paris 8e, avec Madeleine Anceau, née le 15 avril 1878, Paris 8e, décédée le 19 janvier 1960, Monaco (à
l'âge de 81 ans) (témoins: Jules Abel Saint 1829-1900, François Joseph Mistral-Bernard 1844-1911, Georges Louis Anceau 1852, Lucien Alfred Heudebert 1861), divorcés.
André Saint, né le 29 décembre 1871, Paris, décédé
en 1932, Paris (à l'âge de 61 ans).
Marié avec Madeleine Bariquand, née
en 1879, décédée en 1955 (à l'âge de 76 ans), dont
Roger Saint, né en 1906, décédé
en 1990 (à l'âge de 84 ans), président-directeur général des
établissements Saint Frères.
Marié avec Edith Ridel.
Marié avec Raymonde Barat, dont
Annick Saint, née le 18 janvier 1929, Paris 16e,
décédée le 23 octobre 1994,
Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine) (à l'âge de 65 ans).
Mariée avec Jacques, vicomte de Luppé, né le 5 novembre 1929,
Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine), décédé en mai 2008 (à l'âge de
78 ans), rédacteur juridique, divorcés, ...
Martine Saint.
Mariée avec Claude Willemetz,
administrateur du Théâtre des Bouffes Parisiens, puis du Théâtre de la
Michodière, ...
Marié avec Nicole Poutignat, née le 10 février 1942.
Daniel Saint, né en 1908, décédé
en 1973 (à l'âge de 65 ans).
Marié avec Norah Harrison, née
en 1904, décédée en 1943, Biarritz (à l'âge de 39 ans), dont
Ronald Saint, né le 30 juillet 1933.
Marié avec Eliane Cochard (3 enfants).
Marié avec Carmine Ferrone, née le 18 juin 1917, Niteroi (Brésil).
Michel Saint, né en 1914, décédé
en 1934 (à l'âge de 20 ans).
Monique Saint, née
en 1915, décédée le 31 mai 2007 (à l'âge de 92 ans).
Mariée le 11 février 1946, Paris 16°,
avec Bernard Robinet de Plas, né le 20 août 1901, Saint-Quentin, 02, décédé le 3 octobre 1981, Boulogne-Billancourt, , 92 (à
l'âge de 80 ans), officier des Affaires indigènes
conseiller général de la Charente, divorcés, ... Mariée le 12 novembre 1959, Septeuil
(Yvelines), avec Roberto Caracciolo, duca di San Vito (12e, 1938), né le 23 mai 1907, Alexandrie (Egypte), décédé le 15 novembre 2002, Montreux
(Suisse) (à l'âge de 95 ans), diplomate.
Amable Saint, né le 9 avril 1790, Beauval (Somme), décédé
après 1840.
Branche cadette Pierre
François Saint, né le 3 mai 1797, Beauval (Somme), décédé le 2 novembre 1878, Beauval
(Somme) (à l'âge de 81 ans).
Marié avec Marie Magdeleine Mélanie Caruel, née le 23 janvier 1801, Beauval
(Somme), décédée le 5 septembre 1867 (à l'âge de 66
ans), dont
Joseph Pierre François Saint, né le 23 mai 1824, Beauval (Somme), décédé le 16 septembre 1886, Beauval
(Somme) (à l'âge de 62 ans).
Mélanie Saint, née le 12 octobre 1825, Beauval
(Somme), décédée le 23 avril 1893, Amiens (Somme) (à l'âge de 67
ans).
Jules Abel Saint, né le 26 juillet 1829, Beauval
(Somme), décédé le 4 août 1900, Rouen (Seine-Maritime) (à l'âge de
71 ans), manufacturier (1897).
Marié en septembre 1851 avec Adèle Mélanie Rosa Candas, née le 18 août 1834, Beauval (Somme), décédée le 31 mars 1911, Rouen (Seine-Maritime) (à l'âge de
76 ans), dont
Julia Saint, née en 1852, décédée le 9 septembre 1926, Houlgate
(Calvados) (à l'âge de 74 ans).
Berthe Saint, née en 1855, décédée
en 1892 (à l'âge de 37 ans).
Edmond Saint, né le 28 août 1857, Rouen (Seine-Maritime), décédé le 28 novembre 1889, Rouen
(Seine-Maritime) (à l'âge de 32 ans).
Alice Saint, née le 11 octobre 1858, Rouen
(Seine-Maritime), décédée le 15 novembre 1940, Paris (à
l'âge de 82 ans).
Mariée le 20 février 1879, Rouen
(Seine-Maritime), avec Henri Saint, né le 25 juillet 1856, Paris, décédé
le 31 janvier 1907, Paris (à
l'âge de 50 ans), ...
Lucie Esther Celina Saint, née
en 1860, décédée le 20 septembre 1930,
Déville-les-Rouen (Seine-Maritime) (à l'âge de 70 ans).
Mariée avec Louis Henri Long, né
en 1851, décédé, ...
Francine Saint, née le 9 juin 1861, Rouen, décédée le 11 septembre 1883, Rouen, 76 (à
l'âge de 22 ans).
Mariée le 9 octobre 1882 avec Charles Marie Demonchy, né le 20 mars 1856, Rouen (76), décédé le 15 janvier 1922, Isménil (76)
(à l'âge de 65 ans), ...
Gaston Saint, né le 10 mai 1866, Rouen (Seine-Maritime), décédé le 5 février 1924, Paris (à l'âge de 57 ans).
Marié le 10 juin 1898, Melbourne, Australie, avec Elisabeth Gilmont, née
en 1873, décédée, dont
René Saint, né le 8 juin 1899, Rouen, 76.
Mercedes Saint, née le 20 janvier 1901, Rouen, 76,
décédée en 1917 (à l'âge de 16 ans).
Marie Victorine Saint, née le 3 septembre 1902, Rouen, 76,
décédée en 2004 (à l'âge de 102 ans).
Mariée le 5 décembre 1927,
Mont-Saint-Aignan (Seine-Maritime), avec Marie Joseph Emile Forthomme. Mariée le 9 janvier 1945, Brive-la-Gaillarde; 19, avec Pierre Cordier.
André Saint, né le 30 avril 1908, Mont Saint-Aignan, 76, décédé le 30 décembre 1964 (à l'âge de 56
ans), administrateur de la société Saint Frères.
Marié en 1937 avec Elisabeth Guillemin, née le 8 février 1910, dont descendance
Camille Nelly Saint, née
en 1872, décédée le 14 septembre 1928, Rouen
(Seine-Maritime) (à l'âge de 56 ans).
Paul Saint, décédé en avril 1907.
Opportune Marie Marcelline Saint, née le 6 mai 1831, Beauval (Somme), décédée le 18 janvier 1911, Paris (à
l'âge de 79 ans).
Mariée le 6 mai 1851, Beauval (Somme), avec Charles Saint, né le 13 septembre 1826, Beauval
(Somme), décédé le 28 janvier 1902, Paris 8e (à
l'âge de 75 ans), industriel, manufacturier, député de la Somme (1894-1902),
...
Angélique Marcelline Saint, née le 1er août 1806, Beauval (Somme), décédée le 8 novembre 1889 (à l'âge de 83
ans).
Total: 64 personnes
(conjoints non compris).
[1] :
http://fresques.ina.fr/picardie/fiche-media/Picard00325/saint-freres-dans-la-vallee-de-la-nievre.html
[2] :
http://www.courrier-picard.fr/loisirs-pratique/saint-freres-les-corons-du-jute-parlent-encore-ia0b0n623215
[3] :
Contenu soumis à la licence CC-BY-SA 3.0
(http://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0/deed.fr) Source : Article
Flixecourt de Wikipédia en français (http://fr.wikipedia.org/wiki/Flixecourt).
[4] :
http://www.amiens-ouest-tourisme.fr/patrimoine-industriel,fr,8,101.cfm
[5] :
http://picardie.profs.hg.free.fr/bulletin_2009/abbeville_2009/J02_Saint_freres.pdf
[6] :
https://inventaire.picardie.fr/dossier/demeure-d-industriel-dite-chateau-rouge-a-flixecourt/add7b9b4-1f4a-4b2a-87f9-56637db17109
[7] :
https://inventaire.picardie.fr/dossier/demeure-d-industriel-dite-chateau-de-la-navette-a-flixecourt/ad2376be-5e55-4c9e-acb3-8af5582c895e
[8] :
https://inventaire.picardie.fr/dossier/ancienne-demeure-d-alice-saint-dite-chateau-blanc-a-flixecourt/22b37f16-d565-4f55-9a45-527dfc5d5ac4#historique