Tradition légitimiste chez les Prouvost

Cette synthèse montre
la part de la référence familiale au Second Ordre après la Révolution .
Voici un extrait de
la lettre que nous avons envoyé en 2011 à Monseigneur le Prince Louis de
Bourbon, Duc d'Anjou, Aîné des Capétiens, Chef de la Maison Royale de France: «
Suite à un parcours long et atypique consacré à cette recherche à travers
l’art, la généalogie, la philosophie, l’histoire, la théologie, le marché de
l’art, le marché de l’immobilier historique à Paris, j’ai créé, il y a cinq
ans, une agence de communication et d’évènementiel : « Pour vous, les princes »
spécialisée dans la communication et les évènements oniriques dans les plus
beaux lieux historiques.
Le nom de cette
agence est le fruit de mes études de théologie et de philosophie au sein du
Séminaire traditionnel d’Ecône et il est synthétisé par la sphère de mon logo :
tout être est transcendé par ses transcendantaux : Un = Vrai = Bien = Beau =
Amour = Dieu ; une fois ces transcendantaux replacés au cœur de chacun par
chacun - en tant que Créature - dans le cadre de son parcours de vie, alors
peuvent s’épanouir les attributs de l’Être ; pour l’être humain, il s’agit des
qualificatifs de Prince ou de Princesse, au sens spirituel du terme,
c'est-à-dire toutes les qualités qu’on peut y observer. La sphère représente
donc l’Être dans sa plénitude.
Il est étonnant de
constater que ceci est perçu inconsciemment, que mes premiers évènements me
valurent les plus oniriques photographies dans les plus belles revues et que
chacun entend et interprète le nom de « Pour vous, les princes », comme il est
à l’intérieur de lui-même.
Mais mon œuvre de communication
réside dans mes deux importants ouvrages sur la famille de mon père, les
Prouvost et alliés, 1000 pages, et sur la famille de ma mère, les Virnot-Virnot
de Lamissart et alliés, 550 pages ; c’est œuvre d’exhumation, d’inspiration, de
synthèse, et surtout d’ordonnancement ; vous pourrez en juger en allant vers
mes sites : www.thierryprouvost.com et www.virnot-de-lamissart.com qui
rassemble 90% des textes et illustrations et que 10.000 internautes fréquentent
chaque mois; j’éditerai ces ouvrages comme des livres d’art luxueux.
Je fais donc
l’œuvre que les Monarques n’ont pas fait depuis deux cents ans, ce qui a laissé
les familles orphelines et sans jardinier, la République ne se considérant pas
compétente quant à l’ordonnancement des familles, ceci relevant de la tête ;
exaspéré par cette situation, j’ai franchi impétueusement, il y a trois ans, le
15 août 2008, les terres largement en friche de mes aïeux et alliés et j’ai
commencé, depuis cette même sphère s’élevant par le Souffle, à user de ma formation
en contemplant et étudiant ; alors j’ai pu découvrir la beauté du tracé de ces
parcs et de ces demeures patriciennes à la bourguignonne, à la flamande, à la
Française hérités de mes pères ; j’ai pu distinguer, sous les mauvaises herbes
et les aprioris, la beauté des chênes tutélaires que sont les grands ancêtres,
ces topiaires qui ne demandaient qu’a retrouver leur sculpteur, la rectitude
des allées de dévouements, de consécrations, de créations, d’inscription dans
la cité ou le charme des dessins plus artistes de l’Art de vivre en société;
et, alors, mes ancêtres réapparurent, un à un, me présentèrent leurs
illustrations et donc leurs apports à Dieu et à la Cité, celles-ci gommant
leurs défauts; ils se rassemblèrent toujours plus nombreux et commencèrent à
collaborer avec moi, m’apportant leur amour, leur fidélité, leurs œuvres; et
chaque jour, c’est un ou plusieurs trésors ; le 15 août 2009, date du premier
anniversaire de mes sites, ils dévoilèrent leurs merveilleuses et familiales
Manufactures Royales du Dauphin dont j’ai repris la marque :
http://www.manufacturesdudauphin.com; aujourd’hui, c’est l’inspiration qu’ils
m’apportent pour venir vous parler.
Ma
famille a été
représentative des deux voies que représenta la Grande
Révolution : la famille
de ma mère était composée, au XVIII°
siècle, de deux frères, très fortunés et
influents à Lille et qui incarnent chacune des deux options : la
transcendance
en la personne de Charles-Louis Virnot de Lamissart dont la descendance
appartient encore aujourd’hui, par les femmes, à
l’ancienne (puisque non
renouvelée) aristocratie et le pragmatisme plus commode du
XIX° siècle qui
s’ouvrait en la personne d’Urbain-Dominique Virnot dont la
descendance
masculine perdure. La famille de mon père restera très
longtemps monarchiste
jusqu’à mon père et moi-même. En voici deux
textes qui leur sont consacrés :
celui de Pierre Prouvost dans la généalogie qu'il
rédigea en 1748 : « Voila la
description des descendants des Prouvost et de ceux qui se sont alliez
jusques
a la fin de cette année mille sept cens quarante huit. Et on
peut dire sans
vanité, que lesdits du surnom Prouvost, ont toujours vécu
en gens de biens,
d’honneurs et de bonne réputation en la foi catholique
apostolique et romaine
et les plus notables des villages qu’ils ont habitez " et le
littéraire C.
Lecigne, en 1911, au sujet du poète Amédée
Prouvost: " Dès l’âge de cinq
ans, Amédée Prouvost se sentit dépositaire
d’une tradition et comme l’héritier
présomptif d’une royale lignée : il apprit un
à un le nom de ses prédécesseurs
et que chacun d’eux signifiait depuis quatre siècles et
demi, beaucoup
d’honneur, de travail et de foi chrétienne. On ne voulut
pas qu’il puisse
méconnaître ce passé et, si, par impossible, il lui
arrivait d’être infidèle,
qu’il eût l’excuse de l’ignorance. Un jour le
père prit la plume et, sans
orgueil, sans autre prétention que de donner à ses
enfants la conscience
intégrale de leurs origines, il écrivit les annales de sa
famille. Avant tout,
il songea à celui qui était son premier né,
l’espérance de la dynastie ; il
s’adressa à lui : « Je crois utile, mon cher fils,
dès tes premiers pas dans ta
vie d’écolier, de t’initier à ce que tes
maîtres ne pourront t’enseigner avec
autant de persuasion que ton père, j’entends l’amour
de la famille, le respect
de ses traditions d’honneur, un attachement inébranlable
aux convictions
religieuses de nos pères, et leur fidélité aux
traditions monarchiques. Je
considère comme un devoir de te donner comme modèle cette
lignée d’ancêtres.»
Je ressens la défection
de la Monarchie depuis plus de 150 ans en France tel un orphelin et je regarde
la division bicentenaire des deux branches de la famille royale française comme
un Scandale au sens évangélique du terme : le principe des élites est de
SERVIR, a fortiori le Roi et les princes. J’ai donc appris depuis 54 ans à me
servir par moi-même pour servir à mon tour : j’organise des évènements
oniriques puisque la République, malgré ses indispensables qualités, n’a pas le
niveau de transcendance de la Monarchie démunie pour vraiment enchanter
(charme=chant magique) à l’invitation de la Vie, seule vraie puissance
invitante. Le fruit de mes deux ouvrages familiaux est d’avoir ordonné seul
cette centaine de familles patriciennes des Flandres méridionales, personne ni aucune
institution ne daignant les observer avec une juste transcendance ; il y a
trois ans, on me regardait, en tant que membre de ces familles, comme un «
fabricant de chaussettes » ; aujourd’hui, je reçois dans les deux demeures
ancestrales restaurées que sont mes sites et j’ai pu regrouper les
caractéristiques uniques de ces familles depuis sept cents ans au Patrimoine
Vivant de la Civilisation, en facilitant aux hôtes la vue aérienne des
illustrations et des dévouements depuis la sphère." http://www.thierryprouvost.com/PATRIMOINE%20VIVANT.html
S'ils descendent
d'une lignée de propriétaires aisés installée à Wasquehal (Jehan, fils de
Willaume ci-dessus) et les environs, les Prouvost actuels ont, jusqu'aux
travaux d'Alain Watine-Ferrant en 2012, été reliés aux voisins Prouvost des
Huchons du XV° siècle dont les terres se situaient autour du fief des Huchons;
Jehan Prouvost, échevin de Roubaix, Seigneur de Wasquehal, était le bras droit
de Pierre de Roubaix, proche de Charles de Bourgogne. Ces familles patriciennes
et terriennes des Flandres étaient au service de leur ville et de leurs
suzerains qu’elles servaient comme un souverain dont on connait le luxe de la
Cour, le talent de leurs peintres (Van Eyck). Il reste un ancêtre cognatique des Prouvost.
La famille Prouvost
s’installa à Lille pendant 100 ans quand Pierre II Prouvost (1648-1691) épousa
Marguerite de Lespaul ; ils faisaient partie des principales familles de Lille
et donc du Royaume de France suzeraine depuis peu dans cette région : et furent
inhumés sous le pavement des principales églises de Lille avant que soient
interdites les inhumations à l’ intérieur des sanctuaires.
La famille était
liées aux Manufactures Royales, avec Catherine-Françoise Prouvost et sa belle famille Durot, sous la protection de Charles Alexandre de
Calonne, 1734-1802, intendant de Flandre et Artois à Lille (1778) , ministre et
Contrôleur général des finances de Louis XVI entre 1783 et 1787, et du Dauphin,
fils de Louis XVI.
Pierre IV
Constantin Prouvost (1747-1808), échevin de Roubaix sous l’ Ancien Régime
"Maître de Manufacture" puis maire de Roubaix le 13 août 1795, l’ un
des principaux fabricants roubaisiens après avoir échappé à la guillotine par
la grâce de la "Réaction Thermidorienne".
Charles I Prouvost, né le 2 octobre 1837 à Roubaix, décédé le 11 mai 1906 à Roubaix à 68 ans épousa Marie
Sophie Scrépel
Il écrivit ce feuillet sur son Livre de Compte:
« Nous remercions Dieu de la continuation des beaux inventaires qu’Il
nous a accordé et le prions de nous
donner dans quelques jours la monarchie désirée si ardament par les honnêtes
gens, le triomphe de l'église et la prospérité du commerce. Laus Deo Semper.
Ce document signé par Charles-Jérome Prouvost et Léon Scrépel ne peut
dater que de quelques jours avant le 30 janvier 1875 où le parlement
vota, à une voix près, celle du député Wallon, en faveur de la
République, au détriment de la Monarchie, représentée par le Comte de Chambord
qui prit le prétexte de son attachement au drapeau blanc pour éviter d'usurper
le légitime retour des descendants de Naundorff. Le Président fut le Maréchal
de Mac-Mahon." Christian Prouvost père, hésitant alors sur le Légitimisme.
Charles III
Prouvost incarne la conception monarchiste.
Son Fils ainé
Christian Prouvost (Virnot) évoque constamment les bienfaits du principe
monarchiste mais critique les divisions légitimistes/orléanistes.
Thierry Prouvost
fut membre de l’ « Association Unité Capétienne » depuis les débuts ; défenseur
du principe monarchique comme incarnation d’une nation par une famille, mais
critique sur ses éventuelles conséquences négatives. Son aïeul maternel,
Charles-Marie-Désiré
LE THIERRY, Seigneur
d’'ENNEQUIN et de Riencourt, écuyer, Chevalier de
l'ordre impérial de la Légion d'Honneur, décernée par M. de Villèle sur ordre du roi Charles X, député a Paris avec
M. de Muyssart, Maire de Lille, et le Chevalier de Basserode pour représenter
la ville au baptême et aux fêtes données a l'occasion de la naissance du Duc de
Bordeaux.
Amédée II Prouvost
: « le nom de grand-père à coté de celui de mon grand-père Toulemonde, cote à
cote en 1887 parmi les fondateurs du Syndicat Mixte de l’ industrie
Roubaisienne, le seul mouvement social et chrétien à l’ époque. J'ai eu aussi
la joie de relever dans les archives du Syndicat des Peigneurs dont grand-père fut
président de 1892 a 1919, texte suivant, qui bien que daté de 1891 par sa
critique du libéralisme et son souci du bien commun a un cachet presque
moderne. Il s'agit de l’ étude de caisses de secours en faveur du personnel : «
Monsieur Prouvost dit qu'il y a beaucoup à faire dans cet ordre d'idée et sa
conviction est déjà ancienne, puisque depuis longtemps il s'intéresse à ces
questions d'économie sociale dans le but de rapprocher le plus possible les
ouvriers et les patrons. En compagnie de nombreux industriels de la région, il
fait partie des syndicats mixtes qui se proposent ce but. C'est pourquoi il est
amené à formuler quelques réserves sur les principes votés à la réunion
précédente. Sa conviction ancienne et profonde, est que sans un bien commun supérieur,
sans une autorité qui courbe sous la loi de justice idéale et les ouvriers et
les patrons inspirant à chacun sa règle de conduite, il est impossible de faire
disparaitre les malentendus, les suspicions, que les excès du libéralisme
suscitent parfois ». Grand-père, quelques années auparavant, en 1889, avait
participé à un pélérinage à Rome, de dix mille ouvriers et patrons, dont six
cent cinquante du Nord, venus rendre hommage à Leon XIII .
Je ne sais pas
grand-chose des idées politiques de notre cher grand-père. Il fut certainement
dans sa jeunesse royaliste et légitimiste. J'en eus une preuve dans le fait
que, quand j'étais enfant vers 1910, il m'offrit un médaillon avec une photo du
Comte de Chambord et les fleurs cueillies sur sa tombe. Il s'était rendu avec
son beau-frère Droulers, aux funérailles du dernier Bourbon de la branche ainée
à Göritz en 1883.
Sur ses convictions
religieuses, nous sommes bien mieux renseignés. Il était, comme sa femme,
membre du Tiers-Ordre de Saint-François. Il fit édifier à M'Rira, prés de
Tunis, dans un domaine où il fut associé avec son frère Edouard, une chapelle
qui devint paroisse. Il contribua à faire édifier près de sa propriété de
Mandelieu une chapelle, N.-D. des Mimosas. Il contribua certainement à la construction
du grand couvent de la Sainte Famille à Roubaix, rue de Lille, où sa
belle-sœur, religieuse, tante Jeanne Bénat, laissa un très grand souvenir.
Pendant la guerre de 1914-1918, il prit la tête d'un Comité dit du Vœu de
Roubaix, dans le but de demander à Dieu la protection de la ville , qui fut
heureusement épargnée. Le clocher qui manquait à l’ église du Sacré-Cœur, fut
ainsi construit. Il avait de tout temps porté de l’ intérêt à l’ Orient
Chrétien et présidait le comité de Roubaix de l’ Œuvre d'Orient. Son dévouement
à l’ Œuvre d'Orient, lui valut d'être nommé Commandeur de l’ Ordre du
Saint-Sépulcre, et nous avons eu sous les yeux une photo de grand-père, revêtu
d'une cape prestigieuse, dont les mauvaises langues disent qu'elle a terminé sa
carrière comme peignoir de bain de mes cousins Auger.
C'est pendant la
guerre de 1914 que grand-père donna le plus bel exemple de sa foi patriotique
et religieuse. Le 1er mars 1916, il était emmené par les Allemands avec tout ce
que Roubaix comportait de notabilités politiques et économiques, comme otage au
camp d'Holzminden. Cette captivité, écrit grand-mère dans un petit opuscule «
In Memoriam », fut extrêmêment dure pour lui à cause de sa santé précaire, de
l’ infirmité de sa jambe récemment soumise à une intervention chirurgicale.
J'ai eu des échos de l’ admiration qu'il suscita en se rendant à pied, au lieu
de rassemblement. La captivité - elle devait durer 6 mois bien que dure pour un
homme de 63 ans (hiver terrible, couchage sommaire, promiscuité) ne semble pas
avoir altéré sa bonne humeur et dans ses lettres grand-père ne se plaint pas.
Il remercie des photos de famille qui lui ont fait un immense plaisir. « Odette
Lesaffre, sur la photo, m'a semble très jolie et très grande, Claude est-il
toujours aussi diable? Merci des lettres de ma chère Betsy et de ses envois, de
la photo de Simone, je ne connais pas ma dernière petite-fille. Henry me ferait
plaisir en me rassurant sur mon Assurance Vie, je ne puis payer les primes.
Solange a été bien gentille pour moi, j'ai vu les photos de ses enfants, le bon
sourire de Georges annonce un heureux caractère ». En se prolongeant, la
captivité lui devenait de plus en plus pénible. Son cousin et compagnon de
captivité, Henri Prouvost, était mort dans ses bras et cela l’ avait beaucoup
affecté. Rien ne manqua à son angoisse, il fut hospitalisé six semaines au
lazaret du camp, à cause d'une grande dilatation de l’ aorte, qui donnait des
complications cardiaques. Il fut en grand danger. Grand-mère poursuit dans l’
opuscule déjà cité : « Après six mois de captivité, le retour à Roubaix fut une
meurtrissure pour son cœur, trouvant une maison vide de toutes ses affections
et pleine d'Allemands installés en Maîtres . En outre, par suite d'information
erronée, tant à Roubaix qu'à Holzminden, on s'attendait à ce que les otages
libérés fussent dirigés vers la France libre. Grand-mère et Mimi partirent, en
conséquence, pour la France libre, vers laquelle les Allemands organisaient
parfois les trains via la Suisse, et quand grand-père revint à Roubaix, la
maison était vide; Il semble d'après les documents que m'a communiqués Hubert
Dubois et dont grand-mère a donné lecture a ses enfants avec un admirable
courage au lendemain des funérailles de son mari, que grand-père ait été a
nouveau inquiète par les Allemands après son retour de captivité. On lit en
effet en date du 12 novembre 1917:
« En partant au
tribunal de guerre, «je ne cesse de penser à toi, chère compagne, à mes chers
enfants, à mes petits-enfants, et à toute la famille. Si ma santé devait être
ébranlée, et que je succombe dans mon cachot, je mourrai en bon chrétien et en
partant vers Dieu ma dernière pensée , mes dernières bénédictions seront pour
vous. J'ai le cœur qui saigne, mais j'ai l’ âme en paix, je serai courageux
dans mes heures de souffrance, je vous embrasse tous avec affection et
tendresse. P.S. Que mes petits-enfants demeurent de bon chrétiens fidèles à nos
traditions familiale s. « Laus Deo Semper! " C’est dans les mêmes
dispositions de foi et de courage qu'Il devait mourir prés de dix ans plus
tard.
Le mode économique
de ces sociétés industrielles mais aussi leur environnement artistique à
travers les siècles ne peuvent pas être dissociés du principe royal, ducal,
princier.
Il
y a ceux qui ne se sont pas exprimé ou qui n'ont pas
laissé de traces quant à leur fidélité au
Légitimisme.
16 oct (comme
Marie-Antoinette)
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