Flandre.
« Jacques « Le
Cuvelier » était, en 1350, bailly de l’abbaye de Marquette, près de Lille ;
des actes scellés par lui ont été conservés. Gilles était chanoine de Saint
Pierre de Lille en 1386. Guillaume Cuvelier était, en 1433, juge de Marquette
et possédait des biens à Lille, rue du Molinel. Le nom se rencontre auussi à
Cambrai, Hem-Lenglet, Marchiennes, Seclin, Martinsart, Vatissart, Valenciennes,
Merville, Le Quesnoy. Maximilien était chanoine de Saint Géry de Cambrai en
1564. Gérard fut nommé en 1631 prévost
des Clains de Béthune, François, bailli d’Aubignies en 1639, Edmond, contrôleur
des fortifications de la Bassée, en 1643, Anselme, bailly de Marquillies en
1665 ; Maximilien était grand ministre de la Métropole de Cambrai en 1657.
Emerand épousa, vers 1580, Marie de Bassecoourt ; son fils Anselme,
licencié es lois, fut conseiller pensionnaire de Lille en 1611. Pierre épousa
Bauduine de Hennion, avant 1625 ; Marie-Thérèse, fille de Joseph, receveur
des fermes du Roi, et de Marie-Jeanne Pothier, épousa, Lille, 1738, Charles
Joseph de Savary. Félix Constant, fils de Théodore et de Marie Dathis, épousa
en 1855, à Lille, Sophie Le Thierry, dont postérité. Pierre, conseiller au
Grand Conseil de Malines, fut père de Nicolas, seigneur de Sorinne et Boneffe,
président du Conseil de Namur en 1683, dont Nicolas, conseiller privé de
Philippe IV, époux en 1688, d’Anne d’Hinslin, dont autre Nicolas, sgr de
Villers-les-Heest, de Tréhen, de Champion, époux de Marie de Zualart, dont
Nicolas carles Joseph, baron de Cuvelier et Albert Ignace, seigneur de
Champion, lieutenant Colonel au service d’Espagne, dont, entre autres enfants,
Joseph-Ghislain,baron de Cuvelier de Champion. Armes de Cuvelier de Champion :
« De gueules à 2 chevrons chargés, le premier de 5 mouchetures d’hermine, l’autre
de trois ; autre blason du nom, en Flandre : D’azur à 3 haches d’armes
d’argent posées en barre, 2 et 1. On trouve trace de Cuvelier à Strasbourg. (Nord
27H22, 33H51, 36H100, 130H89, 65H62, B63, B64, IG372, 7G430 ; Denis du
Péage, Généalogies ; Goethals ; Lehr ; Thoisy, 229 ; Joly
de Fleury, 1906). » Puymège
La principale lignée
alliée aux familles étudiées dans cet ouvrage. Mais il y eut aussi des Cuvelier
, seigneur de
Saint-Laurent, seigneur de
Boneffe et de Sorinnes,
puis baron de
Cuvelier, seigneur de
Warisoul, illustrée par un conseiller et maître des
requêtes au grand conseil à Malines, président du conseil de Namur le 19
décembre 1672, conseiller du conseil privé de Philippe V le 18 mai 1710,
échevin de Namur et alliés aux familles de Landas, seigneur de
Villeroy et de Mottes, d'Hinslin, de Zualart de
Golzinne, de Ponty.
Enfin, il y a une dernière
lignée issue de Louis Cuvelier, né en 1636, décédé
en 1713 (77 ans), marié avec Margarita della Bine : quelques
figures : Marguerite Cuvelier, née en 1877,
décédée en 1962 (85 ans), religieuse de la Croix. Louis Cuvelier, né en 1881, décédé
en 1913 (32 ans), religieux franciscain. Henri Cuvelier, né en 1920,
prêtre.
Voici
quelques personnages d’Ancien Régime de la lignée qui nous concerne :
Claire Cuvelier, née en 1560, décédée après 1615, mariée avec Mathieu de Le Salle, écuyer , né vers 1567, Aubers, Nord, décédé vers 1630, inhumé, dans l'église d'Aubers (peut-être 63 ans), maître brasseur, censier à Herlies, échevin d'Aubers.
Anselme Cuvelier, né le 8 février 1637, Wicres ,
décédé le 11 février 1699, Wicres (62
ans), bailli d'Oresmieulx, marié
avec Anne Mulliez,
Catherine Cuvelier, née le 4 février 1674, décédée le 28 juin 1710 (36 ans), le 1er octobre 1699, Wicres, avec Jean François de Bailliencourt dit Courcol, né le 15 juin 1677, Noyelles/Lens (62), décédé le 4 décembre 1734, inhumé, dans l'église de Noyelles-sous-Lens (57 ans), bailli de Noyelles sous Lens, bailli de la seigneurie de Fouquières les Lens.
Aymond Cuvelier, né vers 1580, Wicres,
décédé avant 1653, Fouquières les Lens, fermier censier de Saint-Vaast à
Fouquières, bailli, licencié es lois, bourgeois de Lille, marié le 19 avril 1617 avec Marguerite de Douay, née en 1590,
Noyelles sous Lens, décédée.
Marie Cuvelier, née vers 1585, Wicres
décédée le 11 mai 1664, Magnicourt-sur-Canche
(peut-être 79 ans), mariée après 1601 avec Antoine de Bailliencourt dit Courcol, écuyer , né vers 1575,
Magnicourt-sur-Canche, décédé le 25 janvier 1638,
Magnicourt-sur-Canche (peut-être 63 ans), fermier de la cense de l'Abbaye
d'Etrun et de la cense de Beaufremez à Fourmes, homme d'Armes du comte
d'Ouftaect (de Hogstraeten), écuyer du roi sous Henri IV et Louis XIII.
Anselme Optitius Cuvelier, né
vers 1590, Wicres, décédé en 1649, Wicres (peut-être 59 ans), censier
d'Oresmieux à Wicres, bailli de Marquillies en 1630, bourgeois de Lille par
relief du 2/12/1621.
Photos Jean-Philippe Cuvelier
LES
CHARTREUX DE LA BOUTILLERIE
Pendant
les cent-quarante-neuf années de son existence, 1641--1790, la Chartreuse de la
Boutillerie vit passer dans son enceinte plus de quatre-vingts religieux qui y
firent profession, sans compter les Frères-Donnés ; c'est ainsi que, chez les
Chartreux, on appelle les frères-convers.
Six
Prieurs se succédèrent dans la direction de la maison :
1.
Dom Jean de Meldeman, de Namur ; il était fils du lieutenant-gouverneur du
château, passa quelques années à la cour de Bru-xelles en qualité de page ;
puis, à vingt ans, il entra à la Grande-Chartreuse où il devint courrier ou
procureur du Révérend Père Général D.Bruno d'Affreingues. Prieur de
Sainte-Croix, puis de Lyon, puis de Bonlieu en Bourgogne, il fut nommé, à la
demande de M Le Vasseur, prieur de la
nouvelle Chartreuse de la Boutillerie en 1641. II y mourut le 28 décembre 1660,
à l'âge de quatre-vingts ans.
2.
Don Antoine Rogeau, de Calonne-Ricouart, profès du 17 septembre 1657, nomme
prieur en 1661: il mourut le 29 janvier 1689, à l'âge de 76 ans.
3.
Dom Michel-Archange Cuvelier, de Wicres, profès du 24 juin 1664, élu prieur en
février 1689, fut visiteur de la Province et mourut en 1728, à l'âge de 86 ans.
C'est à lui que l'on doit les Mémoires sur la vie de Mr. Jean Le Vasseur et sur
la fondation de la Chartreuse de la Boutillerie imprimés pour la première fois
en 1854.
4.
Dorn Antoine Maës, de Lillers, profès du 6 août 1701, d'abord vicaire et
procureur de cette maison, puis prieur du couvent de Douai, prieur de la
Bouteillerie en 1728 ; il mourut en 1743.
5.
Dom Agapit Harveng, de Mairieux, profès du 24 juin 1714, vicaire et procureur
du monastère, ensuite prieur des Chartreux de Longuenesse, et en 1743, prieur
de la Bouteillerie. II mourut le 30 novembre 1767.
6.
Dom Bernard de Gruson, d'Armentières, profès du 29 mars
1750, élu prieur le 3
novembre 1764. Après la Révolution, il revint mourir
à Armentières.
http://laventie62840.free.fr/chartreuse_boutil.htm
Gerard Cuvelier ca 1475-1535/1553 &
Ne N
|
Anselot Cuvelier ca 1505-1571
Bailli
d'Oresmieulx à Wicres, bourgeois de Lille (1553) &ca 1527
Claire Le Guillebert +
|
Aymond Cuvelier, seigneur de La Hallerie ((à
Houplines)), seigneur de Malet ((à Wicres))
Homme
d'armes de la compagnie du comte de Ligne, fermier des dîmes de Saint-Amé et
d'Oresmieux, bourgeois de Lille par relief du 13/12/1575&1575
Marie de Bassecourt /1555-1647
|
Anselme Opitius Cuvelier, seigneur du Malet ca 1577-1654
seigneur
du Malet, bourgeois de Lille,
Avocat,
licencié es droits, conseiller premier pensionnaire de la ville de Lille
&1621
Jeanne Lefebvre dit Delattre +1669
(Sur la
pierre à l’entrée de l’église de Wicres, on voit des dates
différentes :
Anselot Cuvelier 1520-1581
Aymond
Cuvelier 1550-1615
Anselme
Opitius Cuvelier 1585-1655
Anselme
François Cuvelier 1637-1699
Anselme
Adrien Cuvelier 1670-1732
|
Guillaume Cuvelier 1626-1708
Bourgeois
de Lille 8/3/1649 &1648
Péronne Appourchaux
|
Anselme Opitius Cuvelier 1653-1729 &1722
Marie Madeleine Queneutte
|
Guillaume Alexandre Cuvelier 1728 &1752
Marie Françoise Lecomte
|
Guillaume Alexandre Cuvelier 1768-1823 &
Angélique Tesse 1779-1864
|
Henri Ignace Cuvelier 1814-1895 &1847
Pauline Rosine Parent 1820-1877
|
Henri Cuvelier 1848-1893 &1872
Marie Thérèse Charvet 1850-1893
D’où cinq
branches :
Branche
ainée d’Henri Cuvelier, né le 1er mai 1873, Haubourdin,
décédé le 1er janvier 1954, Haubourdin
(80 ans), marié le 7 mai 1896, Lille, avec Marie Boutry.
Quelques
personnalités de cette branche (sans liens généalogiques) et alliances:
Thérèse Cuvelier, née le 16 octobre 1898, Haubourdin,
Nord, mariée le 19 juillet 1924, Haubourdin,
avec André Bonnel, né le 2 novembre 1897, Roubaix,décédé
le 2 mai 1979, Pessac (33) (81
ans), colon au Maroc.
Françoise Alix Marie Josèphe Cuvelier, née le 10 avril 1907, décédée
en 1994 (87 ans), mariée avec Roger Delame Lelièvre, né le 1er octobre 1904,
Valenciennes décédé en 1983 (79 ans), industriel textile, président des
Ets Delame Lelièvre.
Géry Cuvelier, né le 9 août 1971, pDG de Ternois
Fermeture, marié le 3 février 1996, Roubaix avec
Marion Torck, née le 20 juillet 1971, présidente
du directoire de Delbard,
Yves Cuvelier, marié avec Monika von Venningen.
Branche
puinée de Xavier Cuvelier,
né le 31 mars 1881, Haubourdin, décédé après 1973, marié le 2 septembre 1905, Armentières, avec Louise Léonie Woussen,
Réunion de famille Cuvelier en leur château de Dannes ( Pas de calais) Pentecôte 1981
Quelques
personnalités de cette branche (sans liens généalogiques) et alliances:
Béatrice Cuvelier, née à
Mouvaux , religieuse de la Congrégation des Soeurs de Saint-Jean.
Arnaud Cuvelier, en religion - congrégation
des Frères de Saint Jean.
Bernadette Cuvelier, née le 11 août 1937, Roubaix, mariée le 24 mai 1960, Flers-lez-Lille, avec Bernard Prouvost, des Charles Prouvost, branche ainée.
Marc-Antoine Cuvelier, né
en 1970, marié avec Muriel Houzé de L'Aulnoit.
Branche
cadette1 d’Etienne Cuvelier,
né le 11 juillet 1887, Haubourdin,
marié le 29 juin 1922 avec Madeleine Torris,
|
Officier de l'armée de l'air, Chevalier de la Légion d'honneur,
Commandeur de l'ordre national du Mérite, Croix de guerre des T.O.E.
Geneviève Cuvelier, mariée avec François-Xavier Lecouffe, officier
général de cavalerie.
Branche
cadette 2 de Marcel Cuvelier,
né le 6 mai 1889, Haubourdin, marié le 4 novembre 1919, Cambrai,
Nord, avec Thérèse Cardon,
Quelques illustrations et alliances:
Pascaline Cuvelier, née à
Cambrai , mariée le 8 décembre 1984, Cambrai,
avec Thibaut Brasme, né à Conchy sur Canche
(62), notaire à Arras
Branche
cadette 3 de Maurice Paul Cuvelier,
né le 11 mai 1893, Haubourdin ,
négociant en laine, marié le 3 janvier 1920, Roubaix avec
Suzanne Toulemonde.
Quelques
personnalités de cette branche (sans liens généalogiques) et alliances:
Jeanne Cuvelier, née à Roubaix , mariée en 1948, Croix avec Claude-Henri Monnier, né à
Boulogne-sur-Mer (Pas-de-Calais), attaché de la France d'Outre-Mer.
Jusqu'à la 7e génération.
Gerard Cuvelier, né vers 1475, décédé entre 1535 et 1553,
Violaines (62) ?.
Marié avec Ne N, dont
Leurs descendants sont la
famille Cuvelier, négociants en vins à Lille depuis 1804, qui préside depuis
1920 aux destinées du prestigieux Château Léoville Poyferré, 2e Cru classé dans
l'appellation Saint-Julien et qui étend son vignoble de 80 hectares au cœur du
Médoc. La famille possède également le Château Le Crock, Cru Bourgeois
Supérieur à Saint-Estèphe, acquit en 1903. Ce domaine, qui fait l'objet des
mêmes soins que Léoville Poyferré, est entouré des Grands Crus Classés Château
Cos d’Estournel et Château Montrose et compte 32 hectares de vignes. Les plus
vieilles et les mieux situées produisent le grand vin du Château Le Crock, les
autres constituent le deuxième vin, La Croix Saint-Estèphe. Didier Cuvelier a
su faire du Château Le Crock, grâce à un programme de restructuration et de
modernisation efficace, l'un des fleurons de l'appellation Saint-Estèphe. Les
méthodes d'élaboration des vins sont dirigées vers le seul et même objectif
d'obtenir une qualité optimale: petits rendements, vendanges manuelles
impitoyablement triées, vinifications supervisées par l'œnologue Michel
Rolland, fermentations en barrique en sont les contraintes les plus
significatives.
Il y a aussi la lignée des Henri Cuvelier 1761-1845
&1797 Henriette Dathis 1766-1814
Avec des armoiries :
D’azur à une cuvelle d’argent cerclée d’or surmontée de deux
haches d’argent emmanchées d’or.
Filiation :
Louis Joseph Cuvelier +1700
Béatrice Chabo en 1692
I
Martin Eusèbe Cuvelier (1693-1757), chauffe cire en la
chancellerie de Flandre
Marie Marguerite Leroy
I
Guillaume Cuveleir, manufacture de soieries (1726-an IX)
Epouse en 1754 Isabelle Brame
I
Josse Cuveleir, négociant en soieries,(1758-1815)
Epouse en 1787 Marguerite wartel
I
Théodore Cuvelier, négociant (1793-1860)
Epouse en 1818, Marie Dathis
(cf Denis du Péage, généalogies lilloises et Jean Pierre Lenglart,
les descendants de Guillaume Lenglart de 1490 à nos jours.
Madame Prosper Derode-Cuvelier, cousine issue de germaine d'Henri Cuvelier-Bernard
Henri Cuvelier 1761-1845
&1797 Henriette Dathis 1766-1814 eurent :
60 ans, marié le 13 novembre 1825, Paris, 75, avec Julie Bernard 1808-1881,
dont
Henri 1826-1839,
Amélie 1828-1880,
Cécile 1830-1885,
Valentine 1839
Félix Jean Baptiste, Louise
Eugénie 1822-1875, Henri
Cuvelier 1826-1839
Amélie Cuvelier 1828-1880 &1849 Edmond Connelly 1824-1899,
avocat-général à Rouen, procureur général à Caen; conseiller en 1872. Après la
mort des sa femme et le mariage de ses deux filles, il entra dans les Ordres et
reçu la prêtrise à Rome.
Cécile Cuvelier 1830-1885 &1851 Anatole de Ségur 1823-1902 ;
Cécile Cuvelier, fut élevée dans cet hôtel du 53, rue de Gand à Lille, à
l’angle de la rue de Thionville, par Henri Cuvelier et sa femme, Julie Bernard,
qu’il avait épousée en 1825 ; il était banquier et avait repris la banque
de son père sous la dénomination sociale « Cuvelier Brame et fils »,
sa banque fut reprise par « Jules Decroix et Cie » devenue
ensuite « Verley Decroix et
Cie » puis « Crédit du Nord ». Cette maison comprenait aussi le
53 bis et la maison voisine de la rue de Thionville: elle était la cousine
germaine de Céline Derode-Cuvelier, aïeule des Urbain Virnot ; elle devint
la belle fille de la célèbre Comtesse de Ségur née le 23 avril 1830, Lille, décédée le 14 janvier 1885, Paris, 75,
inhumée, Santes (54 ans), mariée le 25 août 1851 avec Anatole de Ségur, né le 23 avril 1823, décédé le 9 mai 1902, Paris, 75 (79
ans).
L’hôtel fut vendu à leurs cousins Urbain Virnot vers 1900 et est restée dans la famille.
Anatole-Henri-Philippe, marquis de Ségur (23 avril 1823,
Paris - 9 mai 1902,
Paris), est un administrateur et homme de
lettres français.
Fils du comte Eugène de Ségur
et de la comtesse Sophie Rostopchine,
il devient auditeur au Conseil d'État,
puis préfet de la
Haute-Marne en 1851.
Il est maire d'Aube de 1865 à 1872, où sa famille possédait le château des Nouettes
Anatole de Ségur se consacra à des
travaux littéraires.
Le 25 août 185, il épouse, à Paris,
Cécile Cuvelier (1830-1885), d'une famille lilloise,
fille de Henri Cuvelier et de Julie Bernard. Ils seront notamment les parents
de Pierre de Ségur.
Publications
Sources
C'est
le 23 avril 1823 que naît Anatole
de Ségur, troisième enfant d'Eugène et
Sophie. Le reste de la famille Rostopchine aura attendu
cette naissance pour
retourner en Russie (mai 1823).La Comtesse de Ségur e
st donc désormais vraiment
française, isolée rue de Varenne. Elle souffre
encore de la mort prématurée de Renaud et le jeune Anatole (" Totol ") souffre de la
tristesse de sa mère.
Anatole est le deuxième enfant, mais
c'est lui qui deviendra héritier du titre (Marquis de Ségur) et de la pairie quand Gaston rentrera
recevra la tonsure en 1844 alors qu'Anatole a 21
ans. Sa mère, peut-être pour ne pas souffrir de
son éloignement essaie d'oublier la Russie. Elle ne parlera jamais russe à ses enfants, mais Anatole cultivera sa " russité ". Pourtant il n'ira jamais en Russie, Gaston étant le seul ayant fait le voyage. Il a peut-être hérité -
des Ségur et de sa mère - un goût et un réel talent pour
l'écriture. Peut-être même aurait-il aidé sa mère
dans la rédaction de certaines de ses œuvres. Il publiera un certain nombre
d'ouvrages.
Voulez-vous lire une de ces fables , celle dont le titre "Jean qui pleure et Jean qui rit" a inspiré sa mère pour le titre d'un de ses récits? En 1851 il épouse Cécile Cuvelier et devient la même année
préfet de la
Haute-Marne. Il entre au Conseil d'Etat en 1852.En 1865 il
devient maire d'Aube et le restera jusqu'à la vente des Nouettes en 1872.Ils
auront trois enfants :
Pierre (1853), Henri (1856) et Marie-Thérèse (1859). Un poème d'Anatole "Le Ciel a Visité la Terre" a été mis en musique par Charles Gounod. Voulez vous le lire ?
Il est aussi
l'auteur des "Mémoires d'un Troupier, ouvrage publié en 1858 sans nom
d'auteur et qui a connu plusieurs rééditions..
C'est le livre que Moutier lit avec délectation dans l'Auberge de l'Ange Gardien mais qui trouve un fort écho dans Le Mauvais Génie.
"Eugène de Ségur est le fils aîné
Octave de Ségur (1779-1818) et de Marie-Félicité-Henriette d'Aguesseau
(1777-1847), le petit-fils de Louis-Philippe, marquis de Ségur,
l'arrière-petit-fils de Philippe Henri de Ségur, ministre de la Guerre
de Louis XVI (celui-ci étant le petit-fils du Régent par sa mère,
Angélique de Froissy).
Issu d'une famille de la noblesse d'épée, les Ségur ont perdu de leur
prestige suite à la longue disparition et au suicide de son père un an
avant qu'il se marie, événements relatés assez longuement dans les
Mémoires de de la Comtesse de Ségur. En 1819, il épouse Sophie Rostopchine,
issue d'une grande famille de l'aristocratie russe, et fille de Fiodor
Rostoptchine, gouverneur de Moscou en 1812. De leur mariage, par
ailleurs pas très heureux, naîtront huit enfants.
Le 9 septembre 1830,
Eugène de Ségur est admis à siéger à
la Chambre des pairs, en remplacement de son grand-père
décédé. Il prend place dans la
majorité conservatrice, soutient constamment le pouvoir de ses
votes, et rentre dans la vie privée lors de la révolution de février 1848. Il
est aussi maire d'Aube (Orne), poste où lui succède son
fils Anatole, et président de la Compagnie du chemin de fer de
Paris à Strasbourg, puis de la Compagnie des chemins de fer de
l'Est. Par son intermédiaire, Louis Hachette obtient en 1853 la
permission d'installer des librairies dans les gares, et entre en
contact avec la comtesse de Ségur, dont les livres seront
édités par la Librairie Hachette à partir de 1855. Surnommé le « Bel Eugène »,
ses multiples infidélités poussent sa femme à se
réfugier dans son château des Nouettes, où elle se
consacre à ses enfants et petit-enfants et à la
littérature. Commandeur de la Légion d'honneur" Wikipedia.
L’hôtel fut vendu à leurs cousins Urbain Virnot vers 1900 et est restée dans la famille.
marié le 2 juillet 1877 avec Thérèse Hély d'Oissel 1857-1935, dont Gaston
1878-1918
Pierre-Marie,
marquis de Ségur
Membre de l'Académie française (n° 505, 4
février 1907)
Né le 13 février 1853 - Paris, 75
Décédé le 12 août 1916 – Poissy
marié le 2 juillet 1877
avec Thérèse Hély d'Oissel 1857-1935, dont Gaston 1878-1918
et ancien membre du
Conseil d'État abandonna rapidement la carrière administrative pour se
consacrer par goût aux lettres et à l'histoire. Il écrivit dans un style vivant
et raffiné qui rappelait celui de son siècle de prédilection, le XVIIIe siècle,
de nombreuses monographies consacrées à des figures plus ou moins célèbres de
l'Ancien Régime. On compte notamment parmi ses ouvrages : Le Maréchal de Ségur,
La Dernière des Condé, Le Maréchal de Luxembourg et le Prince d'Orange. Élu à
l'Académie française le 14 février 1907 par 21 voix contre 8 à Jean Aicard, au
fauteuil d Edmond Rousse, le marquis de Ségur appartenait à une famille chez
qui l'Académie française était presque une tradition puisque deux Ségur, dont
son oncle, le général Philippe de Ségur, avaient appartenu à la Compagnie. Le
marquis de Ségur fut reçu par Albert Vandal, le 16 janvier 1908. Il reçut à son
tour Eugène Brieux en 1910.-
personne: EP (http://www.academie-francaise.fr/immortels/base/academiciens/fiche.asp?param=505)
- personne: EP (http://www.academie-francaise.fr/immortels/base/academiciens/fiche.asp?param=505)
En 1903, des anciens élèves -Félix Sangnier, Pierre de Ségur et Albert Marcilhacy- constituent une nouvelle société qui rachète Stanislas et, à la suite d'un accord avec le diocèse de Paris, M. l'abbé Pautonnier en prend la direction. Cent ans après sa création, l'établissement compte mille cinq cents élèves. A partir de 1920 M. l'Abbé Labourt renoue les liens avec l'université et l'Etat. Son successeur M. l'Abbé Beaussart, fait construire l'actuel bâtiment des classes préparatoires aux grandes écoles.
l'hôtel de Pierre de Ségur, 45, avenue d'Iéna à Paris
Marie Thérèse de Ségur (1859-1933)Epouse en 1883, Albert Maloteau de Guerne,
Marie-Thérèse épousera le Comte de Guerne et
deviendra une cantatrice renommée. Voici ce qu'en pense Marcel
Proust:
" Il est singulier qu'une des deux ou trois grandes figures musicales
devant lesquelles les véritables artistes s'inclinent entièrement
appartiennent précisément à ce qu'on serait tenté d'appeler,
si l'on
avait plus égard au hasard de la naissance qu'à la réalité du talent :
"le monde des amateurs". Certes il y a longtemps temps que la Comtesse
de GUERNE a reçu ses lettres de plus grande naturalisation
artistique;
et pour personne, pas plus pour les artistes que pour les gens du monde,
elle n'est à aucun degré un amateur, mais une des deux ou trois plus
grandes chanteuses vivantes. "
Marcel PROUST : Essais et articles - Paris, Gallimard, 1971 - P.503 à 506
Nous pouvons ajouter que son frère, Henri, musicien et
musicologue éclairé sera son "fidèle et parfait"
accompagnateur.
Si vous voulez en savoir plus sur la Comtesse de Guerne, vous pouvez
consulter l'ouvrage du Dr Sylvia Kahan : la princesse de Polignac,
Music's Modern Muse :
A Life of Winnaretta Singer, Princesse de Polignac
(University of Rochester Press, 2003).
la Comtesse de Guerne, née Ségur, figure souvent dans ce livre comme grande cantatrice.
Valentine Cuvelier 1839 &1859 le comte Georges d'Arjuzon 1834-1900,
Monseigneur de Ségur
« Louis
Gaston De Ségur ( Paris 15 avril 1820 – Paris 9 juin 1881)
était un prélat apologète catholique
français. Il est connu pour son
antimaçonnisme militant. Il descend du marquis de Ségur
(maréchal de France et
ministre de Louis XVI pendant la Guerre d'indépendance
américaine), du comte de
Ségur (qui accompagna La Fayette en Amérique) du
côté de son père, et du comte
russe Rostoptchine, (qui incendia Moscou en 1812 à l'approche
des armées de
Napoléon) du côté de sa mère, la
célèbre comtesse de Ségur. Après ses
études,
il passa d'une relative indifférence religieuse à une
grande dévotion. Entré
dans le corps diplomatique, il est attaché à l'ambassade
de France à Rome en
1842, mais démissionne l'année suivante pour entrer au
séminaire de
Saint-Sulpice et se préparer au sacerdoce. Il est ordonné
prêtre en 1847.Après
quelques années de ministère à Paris, il est
nommé auditeur pour la France
auprès de la Rote romaine, et occupe cette charge pendant quatre
années. Il
bénéficie d'une grande estime à la cour
pontificale.Il mène également des
négociations politiques pour le compte de Napoléon III,
tout en étant aumônier
de la garnison française à Rome. Devenu aveugle, il doit
démissionner en 1856,
et retourne à Paris, avec les honneurs et les privilèges
de l'épiscopat, que
son handicap l'empêcha de recevoir formellement. Il se
consacré dès lors à
diverses œuvres, comme le patronage des jeunes apprentis, les
vocations
religieuses et les séminaires, les aumôneries militaires,
et l'évangélisation
de la banlieue parisienne.Il travaille notamment en relation avec
l'association
saint François de Sales pour la défense et la
préservation de la foi, qu'il
implante dans quarante diocèses moins d'un an après sa
fondation en 1859.En
dehors de son ministère, il écrit de nombreux ouvrages.En
1851, il fait
paraître des Réponses aux objections les plus
répandues contre la religion,
dont plus de 700 000 exemplaires sont vendus en France et en Belgique
à sa
mort, sans compter des traductions en italien, allemand, anglais,
espagnol et
même hindi.D'autres essais sont destinés à faire
connaître et à défendre le
point de vue catholique sur les problèmes du temps comme
l'École sans Dieu,
1873 ou les Francs-maçons, 1867 qui en était à sa
62ème réimpression en 1887 et
dont 120.000 exemplaires se vendirent les 5 premières
anées de sa sortie. Il
publie également des ouvrages de piété comme
Jésus vivant en nous (1869), dont
la traduction italienne est mise à l'Index, La
piété enseignée aux enfants
(1864) ou La piété et la vie intérieure (1864).
Ses œuvres complètes sont
publiées en 1876-1877 à Paris, en dix volumes. Par la
suite paraissent Cent
cinquante deux miracles de Notre Dame de Lourdes (1882), Journal d'un
voyage en
Italie (1882) et Lettres de Mgr de Ségur (1882). En attaquant la
maçonnerie,
Ségur distingue la maçonnerie apparente, conviviale et
bon-enfant, des
arrière-loges oú les véritables maîtres de
l'ordre, différents des grands
maîtres de l'ordre et directement inspirés par le principe
du mal, donnent
impulsion et direction aux activités des loges. Il lutta
activement, dans
Causeries sur le protestantisme d'aujourd'hui contre la propagande
protestante
du XIXe siècle.
Lettre d'Henri d'Artois, comte de Chambord à Mgr de Ségur
« C'est en revenant de Chambord que j'ai trouvé à Bruges, Monseigneur,
votre admirable lettre et l'hommage qui l'accompagne. J'ai reçu l'un et l'autre
avec un véritable bonheur. "Ce petit livre, auquel votre modestie donne le
nom d'opuscule, est le traité le plus complet et le plus lumineux qu'on puisse
lire sur ce grand sujet de la souveraineté royale. On a écrit bien des volumes
pour établir très imparfaitement ce que vous démontrez en quelques pages avec
une merveilleuse clarté.
« Je ne m'arrête point aux jugements trop bienveillants portés sur ma
personne. Mais ce qui me frappe et ce qui saisit toutes les âmes de bonne foi,
c'est l'enchaînement et la puissance de votre argumentation, la sûreté de votre
doctrine, l'évidence de vos démonstrations. Je voudrais, dans l'intérêt de la
vérité de notre chère et malheureuse France, que ce livre fût dans toutes les
mains, et j'engage mes amis à le faire pénétrer partout, dans l'atelier, dans
les salons, dans la chaumière. On ne se livrera jamais à une propagande plus utile
et plus féconde.
« Je ne saurais assez vous dire la reconnaissance dont je me suis senti
pénétré en recevant la chaleureuse expression de votre dévouement et de vos
voeux. Il vous était réservé de prolonger ainsi les douces émotions que je
rapportais de France, et rien ne pouvait me toucher plus profondément.
« Je me recommande tout spécialement à vos saintes prières. Dieu exauce
de préférence celles que lui adressent les humbles de coeur et les âmes
ferventes. C'est à ce titre que je compte sur les vôtres. Je vous renouvelle
l'expression de tous mes sentiments de reconnaissance et de constante
affection.
« Henry Le 12 juillet 1871»
http://www.seminairefrancaisderome.org/150ans/lettres/images/dessinlibermann.jpg
Œuvres
Réponses courtes et familières aux objections les plus
répandues contre la religion, 1851. La Révolution
expliquée aux jeunes gens, 1862.
La piété enseignée aux enfants,
1864. L'Encyclique Quanta cura suivie des objections
populaires, 1864. Les Francs-maçons, 1867. Traduit en
espagnol: Los francmasones : lo que son - lo que hacen - lo que quieren, por
monseñor de Ségur, Santiago de Chile : Impr. Chilena, 1868m, 112
p. Jésus vivant en nous, 1869.
L'École sans Dieu, 1873.
L'Enfer, Ed. Jules Hovine, 1876, 64 p. Le Sacré-Cœur de
Jésus, 1876. Journal d'un voyage en Italie: impressions
et souvenirs, 1882. La Foi devant la science
moderne. Causeries sur le protestantisme d'aujourd'hui,
1894. Maison de Ségur. Théories
du complot maçonnique
Bibliographie critique. Jean-Pierre Laurant et
Émile Poulat, L'Antimaçonnisme catholique. Les Francs-maçons, par Mgr de Ségur,
Berg international, 1994.
Encyclopédie de la franc-maçonnerie, Le livre de poche, article "Antimaçonnisme", p.36
L’évocation de Monseigneur de Ségur nous mène à ces deux citations : « L’œuvre de la France, elle remplit toutes les pages de l’histoire humaine, elle est connue de l’univers entier et ce n’est pas Dieu qui l’oubliera, lui à qui tout est présent. Le zèle déployé par cette noble race pour la cause et pour le nom de Dieu, l’esprit de sacrifice et d’abnégation, le dévouement et l’enthousiasme qu’elle a mis au service de Jésus-Christ et de son évangile, voilà des titres qui subsistent, des mérites qui ne s’effaceront jamais. D’autant qu’ils n’appartiennent pas uniquement au passé ». Monseigneur Pie.
« Le peuple qui a fait alliance avec Dieu aux fonds baptismaux de Reims, se repentira et retournera à sa première vocation. Un jour viendra (…) où la France, comme Saül sur le chemin de damas, sera enveloppé d’une lumière céleste… Tremblante et étonnée, elle dira: « Seigneur, que voulez vous que je fasse ? » et lui: « Lève toi, lave les souillures qui t’ont défigurées, réveille dans ton sein les sentiments assoupis et le pacte de notre alliance, et va, fille ainée de l’Eglise, nation prédestinée, vase d’élection, va porter, comme par le passé, mon nom devant tous les peuples et tous les rois de la Terre » Saint Pie X : allocution consistoriale de 20 novembre 1911.
Et a été
un tremplin, probablement sincère, aux modernistes menant à Vatican II.
Il convient d’étudier les études de « Vatican catholique » : https://www.youtube.com/watch?v=nxdHhi0z5pc
Louis Augustin Joseph Dathis 1734-1797 &
Marie Bernard 1738-1803
|
Henri Auguste Joseph Dathis 1765-1814 &1793 ep Henriette Brame 1766-1834
frère de Henriette Dathis 1766-1814 ep Henri
Cuvelier 1761-1845 |
Henriette Rose Désirée Dathis 1797-1850 &1817
Prosper Félix Fortuné Derode 1790-1852
|
Prosper Derode 1818-1892 &1840
Céline Cuvelier 1818-1898
|
|
Louise Angélique Félicie Derode 1841-1870
|
&1860
Urbain Dominique Virnot 1837-1914
Urbain IV Dominique Virnot (1837-1914), Epoux de Louise Derode 1841 + 1870, fille de Prosper, vice-Président de la Chambre de Commerce et Président du Tribunal de Commerce, Chevalier de la Légion d’honneur, et Céline Cuvelier, cousine germaine de la marquise de Ségur, belle fille de la Comtesse de Ségur puis Marie-Auguste Gamonet, fille de Louis de Gamonet, fille deVictor-Louis de GAMONET (Parti au 1 d’azur à un volcan surmonté de 3 flammes au naturel abaissé d’une fasce d’argent chargée aussi de trois flammes accompagnées en pointe d’un lion au naturel. Au 2°, coupé d’or et d’argent : au 1°, chargé d’une aiglette de sable ; au 2° chargé de trois bandes de sable. Couronne de Comte, support de lions : armes d’Hector de Gamonet, receveur général de la province d’Artois, éxécuté par ordre de Le Bon, 25 germinal an II) et de Caroline Eléonore Marie CUVELIER, petite fille de Louis-Hector de GAMONET, seigneur de Berval et de la Mothe, fermier-général, éxécuté le 25 germinal an II par ordre de Le Bon (d’azur à une cuvelle d’argent cerclée d’or surmontée de deux haches d’argent emmanchée d’or), veuve de Prosper-Edouard-Henri DERODE, frère de Louise, première épouse d’Urbain-Dominique dont Prosper-Victor Derode marié le 31 janvier 1899 à Heddebault de Baillencourt, native d’Amiens, décédée à Dours ( Somme) le 3 avril 1908, sans enfant.
Jusqu'à la 5e génération.
Henri Cuvelier, né le 5 juillet 1761,
décédé le 24 juin 1845
(à l'âge de 83 ans).
Marié le 18 mars 1797
avec Henriette Dathis,
née le 2 avril 1766,
décédée le 12 mai 1814
(à l'âge de 48 ans), dont
Marié en 1931 avec Anne Droüet de
Montgermont, dont
Descendants de Henri Raymond "Eugène" de SÉGUR Base Geneanet JH Favre :
Jusqu’aux arrière-petits-enfants.
Henri Raymond
"Eugène" , Comte de Ségur,
Pair de France,
né le 15 février 1798, Fresnes, 94260, Val-de-Marne, France,
décédé le 16 juillet 1863 ou 1869, Au château -
Méry-sur-Oise, 95540, Val-d'Oise, France, Officier, pair de France héréditaire.
Sources :
famille : darbois (jhf juillet
2003) [royales-add1.gw] Geneweb(Roglo), www.ping.be~jos81/ph424.htm, 12/2002
Marié le 13 juillet 1819, Paris,avec Sophie
ROSTOPCHINE , Comtesse de
Ségur, née le 19 juillet 1799, Palais de
l'Ermitage - Saint-Pétersbourg,,, Russie, décédée
le 9 février 1874, Paris,inhumée
vers 12 février 1874, Pluneret, 56400, Morbihan, France (74
ans), Ecrivain.
Note :
Elle écrivit de nombreux livre pour enfants qui la rendirent très
célèbres. Citons : Les malheurs de Sophie, Les petites filles
modèles, Le bon petit diable, François le Bossu. Elle était membre du
tiers Ordre de Saint-François. son coeur a été déposé au couvent de la
Visitation, rue de Vaugirard à Paris. Les Français écrivent son nom
"ROSTOPCHINE", il faudrait en fait l'écrire
"ROSTOPTCHINE"
Sources : famille :
darbois (jhf juillet 2003) [royales-add1.gw] Geneweb(Roglo),
www.ping.be~jos81/ph424.htm, 12/2002
Dont :
Note
: Littérateur, il a
publié : Témoignage et Souvenirs :
diverses biographies entre autres celles de Sabine de Ségur, sa soeur,
du comte Rostopchine son grand-père, de Mgr de Ségur, son frère, etc. Il n'est
fait nulle mention ici (en 1924), de sa mère, la Comtesse de Ségur, née Sophie
Rospotchine, qui devint si célèbre pour ses livres d'enfants (les Malheurs de
Sophie, les Petites filles. modèles, le Bon petit diable, etc.)
Sources : famille :
darbois (jhf juillet 2003) [bernard.gw] Geneweb 10/2001
Marié le 25 août 1851,
Paris,avec Cécile CUVELIER
, née le 23 avril 1830, Lille, décédée
le 14 janvier 1885, Paris,Paris, France (54 ans).
Sources
: famille : darbois (jhf juillet 2003) [bernard.gw]
Geneweb 10/2001
Dont :
Note
: Comte, puis Marquis de
Ségur
Sources : famille :
darbois (jhf juillet 2003) [bernard.gw] Geneweb 8/2000
Marié le 2 juillet 1877
avec Jeanne Augustine
Frédérique "Thérèse" HÉLY d'OISSEL , née
en 1857, décédée le 27 septembre 1935, La Bussière-sur-Ouche,
21360, Côte-d'Or, France (78 ans).
Sources
: famille : darbois (jhf juillet 2003) [bernard.gw]
Geneweb 8/2000
Dont :
Sources
: famille : darbois (jhf juillet 2003) [pailloncy.gw], http://geneweb.inria.fr/henri, 1/2002
Marié le 20 octobre 1902
avec Alix Solange
Victurnienne de ROCHECHOUART de MORTEMART , née
vers 1880, décédée le 1er juin 1917 (peut-être 37 ans).
Sources
: famille 1 : darbois (jhf juillet 2003) [pailloncy.gw], http://geneweb.inria.fr/henri, 1/2002
, divorcés.
Sources : famille : darbois (jhf juillet 2003) [bernard.gw] Geneweb 8/2000
Mariée le 27 octobre 1882 ou 1883, Paris, 75007, Paris, France, avec Albert Gustave Emile MALOTEAU de GUERNE , Comte de Guerne, né le 10 juin 1856, Douai, 59500, décédé.
Sources : famille 1 : darbois (jhf juillet 2003) [bernard.gw] Geneweb 8/2000
, divorcés.
Sources : personne : Josiane Grangier (jhf avril 2004)
Marié avec Madeleine MONIER
, née le 1er septembre 1906, Paris,Artiste peintre. .
Marié le 17 mai 1926, Les Pennes-Mirabeau, 13170,
Bouches-du-Rhône, France, avec Cécile Emilie
SEURRE , née le 7 septembre 1873, Paris,
75015, Paris, France, décédée le 3 septembre 1966, Trouville-sur-Mer,
14360, Calvados, France (92 ans), Actrice de la Comédie Française.
Note
: décédée le 3 sept 1966
à Hennequeville (source Josiane Grangier, jhf avril 2004)
Note
: Hélas, à la place d'un
" excellent François, c'est une espèce d'aventurier que " trouve
" et qu'épouse Camille, un certain Léon Ladureau qui se fait appeler
" Marquis de Belot " du nom de son arrière-grand-mère.
La pauvre Camille n'est pas heureuse, son mari la bat et la trompe ouvertement.
Il conduit sa femme et sa maîtresse dans des cabarets de mauvais renom et fait
passer sa femme pour sa maîtresse et inversement. "C'était un être
abominable" nous dira l'un des descendants de la Comtesse de Ségur.
Profitant d'un déplacement à Chambéry pour le mariage d'une parente, son
mari étant absent, elles supplie son père de l'emmener. Ladurau exige 100.000
francs (somme considérable pour l'époque) pour prix de la séparation.
La pauvre Camille, rongée par son mal, succombe 35 ans
Elle aura eu un fils, Paul - le seul arrière petit-enfant qu'aura connu la
Comtesse de Ségur - et qui mourra lui-même dix-huit ans.
Mariée avec Paul de LADUREAU
(dit de BELOT) , né en 1841, décédé. Dont :
Note
: Peut-être éloignée du
mariage par les tristes mésaventures de Camille, Madeleine ne se marie pas. A
l'âge de 25 ans elle entre comme novice chez les Filles de Saint François de
Sales. Elle se consacre aux bonnes oeuvres et mourra oubliée de tous en 1930
dans son couvent de Toulouse. Les deux soeurs reposent côte à
côte dans le cimetière de Verfeil (Haute-Garonne)
Note
: Louis né à Londres en
1856 avait pour parrain l'empereur Napoléon III lui-même ( d'où son deuxième prénom
: Napoléon). Il eut une existence sans
relief et mourut en 1888, agé de 32 ans ; il est inhumé au cimetière de St
Sernin des Rais.
Note
: Gaston (né en 1863)
était officier de cavalerie ; il épousa Emilie Hélène Marianne LAFAURIE et eut
2 fils : : Paul de Malaret, né à Paris
le 30 mars 1891, et Serge né à Verfeil le 22 avril 1893. Gaston est mort à
Nice, le 13 janvier 1937. Serge hérita du domaine de Malaret de
son père et de sa tante Madeleine . Il vendit cette propriété le 6 juillet
1939. Serge est mort à Paris le 17 novembre1969.. Paul se marrie
avec Fernande Louise HUET . Ils eurent un fils, Jacques de Malaret, né à
Verfeil le 4 janvier 1914 ; Paul est mort à Verfeil le 17 janvier 1919. Son
fils, Jacques est le père de 4 enfants et vit dans la région de Biarritz.
Marié avec Marianne de
LAFAURIE . Dont :
Mariée
le 8 décembre 1850, Paris,avec Armand FRESNEAU
, Député d'Ille et
Vilaine (1848), Député du
Morbihan (1871), Sénateur du
Morbihan (1878), né le 6 janvier 1823, Rennes,
35000, Ille-et-Vilaine, France, décédé le 13 novembre 1900,
Paris,Paris, France (77 ans).
Sources
: personne : gdjn (juillet 2003), famille : Alain Aussedat : source roglo
Dont :
Mariée avec Louis Jean
AUGIER de MOUSSAC , né en 1847, décédé en 1916 (69
ans).
Sources
: famille : Alain Aussedat
Dont :
Marié le 6 juillet 1908
avec Marie-Elisabeth
t'KINT , née en 1880, décédée en 1943 (63 ans).
Sources : famille : hfe 2012 cf roglo
Marié avec Anne-Marie HELEU
, née en 1873, décédée.
Sources
: personne, famille : Alain Aussedat : source roglo
Dont :
Sources
: personne : Alain Aussedat : source René Fresneau, famille : Alain Aussedat : source roglo
Mariée avec Maxime DUPONT
, né en 1888, décédé en 1957, inhumé, Bourg-des-Comptes, 35890,
Ille-et-Vilaine, France (69 ans), Colonel.
Sources
: personne, famille 2 : Alain Aussedat : source roglo, famille 1 : Alain Aussedat : source base roglo
Sources
: personne : Alain Aussedat : source roglo
Note
: Sources différentes
: dcd 1920 / 1909 ?? Madame de
Traipy dans les livres de sa mère
Mariée le 25 mars 1856
avec Emile de SIMARD
de PITRAY , Vicomte de
Pitray, né le 18 août 1822, décédé
le 18 mai 1888 (65 ans). Dont :