Quelques illustrations de

la lignée des Saint

" Entre Amiens et Abbeville, le long de la Nièvre, dans les cantons de Domart en Ponthieu, Flixecourt et Picquigny, l'industrie textile a fait vivre la population pendant deux siècles. De sa création en 1814 par trois frères marchands tisserands de Beauval aux années soixante, Saint Frères s’est déployée dans la Somme dans la mono industrie du jute, Elle a employé jusqu’à 11 000 personnes, dont 9 000 dans le département, dans 20 usines, de Doullens à Abbeville en passant par Amiens, et dans son cœur de la Vallée de la Nièvre, Harondel (Berteaucourt) Saint-Ouen et l’Étoile et surtout Flixecourt ainsi que des infrastructures collectives et des habitations, illustrations du paternalisme social. »[1] et [2]

« C'est la découverte d'une fibre nouvelle, le jute, qui change le destin de la ville et par delà, de toute la région. Vers 1840, les Saint, négociants en toile d'emballage établis à Rouen, découvrent cette toile importée des Indes, et procèdent à des essais de tissage mécanique (1855-56). La machine, une fois mise au point, est installée à Flixecourt, et les patrons font venir des ouvriers écossais pour démarrer l'exploitation. En quelques décennies, le nombre d'employés, de quelques dizaines au début, explose.

L'usine est électrifiée dès 1907. La ville appartient dans les faits à la famille Saint, qui organise l'habitat des employés (premiers lotissements vers 1870), installe l'eau courante, propose l'électricité aux habitants, et met en place des commerces coopératifs (La Prévoyance), une « école industrielle » et des services sociaux (pharmacie, crèche en 1935, maternité en 1938). Les usines connaîtront divers mouvements sociaux, particulièrement au moment de la crise de 1934-36, mais conservent une compétitivité jusqu'en 1952. Cette année-là, la toile industrielle connaît une crise de débouchés avec le développement des emballages en polymère, qui fait s'effondrer en quelques années la demande en Europe. Les Saint mettent en vente les logements ouvriers. Les primes de compensations octroyées par les gouvernements successifs ne permettront pas une reconversion des emplois, et de reventes (acquisition par la famille Willot en 1969, rachat de nouveau par Boussac-Saint Frères en 1982) en dépôts de bilan (banqueroute d'Agache-Willot en juin 1981), l'industrie poursuit son déclin jusqu'en 2004, date à laquelle débute la production de l'usine DEFIAL (aujourd'hui BIGARD) de Flixecourt, qui fabrique des produits élaborés à base de viande (steak haché, viande sous vide, tomates farcies) et emploie en 2008 près de 250 personnes. »[3]

 Photos réunies par Jacques Cossart-Flipo et Martin Six-d'Halluin

Jusqu'à la 6e génération. Base Roglo.

Pierre Saint, né en 1765, Beauval (Somme), décédé le 13 décembre 1818, Beauval (Somme), inhumé, paroisse St Nicolas, Beauval (Somme) (à l'âge de 53 ans), tisserand.
Marié
le 18 octobre 1787, Beauval (Somme), avec Marie Angélique Candillon, née vers 1764, décédée le 7 avril 1853, Beauval (Somme) (à l'âge de peut-être 89 ans), ménagère, fileuse, dont

Branche ainée Pierre Saint, né le 27 mars 1788, Beauval (Somme), décédé le 10 octobre 1847, Beauval (Somme) (à l'âge de 59 ans), tisserand, marchand de toiles, ménager.
Marié
le 5 mars 1810, Beauval (Somme), avec Marie-Madeleine Appoline Moignet, née le 1er juin 1787, Beauval (Somme), baptisée le 1er juin 1787, Beauval (Somme), décédée après mai 1851, Beauval (Somme), fileuse (parrain et marraine: Benjamin Hordequin Marie Magdeleine Olive Caruel) (6 enfants), dont

Rameau Jean Baptiste Saint, né le 9 février 1820, Beauval (Somme), décédé le 2 décembre 1880, Paris (à l'âge de 60 ans).
Marié vers 1853 avec
Stéphanie Zambaux, née le 28 novembre 1836, Paris, décédée le 11 août 1900, Flixecourt (Somme) (à l'âge de 63 ans),

 

Saint-Jean-Baptiste

 

FlixecourtFlixecourt-cite-ouvriere

« Le sentiment d'avoir une mission sociale à remplir ainsi qu'un devoir lié à leurs convictions chrétiennes les incitent à y construire des cités ouvrières, en de longs alignements de briques, rassemblant des maisons de quatre pièces avec cour, jardin et buanderie, qu'ils louent à un prix modéré et leur permettent un contrôle et une emprise sur la population , des  écoles, coopératives, crèches, une  maternité , une nouvelle église dans leur village natal sans compter leurs châteaux etc. faisant de cette entreprise l'un des plus beaux fleurons du paternalisme en France. »[4]

« Le paternalisme, qui fut principalement l’œuvre du catholicisme social mais avec plusieurs branches :

les conservateurs voire réactionnaires qui sont les vrais promoteurs du paternalisme :
les libéraux avec Lacordaire 
les progressistes avec la CFTC, le MRP

En 1852, la loi sur les secours mutuels est promulguée (les biens de la famille d’Orléans ayant été spolié sous Napoléon III, 50% de ces biens sont attribués au secours mutuel).

Le théoricien du paternalisme est Frédéric Le Play, conseiller d’état à Napoléon III en 1855.

Saint Frères n’est pas un cas unique : il faut citer le Creusot, Meunier, Schneider, Michelin...Il s’agissait de réagir à un mouvement social, d’endiguer la contestation.

Dans ce contexte, une commission consultative d’industriels fut crée ainsi qu’une union de la paix sociale. Il fallait créer des échanges et tirer des conséquences des expériences professionnelles de chacun.

On peut citer Albert de Mun qui faisait parti du cercle des catholiques ouvriers et qui en 1875, se pencha sur la question de la famille (hygiène, morale, éducation...). Il s’agissait de prendre l’individu dans sa globalité.

De même, il faut évoquer Léon Harmel qui était un industriel près de Reims et qui avait crée une communauté du Val des Bois dans lequel il y avait un conseil intérieur d’usine, un livret d’épargne de l’usine, et surtout se furent les premiers à penser les allocations familiales. Il avait aussi réalisé des internats car il embauchait beaucoup de jeunes filles dans la confection. Il prenait surtout des orphelines qu’il dotait ensuite pour le mariage. Il était cependant contre le travail des femmes. En 1889, il envoie même 10 000 ouvriers à Rome pour rencontrer le pape car il est proche de Léon XIII. On encourage la confrontation d’idées notamment par le biais des expositions universelles. En 1867, le Play lance un concours auprès de 600 industriels français et étrangers, afin de montrer les réalisations d’œuvres sociales. Le Play lancera ensuite la société d’économie sociale. Cependant, parmi toutes ces initiatives, il existe des opinions diverses, notamment par rapport au travail des femmes. Léon Harmel par exemple était contre, l’usine pour lui était un lieu de promiscuité et de perversion. La femme doit conserver la cellule familiale et s’occuper de l’éducation. Les frères Saints sont pour le travail des femmes car c’est un besoin lié à la demande, de plus il faut souligner qu’alors le travail journalier est payé 3F50 pour les hommes, il est payé la moitié pour les femmes. Godin quant à lui est féministe, il pense que le travail des femmes est lié directement à une perspective d’émancipation pour ces dernières.

Quant à Albert de Mun, il s’est positionné pour la réduction du temps de travail des enfants. La question du logement ouvrier a crée également des dispositions particulières : les Frères Saint louaient leurs logements (c’était alors un moyen de pression supplémentaire sur ces derniers). Ils avaient alors une propre briqueterie à Oisemont qui servait à la construction de ces logements. Au niveau des logements, il faut noter que la hiérarchie était reproduite : ouvriers/contremaîtres/chefs/directeurs .

Egalement des jardins ouvriers furent crées, c’était un moyen de subsistance supplémentaire, et une façon de limiter l’alcoolisme. Cela revenait encore à contraindre l’ouvrier à un espace clos.

Tout ces facteurs laissent penser qu’il existait des signes d’une certaine féodalité : à la fois dans l’usine et dans le fait que les directeurs se fassent construire des châteaux à proximité,  ils devaient être vus tels des seigneurs industriels nouveaux. Cela a pour conséquence de marquer l’urbanisation du territoire (Saint Ouen surtout). Il fallait montrer des signes de richesse, Saint Frères dont la fortune est estimée, fin XIXème, à 20 millions de francs or, possède deux maisons de vente : une à Paris, 34 rue du Louvre près du forum des Halles et une seconde à Rouen.

Néanmoins, il faut nuancer ces propos, il existait une fierté ouvrière à l’époque, lié à la transmission d’un savoir faire. Saint Frères embauchait des jeunes gens après l’obtention du certificat d’étude et c’était un honneur de rentrer dans la «maison ». De même, il y eut diverses façons de concevoir le salaire : à la tâche (Saint Frères), les femmes étant payées alors au nombre de kilos de fils ou mensualisé.

Dans ce contexte, en 1856, Dollfus (président de la société mulhousienne des cités ouvrières) préside le congrès d’économie charitable. Puis, en 1886, est née la société HBM (habitations bon marché).

Le 15 mai 1891, Léon XIII publie l’encyclique Rerum Novarum qui prône la réconciliation des classes et le devoir pour tout homme d’accepter sa condition. Cette encyclique intervient dans un contexte particulier : les événements de Fourmies quelques jours auparavant, de même il faut signaler plusieurs problèmes à Decazeville. Les patrons furent fâchés quand les lois sociales furent divulguées puisqu’ils pensaient que c’étaient de leurs initiatives que devaient émaner ces lois sociales.

Cependant, tout au long du XXème, on peut remarquer un certain nombre d’avancées :

en 1936, le secrétaire départemental du textile signe une convention collective qui reconnaît le syndicalisme.

en 1904, réduction du temps de travail à 10h, les ouvriers demandent une compensation financière.

la même année, un mouvement important chez Cermichaël oblige l’armée à intervenir  en 1910, la caisse de retraite est créée : les ouvriers considèrent que c’est une amputation du salaire. L’une des conséquences est le sabotage à Harondel la même année en 1930, un décret d’application sur les assurances sociales est promulgué.

Cependant, avant toutes ces promulgations officielles venant de l’Etat, des avancées avaient eu lieu de façon sporadique dans certaines entreprises.

Dés les années 1860, des caisses de secours avaient été crées. Alors qu’une loi crée une caisse pour les accidents de travail en 1898, celle-ci existe déjà dans depuis dix ans. Les ouvriers étaient forcés à l’adhésion, bien avant que l’Etat promulgue cette loi. »  Isabelle Mangin [5]

Le château Rouge

Elévation de la façade de la propriété de M. Henri Saint, dressé par Delefortrie, [s.d.]  (AD Somme ; 13 Fi 61).Flixecourt-chateau-rouge

« Avant que Jean-Baptiste Saint ne fasse construire cette première demeure patronale face à l'entrée principale de l'usine de toile en jute, le site est occupé par deux petites maisons appartenant à Charles Marie Godin, ébéniste, et Didier Alexandre Carpentier, débitant de boissons. L’ensemble est vendu le 18 mars 1861 et les maisons présentes sur le terrain sont détruites en 1863, comme l'atteste le registre des matrices cadastrales qui signale la destruction de deux maisons à cette date.

La nouvelle demeure est construite en 1864. Le partage effectué le 4 mai 1864 entre les frères Saint confirme cette date de construction et évoque "une maison de maître récemment construite […] vis-à-vis de l'usine dont elle n'est séparée que par la route [...] construite aux frais de la société", qui est complétée par "une autre petite maison servant de logement d’employés, une autre maison tombant en ruine". Les plans de cette demeure peuvent être attribués à Paul Delefortrie, dont un des projets pour la façade principale figure dans le fonds de l'agence Delefortrie (AD Somme). Cette intervention constituerait la première collaboration de la famille Saint avec l'architecte.

L'immeuble est complété vers 1875 de plusieurs bâtiments de dépendances et de communs, avec étables et pigeonnier.

Jusqu'en 1880, cette demeure est la résidence de Jean-Baptiste Saint et de sont épouse, qui y vivaient avec leurs enfants, les trois domestiques et l'institutrice. Après le décès de son mari, Stéphanie Saint (née Zambaux) quitte les lieux après avoir fait construire le château de la Navette. Dès lors, le château Rouge est repris par l'entreprise. En 1929, il est converti en maison des œuvres sociales et accueille dans ce cadre le centre de formation de l'entreprise, ainsi que la crèche installée à partir de 1937. »[6]

 

Château de la Navette à Flixecourt

 

Flixecourt-Saint

Flixecourt-SaintFlixecourt-Saint

Flixecourt

« Jean-Baptiste Saint, qui dirige l'ensemble des usines Saint Frères de la Somme entre 1863 et 1880, habite avec sa famille la demeure dite Château rouge, qui appartenait à l'entreprise et servait de logement patronal. Il envisage toutefois de faire construire à Flixecourt une demeure plus conforme à son statut social, pour laquelle l'architecte amiénois Paul Delefortrie donne des projets en 1878, qui ne seront pas menés à bien.

Après la mort de l'industriel en 1880, sa veuve, née Stéphanie Zambaux, acquiert de vastes terrains en bordure de la route de L’Étoile. A partir de 1882, elle y fait construire une grande demeure de style éclectique, pour laquelle Delefortrie donne plusieurs projets, dont le plus ample sera le parti choisi, pour un coût de construction estimé à plus de 800 000 francs. Le gros œuvre est achevé en 1884, et la décoration intérieure, particulièrement raffinée, en 1886, date que porte la grille du portail d'entrée. L'identité des maîtres d'oeuvre de ce décor n'est pas connue, mais l'on peut peut-être avancer les noms du sculpteur Alexandre Hesse ou du menuisier Labbé, collaborateurs habituels de l'agence Delefortrie, qui ont notamment travaillé au château d'Havernas entre 1875 et 1882. Les verrières de certaines pièces (grande salle à manger, billard, salle de bains) sont signés du peintre-verrier Joseph Vantillard. Le parc paysager, quant à lui, est attribué par tradition orale au célèbre ingénieur et créateur de jardins parisien Jean-Charles Alphand.

Pierre Saint, le fils de Jean-Baptiste et Stéphanie Saint, qui dirige les usines de la Somme à la suite de son père, occupe le château de 1900 à sa mort, en 1943. Si en 1909, il évoque son souhait de redessiner le parc "afin que le château proprement dit n'écrase pas autant la propriété", il abandonne finalement cette idée de jardin à la Française, pour se concentrer sur l'extension du logis en 1910, et surtout sur l'agrandissement considérable du domaine entièrement boisée. »[7]

Le château blanc à Flixecourt

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 "À la suite du mariage de son fils René en 1912, Alice Saint (1858-1940), veuve d'Henri Saint, principal administrateur de l'entreprise familiale de 1890 à 1907, décide de laisser la demeure dite Château Rouge, où elle réside, au jeune couple, et entreprend de faire construire une nouvelle demeure, en contrebas dans la même rue. Elle en confie la réalisation à l'architecte tourquenois Charles Bourgeois (1878-1941), dont la signature figure à droite de l'entrée sur rue. L'immeuble est achevé en 1913. Bien que formé auprès des architectes modernistes bruxellois Paul Ankar et Victor Horta, Charles Bourgeois, réputé comme l'un des chefs de fil de l'Art Nouveau de la région lilloise, choisit à Flixecourt un style architectural très classique, voire académique, que l'on retrouve également dans la distribution et le décor intérieurs. Seuls quelques éléments de décor floral (encadrement des baies des élévations, verrières, rampe d'escalier), timide influence du style Art nouveau, ainsi que le sobre décor boisé de l'ancienne salle à manger, trahissent une construction du début du 20e siècle. Construit principalement en pierre de taille, le château prend très vite le nom de Château Blanc, en opposition au Château rouge, construit en brique. Il demeure la résidence d'Alice Saint Jusqu'à son décès en 1940. Après cette date, l'immeuble est repris par la société Saint Frères qui procède à quelques aménagements intérieurs et le rebaptise en Résidence, destiné aux dirigeants de l'entreprise, tels que Henri Pelcé, ou l'ingénieur Malafosse, à l'origine du métier à tisser circulaire.Vers 1975, le château est transformé en hôtel, avant d'être revendu en 1990. Il devient alors un foyer de vie pour personnes en situation de handicap psychique stabilisé. En 2005, le bâtiment est victime d'un incendie qui affecte particulièrement les combles et les étages supérieurs. L'ensemble est restauré et complété en 2007 par un bâtiment d'hébergement pour les résidents. Depuis janvier 2013, le site est géré par l'ADEPEI (Association départementale de parents et amis de personnes handicapées mentales). »

[8]

Immeuble du 34, rue du Louvre à Paris

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Saint-Jean-BaptisteSaint-Jean-Baptiste-

dont

Blanche Saint, née le 13 décembre 1854, Paris, décédée le 26 janvier 1915, Paris (à l'âge de 60 ans).
Mariée en janvier 1879 avec
Guillaume Saint, né en 1854, décédé en 1904 (à l'âge de 50 ans), ...

Henri Saint, né le 25 juillet 1856, Paris, décédé le 31 janvier 1907, Paris (à l'âge de 50 ans).
Marié
le 20 février 1879, Rouen (Seine-Maritime), avec Alice Saint, née le 11 octobre 1858, Rouen (Seine-Maritime), décédée le 15 novembre 1940, Paris (à l'âge de 82 ans),

Saint-Saint-AliceSaint-Saint-Henri-Alice

 dont

Marie Saint, née le 16 février 1880, Fixecourt (Somme), décédée le 27 octobre 1949, Tourcoing (Nord) (à l'âge de 69 ans).
Mariée avec
Albert Six,

Six-SaintSix-Saint

René Saint, né le 2 mars 1881, Flixecourt (Somme), décédé le 29 septembre 1946, Paris (à l'âge de 65 ans).
Marié
le 12 avril 1912, Paris, avec Jeanne Carmen Rodrigue, née le 22 octobre 1891, Lulés (Argentine), décédée le 26 août 1975, Belloy-sur-Somme (Somme) (à l'âge de 83 ans), dont

Jacqueline Saint, née en 1913.

Henri Saint, décédé le 8 août 1915, Paris.

Marie José Saint.
Mariée avec
Roger Objois, né en 1912, ...

Jeanne Saint, née le 12 mai 1882, Flixecourt (Somme), décédée le 16 avril 1945, Reims (Marne) (à l'âge de 62 ans).
Mariée
le 11 juillet 1905, Flixécourt (80), avec André Mandron, né le 17 décembre 1876, Reims (51), décédé le 14 décembre 1953, Reims (51) (à l'âge de 76 ans), docteur en droit, notaire, ...

Thérèse Saint, née le 14 août 1883, Fixecourt (80), décédée le 24 janvier 1967, Rouen (76) (à l'âge de 83 ans).
Mariée
le 15 février 1910, Fixecourt (80), avec Maurice Barrois, né le 2 avril 1878, Fives (59), décédé (onze enfants), ...

Flixecourt

Flixecourt

Robert Saint, né en 1884, décédé le 17 juillet 1964, Paris 16e (à l'âge de 80 ans).

Germaine Saint, née le 9 avril 1887, Fixecourt (Somme), décédée le 10 octobre 1955, Paris (à l'âge de 68 ans).
Mariée
le 4 mai 1908, Fixecourt (Somme), avec René Frémaux, né en 1882, Armentières (Nord), décédé le 16 février 1942 (à l'âge de 60 ans), ...

Raymond Saint, né en 1890, décédé le 2 mars 1967 (à l'âge de 77 ans).
Marié en janvier 1922, Paris 16ème, avec
Marie-Suzanne Reumaux, née le 11 mai 1895, Béthune (Pas-de-Calais), décédée le 20 septembre 1990, Boissy-Saint-Léger (Val-de-Marne) (à l'âge de 95 ans), dont Michel et Philippe

 

Rameau Charles Saint, né le 13 septembre 1826, Beauval (Somme), décédé le 28 janvier 1902, Paris 8e (à l'âge de 75 ans), industriel, manufacturier, député de la Somme (1894-1902).
Marié
le 6 mai 1851, Beauval (Somme), avec Opportune Marie Marcelline Saint, née le 6 mai 1831, Beauval (Somme), décédée le 18 janvier 1911, Paris (à l'âge de 79 ans),

Saint-Saint

dont

Jules César Saint, né en 1853, décédé en 1854 (à l'âge de un an).

Guillaume Saint, né en 1854, décédé en 1904 (à l'âge de 50 ans).
Marié en janvier 1879 avec
Blanche Saint, née le 13 décembre 1854, Paris, décédée le 26 janvier 1915, Paris (à l'âge de 60 ans), dont

Jean Saint, né le 14 février 1880, Paris, décédé le 14 novembre 1955, Bouchevilliers (Eure) (à l'âge de 75 ans).
Marié
le 30 avril 1906, Paris, avec Joséphine Bonnaud O'Brien, née le 26 juin 1882, Calcutta ( Indes), décédée le 22 février 1951, Paris (à l'âge de 68 ans),

Saint-Bonnaud

 dont

Charles Saint, né en 1907, décédé en 1964 (à l'âge de 57 ans).

Geneviève Saint, née le 4 janvier 1911, Paris, décédée le 27 août 1998, Bouchevilliers (à l'âge de 87 ans).
Mariée avec
Jean Devilder, ...

Gui Saint, né en 1914, décédé en 2002 (à l'âge de 88 ans).

Jacqueline Saint, née en 1915.

Saint-Fontaine

Mary Saint, née le 19 novembre 1918, Paris, décédée le 30 mars 2013, inhumée le 4 avril 2013, cimetière de Bouchevilliers (Eure) (à l'âge de 94 ans).
Mariée avec
Alain Michel, ...

Charles Saint.

Mathilde Saint, née le 30 novembre 1884, Paris, décédée le 11 janvier 1941, Paris (à l'âge de 56 ans).
Mariée avec
Maurice Leroy,

Leroy-Saint-Maurice

 

Jacques Saint, né en 1886, décédé en 1966, Paris (à l'âge de 80 ans).

Mathilde Saint.
Mariée avec
François Joseph Mistral-Bernard, né en 1844, décédé en 1911 (à l'âge de 67 ans), maire de Saint-Rémy, Conseiller général, ...

Maurice Saint, né le 12 juin 1863, Paris 1er, décédé en 1936 (à l'âge de 73 ans), industriel (1897) (filleul: Maurice Druon 1918-2009).
Marié
le 4 mai 1897, Paris 8e, avec Madeleine Anceau, née le 15 avril 1878, Paris 8e, décédée le 19 janvier 1960, Monaco (à l'âge de 81 ans) (témoins: Jules Abel Saint 1829-1900, François Joseph Mistral-Bernard 1844-1911, Georges Louis Anceau 1852, Lucien Alfred Heudebert 1861), divorcés.

André Saint, né le 29 décembre 1871, Paris, décédé en 1932, Paris (à l'âge de 61 ans).
Marié avec
Madeleine Bariquand, née en 1879, décédée en 1955 (à l'âge de 76 ans), dont

Roger Saint, né en 1906, décédé en 1990 (à l'âge de 84 ans), président-directeur général des établissements Saint Frères.
Marié avec
Edith Ridel.
Marié avec
Raymonde Barat, dont

Annick Saint, née le 18 janvier 1929, Paris 16e, décédée le 23 octobre 1994, Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine) (à l'âge de 65 ans).
Mariée avec
Jacques, vicomte de Luppé, né le 5 novembre 1929, Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine), décédé en mai 2008 (à l'âge de 78 ans), rédacteur juridique, divorcés, ...

Martine Saint.
Mariée avec
Claude Willemetz, administrateur du Théâtre des Bouffes Parisiens, puis du Théâtre de la Michodière, ...

Marié avec Nicole Poutignat, née le 10 février 1942.

Daniel Saint, né en 1908, décédé en 1973 (à l'âge de 65 ans).
Marié avec
Norah Harrison, née en 1904, décédée en 1943, Biarritz (à l'âge de 39 ans), dont

Ronald Saint, né le 30 juillet 1933.
Marié avec
Eliane Cochard (3 enfants).

Marié avec Carmine Ferrone, née le 18 juin 1917, Niteroi (Brésil).

Michel Saint, né en 1914, décédé en 1934 (à l'âge de 20 ans).

Monique Saint, née en 1915, décédée le 31 mai 2007 (à l'âge de 92 ans).
Mariée
le 11 février 1946, Paris 16°, avec Bernard Robinet de Plas, né le 20 août 1901, Saint-Quentin, 02, décédé le 3 octobre 1981, Boulogne-Billancourt, , 92 (à l'âge de 80 ans), officier des Affaires indigènes
conseiller général de la Charente, divorcés, ... Mariée
le 12 novembre 1959, Septeuil (Yvelines), avec Roberto Caracciolo, duca di San Vito (12e, 1938), né le 23 mai 1907, Alexandrie (Egypte), décédé le 15 novembre 2002, Montreux (Suisse) (à l'âge de 95 ans), diplomate.

Amable Saint, né le 9 avril 1790, Beauval (Somme), décédé après 1840.

 

Branche cadette  Pierre François Saint,le 3 mai 1797, Beauval (Somme), décédé le 2 novembre 1878, Beauval (Somme) (à l'âge de 81 ans).
Marié avec
Marie Magdeleine Mélanie Caruel, née le 23 janvier 1801, Beauval (Somme), décédée le 5 septembre 1867 (à l'âge de 66 ans), dont

Joseph Pierre François Saint, né le 23 mai 1824, Beauval (Somme), décédé le 16 septembre 1886, Beauval (Somme) (à l'âge de 62 ans).

Mélanie Saint, née le 12 octobre 1825, Beauval (Somme), décédée le 23 avril 1893, Amiens (Somme) (à l'âge de 67 ans).

Jules Abel Saint, né le 26 juillet 1829, Beauval (Somme), décédé le 4 août 1900, Rouen (Seine-Maritime) (à l'âge de 71 ans), manufacturier (1897).
Marié en septembre 1851 avec
Adèle Mélanie Rosa Candas, née le 18 août 1834, Beauval (Somme), décédée le 31 mars 1911, Rouen (Seine-Maritime) (à l'âge de 76 ans), dont

Julia Saint, née en 1852, décédée le 9 septembre 1926, Houlgate (Calvados) (à l'âge de 74 ans).

Berthe Saint, née en 1855, décédée en 1892 (à l'âge de 37 ans).

Edmond Saint, né le 28 août 1857, Rouen (Seine-Maritime), décédé le 28 novembre 1889, Rouen (Seine-Maritime) (à l'âge de 32 ans).

Alice Saint, née le 11 octobre 1858, Rouen (Seine-Maritime), décédée le 15 novembre 1940, Paris (à l'âge de 82 ans).
Mariée
le 20 février 1879, Rouen (Seine-Maritime), avec Henri Saint, né le 25 juillet 1856, Paris, décédé le 31 janvier 1907, Paris (à l'âge de 50 ans), ...

 

Saint-Saint

 

Saint

Lucie Esther Celina Saint, née en 1860, décédée le 20 septembre 1930, Déville-les-Rouen (Seine-Maritime) (à l'âge de 70 ans).
Mariée avec
Louis Henri Long, né en 1851, décédé, ...

Francine Saint, née le 9 juin 1861, Rouen, décédée le 11 septembre 1883, Rouen, 76 (à l'âge de 22 ans).
Mariée
le 9 octobre 1882 avec Charles Marie Demonchy, né le 20 mars 1856, Rouen (76), décédé le 15 janvier 1922, Isménil (76) (à l'âge de 65 ans), ...

Gaston Saint, né le 10 mai 1866, Rouen (Seine-Maritime), décédé le 5 février 1924, Paris (à l'âge de 57 ans).
Marié
le 10 juin 1898, Melbourne, Australie, avec Elisabeth Gilmont, née en 1873, décédée, dont

René Saint, né le 8 juin 1899, Rouen, 76.

Mercedes Saint, née le 20 janvier 1901, Rouen, 76, décédée en 1917 (à l'âge de 16 ans).

Marie Victorine Saint, née le 3 septembre 1902, Rouen, 76, décédée en 2004 (à l'âge de 102 ans).
Mariée
le 5 décembre 1927, Mont-Saint-Aignan (Seine-Maritime), avec Marie Joseph Emile Forthomme. Mariée le 9 janvier 1945, Brive-la-Gaillarde; 19, avec Pierre Cordier.

André Saint, né le 30 avril 1908, Mont Saint-Aignan, 76, décédé le 30 décembre 1964 (à l'âge de 56 ans), administrateur de la société Saint Frères.
Marié en 1937 avec
Elisabeth Guillemin, née le 8 février 1910, dont  descendance

Camille Nelly Saint, née en 1872, décédée le 14 septembre 1928, Rouen (Seine-Maritime) (à l'âge de 56 ans).

Paul Saint, décédé en avril 1907.

Opportune Marie Marcelline Saint, née le 6 mai 1831, Beauval (Somme), décédée le 18 janvier 1911, Paris (à l'âge de 79 ans).
Mariée
le 6 mai 1851, Beauval (Somme), avec Charles Saint, né le 13 septembre 1826, Beauval (Somme), décédé le 28 janvier 1902, Paris 8e (à l'âge de 75 ans), industriel, manufacturier, député de la Somme (1894-1902), ...

Angélique Marcelline Saint, née le 1er août 1806, Beauval (Somme), décédée le 8 novembre 1889 (à l'âge de 83 ans).

Total: 64 personnes (conjoints non compris).



[1] : http://fresques.ina.fr/picardie/fiche-media/Picard00325/saint-freres-dans-la-vallee-de-la-nievre.html
[2] : http://www.courrier-picard.fr/loisirs-pratique/saint-freres-les-corons-du-jute-parlent-encore-ia0b0n623215
[3] : Contenu soumis à la licence CC-BY-SA 3.0 (http://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0/deed.fr) Source : Article Flixecourt de Wikipédia en français (http://fr.wikipedia.org/wiki/Flixecourt).
[4] : http://www.amiens-ouest-tourisme.fr/patrimoine-industriel,fr,8,101.cfm
[5] : http://picardie.profs.hg.free.fr/bulletin_2009/abbeville_2009/J02_Saint_freres.pdf
[6] : https://inventaire.picardie.fr/dossier/demeure-d-industriel-dite-chateau-rouge-a-flixecourt/add7b9b4-1f4a-4b2a-87f9-56637db17109
[7] : https://inventaire.picardie.fr/dossier/demeure-d-industriel-dite-chateau-de-la-navette-a-flixecourt/ad2376be-5e55-4c9e-acb3-8af5582c895e
[8] : https://inventaire.picardie.fr/dossier/ancienne-demeure-d-alice-saint-dite-chateau-blanc-a-flixecourt/22b37f16-d565-4f55-9a45-527dfc5d5ac4#historique