Alexandre Lauwick
 
peintre
orientaliste,
petit-fils de Catherine-Françoise Prouvost ( des Manufactures Royales de Lille ).

Catherine Françoise Prouvost 1752-1801 &1782
François Joseph Durot 1747-1815
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Catherine Françoise Josèphe Durot 1784-1855 &1802
Charles Frédéric Joseph Lauwick 1782-1851
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Alexandre Lauwick 1823-1886


Femme juive d’Alger 1861 par Alexandre Lauwick     

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« Alexandre Abel Félix Lauwick, parfois orthographié Lauwich, né le 24 mars 1823 à Lille et mort le 6 février 1886 au 21, avenue George V à Paris 8°, est un peintre orientaliste français. Issu d'une grande famille de la bourgeoisie lilloise, Alexandre Lauwick est le fils de Charles Frédéric Joseph Lauwick, propriétaire, et Catherine Françoise Joseph Durot, et le petit-fils de Catherine-Françoise Prouvost. En 1864, il épouse à Paris Louise-Thérèse Riesener, nièce d’Eugène Delacroix. Après des études aux beaux-arts de Lille, Alexandre Lauwick est élève de Charles Gleyre aux beaux-arts de Paris. Il peint ensuite sur le motif à Barbizon, puis voyage en Italie et en Afrique du Nord. Il reste alors plusieurs années en Algérie où il fait partie de la Société des Beaux-Arts d'Alger. Il a exposé au Salon de Paris de 1850 à 1869 des toiles exclusivement orientalistes. Œuvres :Femme juive de la province d’Alger (1861), Palais des beaux-arts de Lille

« Oeuvres exposées au salon annuel organisé par le Ministère de la Maison de l'Empereur et des beaux-arts (Surintendance des beaux-arts), en 1865, au Palais des Champs-Elysées à Paris. Tirage photographique sur papier albuminé représentant : - "Retour de l'enfant prodigue", tableau par François Germain Léopold Tabar, No 2030, appartient à l'auteur; 
- "Léda", tableau par Gaston Casimir Saint-Pierre, No 1914, appartient à l'auteur; - "Jésus, source de vie", d'après le chapitre VII, verset 37 de l'Evangile selon St-Jean, tableau par Charles Henri Michel, No 1511; - "Une rue au Caire", tableau par Alexandre Lauwick, No 1258; - "La Vierge et l'Enfant Jésus", d'après l'Evangile de la Saint-Enfance, tableau par Albert Lambron, No 1209.


Quelques liens avec la lignée des Boutet de Monvel

Boutet-de-MonvelAlexandre Lauwick

Salons de Paris : « Peintres orientaliste »:

Bernard Boutet de Monvel : « le premier tableau algérien que Maurice Boutet de Monvel se décide à présenter au Salon en 1880, Sur les hauts plateaux - un tableau qui avait été peint devant le motif en 1876 »

Alexandre Lauwick : salons de Paris de 1850 à 1869 des toiles exclusivement orientalistes ; il  reste plusieurs années en Algérie où il fait partie de la Société des Beaux-Arts d'Alger.


Alexandre Lauwick épousa en 1864
Thérèse Riesener 1840-1932,

dont Gabrielle 1865-1945  Laure 1868-1894; Thérèse est la fille de Léon Riesener,  élève de son père Henri-François Riesener et d’ Antoine-Jean GrosPetite fille de Henri-François Riesener (1767-1828),fils du grand ébéniste, élève de Vincent, puis de Jacques-Louis Davidépoux en 1807 Félicité Longrois, dame d'annonce de l'impératrice Joséphine. Arrière-petite fille de Jean-Henri Riesener (1734-1806), élève de Jean-François Oeben. Il épouse la veuve de ce dernier, Françoise-Marguerite Vandercruse. Reçu maître en 1768Françoise-Marguerite Vandercruse  est la fille de François Vandercruse dit La Croix, 1728-1799, ébéniste, flamand d'origine, surnom emprunté également par son fils, Roger, ébéniste à la Cour, lui aussi, qui signa ses œuvres R.V.L.C. pour Roger Vandercruse La Croix, célèbre ébéniste  estampillant RVLC ;  Thérèse Riesener est la nièce du peintre Eugène Delacroix,, cousin germain de son père, Léon Riesener.

riesener-madame-leon-nee-laure-peytouraud-riesener-leon   Leon-Riesener  Henri Francois Riesener  Félicité Longrois   Bureau Roi Riesener Versailles  RVLC commode   Eugene delacroix

                                     Madame Léon Riesener, Léon Riesener par son cousin Eugène Delacroix, Henri-François Riesener, Félicité Longrois,  Bureau du Roi (Riesener et Oeben), commode RVLC , Eugène Delacroix

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Hervé Lauwick

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Hervé Lauwick, né en 1891 et mort en 1975, est un écrivain français de livres d'humour.

Ami de Tristan Bernard, Maurice Donnay et de Sacha Guitry « au cours des années éblouissantes où se multipliaient sans effort ses pièces triomphales » (prière d'insérer de S.G. et les femmes, 1965).

Lauwick signa un bulletin quotidien au Figaro, fut producteur à l'O.R.T.F. et critique à Jour de France.

Bons mots

Article connexe

chevalier de la Légion d'honneur, médaille miltaire, military medal of bravery

Il avait aussi des liens avec un Boutet de Monvel

Gazette du Bon Ton, n°1, janvier 1914

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La Gazette du Bon Ton, soutitrée Art - Modes & Frivolités est une revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel. Elle est inspirée du mythique Journal des Dames et des Modes du XVIIIe siècle. Elle paraît de 1912 à 1925, avec une interruption pendant la guerre, soit soixante-neuf numéros tirés chacun à deux mille exemplaires.

Ont contribué : André-Édouard Marty, Pierre Brissaud, Georges Lepape, Dammicourt, George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, Charles Martin... pour les illustrations ; Roger Boutet de Monvel, Jean Cocteau, Henri de Régnier, Pierre Mac Orlan, Raymond Radiguet, Jean-Louis Vaudoyer, Gérard Bauër, Marcel Duminy, Louis Léon Martin, Nicolas Bonnechose, Georges Armand Masson, Hervé Lauwick... pour les textes.

Les planches volantes qui accompagnent la Gazette, réalisées selon la technique du pochoir métallique, montrent les créations des couturiers les plus renommés de l'époque : Jeanne Lanvin, Georges Doeuillet, Jeanne Paquin, Paul Poiret, Jean-Philippe Worth, Madeleine Chéruit, Redfern, Madeleine Vionnet, Callot Soeurs, Jacques Doucet... Ils participent tous au contenu de la Gazette en fournissant chacun un modèle exclusif par numéro.

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Quelques figures parmi les descendants de Catherine Françoise Prouvost

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Chateau de Beaupré Durot

Manufactures royales de Lille

née le 6 août 1752, Roubaix (59), décédée le 18 septembre 1801, Comines (59) (à l'âge de 49 ans). Mariée le 30 avril 1782 avec François Joseph Durot, né en 1747, décédé en 1815 (à l'âge de 68 ans), bourgeois de Lille,

 Sur 4 générations :

Fille :

Catherine Françoise Josèphe Durot, née en 1784, Lille (Nord), décédée le 27 mars 1855, Lille (Nord) (à l'âge de 71 ans). Mariée le 1er thermidor an X (20 juillet 1802), Comines (59), avec Charles Frédéric Joseph Lauwick, né le 28 octobre 1782, Comines (Nord), décédé le 23 juillet 1851, Lille (Nord) (à l'âge de 68 ans),

Petits enfants :

Bernard Joseph Lauwick, né le 23 novembre 1806, décédé en 1859 (à l'âge de 53 ans).
Marié en 1838 avec Clémence van Rullen, née en 1817, Gand (Flandre-Orientale, Belgique), décédée en 1886, Heusden (à l'âge de 69 ans),

Alexandre Lauwick, né le 24 mars 1823, Lille (59), décédé le 6 février 1886, Paris 8e (à l'âge de 62 ans), artiste peintre. Marié le 8 février 1864, Paris, avec Thérèse Riesener, née le 22 octobre 1840, Paris 2e, décédée en 1932 (à l'âge de 92 ans),

Françoise Lauwick, 1826, Mariée le 3 mai 1848 Paul de Roucy, 1817, 1900

Arrière petits enfants :

Fernand Lauwick, né le 13 septembre 1847, Lille (59), décédé en 1930 (à l'âge de 83 ans), propriétaire à Lannoy. Marié le 28 février 1881, Lannoy, Nord, avec Elise Parent, décédée, dont

Marthe Lauwick, née le 4 juillet 1854, Seclin (Nord), décédée le 5 juillet 1890, Paris (à l'âge de 36 ans).
Mariée le 19 avril 1875, Seclin (Nord), avec Paul Duphénieux, né le 28 avril 1837, Cajarc, 46, décédé le 13 mai 1913, Cajarc, 46 (à l'âge de 76 ans), lieutenant-colonel commandant le 1er régiment des mobilisés du Lot (1870-1871),

Berthe Lauwick, née le 9 juillet 1856, Seclin (Nord), décédée le 9 juillet 1935, Zwevegem, Flandre-Occidentale (Belgique) (à l'âge de 79 ans). Mariée le 15 avril 1882, Seclin (Nord), avec Raymond Van de Venne, né le 23 novembre 1843, Zwevegem, Flandre-Occidentale (Belgique), décédé le 4 mars 1926, Zwevegem (Flandre-Occidentale (Belgique) (à l'âge de 82 ans), notaire, député, sénateur belge,

Clémentine Lauwick, née le 1er novembre 1828, Gand, décédée le 3 février 1900, Gand (à l'âge de 71 ans).
Mariée le 21 juin 1860, Gand, avec Léon Le Grand, né le 1er novembre 1828, Gand, décédé le 29 septembre 1910, Heusden (à l'âge de 81 ans), consul de France,

Oswald Lauwick, né le 12 janvier 1844, Gand (Flandre-Orientale, Belgique), décédé le 22 mars 1907, Gand (Flandre-Orientale, Belgique) (à l'âge de 63 ans), lieutenant-général de l'Armée Belge, major d'état-major. Marié le 9 juillet 1876, Saint-Josse-ten-Noode, avec Marie Corbisier de Méaultsart, née le 23 juin 1854, Bruxelles (Belgique), décédée,

Ida Lauwick, née en 1836, décédée en 1878 (à l'âge de 42 ans).
Mariée avec Octave de Meulenaere, né en 1840, décédé en 1905 (à l'âge de 65 ans),

Gabrielle Lauwick, née en 1865, décédée en 1945 (à l'âge de 80 ans).
Mariée avec Georges Itasse,

Marguerite Lauwick, née en 1856, décédée en 1930 (à l'âge de 74 ans).
Mariée en 1888 avec Raoul Chagrin de Saint-Hilaire, né en 1854.

Philippe Lauwick, né en 1859, décédé en 1940 (à l'âge de 81 ans), capitaine de vaisseau, chevalier de la Légion d'honneur. Marié avec Marie-Anne Chagot,

Raoul de Roucy. Marié en 1887 avec Angèle Vassard de Berchère.

Louis de Roucy, 1853, 1933 Marthe Bussière de Nercy de Vestu,

Arrière-arrière petits enfants

Albert Duphénieux, né le 10 février 1876, La Roche-sur-Yon, décédé (filleule: Jehanne du Breil de Pontbriand 1923-1984). Marié en 1899 avec Gabrielle Bara, née en 1878, décédée en 1959 (à l'âge de 81 ans).

Marthe Van de Venne, née le 24 mai 1887, Zwevegem (Flandre-Occidentale (Belgique), décédée le 21 octobre 1942, Saint-Laurent-des-Mortiers (Mayenne) (à l'âge de 55 ans).
Mariée le 19 novembre 1912, Zwevegem, Flandre-Occidentale (Belgique), avec Louis du Breil de Pontbriand, né le 30 janvier 1885, Saint-Buc, Le Minihic-sur-Rance (Ille-et-Vilaine), décédé le 2 octobre 1931, Saint-Laurent-des Mortiers (Mayenne) (à l'âge de 46 ans).

Germaine Le Grand, née le 19 juin 1865, Gentbrugge, décédée le 28 juillet 1925, Melle (à l'âge de 60 ans).
Mariée le 17 mai 1887, Gand, avec Léon de Séjournet de Rameignies, né le 21 juin 1857, Rameignies, décédé le 12 novembre 1936, Merelbeke (à l'âge de 79 ans).

René Le Grand, né le 2 octobre 1866, Gentbrugge, décédé le 20 mars 1921, Gand (à l'âge de 54 ans), avocat.
Marié le 11 janvier 1921, Gand, avec Cécile de Behault, née le 29 octobre 1881, Gand, décédée le 17 décembre 1981, Gand (à l'âge de 100 ans) (sans postérité).

Adrien Groverman, né le 10 août 1859, Gand, Belgique, décédé le 26 septembre 1919, Gand, Belgique (à l'âge de 60 ans).
Marié le 17 juillet 1886, Gand, Belgique, avec Marie Maertens de Noordhout, née le 14 septembre 1867, Gand, Belgique, décédée le 8 mai 1947, Evergem, Belgique (à l'âge de 79 ans).

Robert Groverman, né le 2 décembre 1860, Gand, Belgique, décédé le 13 mai 1951, Bruges, Belgique (à l'âge de 90 ans).
Marié le 14 novembre 1882, Gentbrugge, Belgique, avec Marie de la Kethulle de Ryhove, née le 4 juillet 1860, Gand, Belgique, décédée le 1er juillet 1914, Gentbrugge, Belgique (à l'âge de 53 ans).

Eva Groverman, née le 13 octobre 1868, Gand, Belgique, décédée le 6 janvier 1926, Pietra-Ligure, Italie (à l'âge de 57 ans). Mariée le 1er août 1891, Gand, Belgique, avec Ferdinand de Maleingreau d'Hembise, né le 27 juin 1855, Sainte-Croix, Bruges, Belgique, décédé le 3 octobre 1923, Sainte-Croix, Bruges, Belgique (à l'âge de 68 ans) (5 enfants).

Prisca Groverman, née le 2 avril 1874, Gand, décédée le 17 octobre 1939, Ixelles (à l'âge de 65 ans). Mariée le 24 mai 1900, Gentbrugge, avec Albert de le Court, né le 7 mai 1873, Schaerbeek, décédé le 30 mai 1922, Ixelles (à l'âge de 49 ans), directeur au ministère de la justice.

Armand de Meulenaere, né le 14 juillet 1862, décédé le 9 octobre 1904 (à l'âge de 42 ans). Marié avec Elisabeth de Moerman d'Harlebeke, née le 22 août 1867, décédée le 15 février 1950 (à l'âge de 82 ans).

Clara de Meulenaere, née le 25 novembre 1863, Gand (Flandre-Orientale, Belgique), décédée le 1er février 1919, Gand (Flandre-Orientale, Belgique) (à l'âge de 55 ans). Mariée le 10 septembre 1889, Gentbrugge, avec Léon, baron de Pelichy, né le 13 février 1863, Gand, Flandre-Orientale (Belgique), décédé le 1er mars 1936, Gentbrugge, Flandre-Orientale (à l'âge de 73 ans).

Marie-Cécile Itasse, née en 1897, décédée en 1932 (à l'âge de 35 ans). Mariée le 1er août 1922 avec Jacques Famin, né le 10 décembre 1897, Hanoï (Tonkin), décédé le 26 mai 1932, La Rochelle (17) (à l'âge de 34 ans), lieutenant d'infanterie.

Germaine Bigle, née en 1893, décédée en 1975 (à l'âge de 82 ans). Mariée le 15 février 1912, Saint-Pierre du Gros-Caillou, Paris, avec Jean Le Lieur, comte de Ville sur Arce, né en 1886, décédé en 1924 (à l'âge de 38 ans).

Hervé Lauwick, né le 12 septembre 1891, Ker-Hor (Finistère), décédé en 1975 (à l'âge de 84 ans), homme de lettres, écrivain, auteur dramatique. Marié le 6 avril 1961 avec Françoise Robert de Larzillé.

Ghyslaine Lauwick. Mariée avec Harold Fairweather, capitaine au 19ème Régiment de Lanciers du Bengale.

Carmen de Roucy, née le 19 novembre 1884, Bagnières-de-Bigorre (Hautes-Pyrénées), décédée le 7 juin 1948, Paris 16e (à l'âge de 63 ans). Mariée en 1905 avec Marcel Le Caron de Chocqueuse, né le 9 décembre 1878, Paris, décédé en 1942 (à l'âge de 64 ans), lieutenant au 54e RI (en 1903).

La cousine germaine de Charles Frédéric Lauwick 1782-1851 époux de Catherine -Françoise Durot-Prouvost
1784-1855
,

Henriette Lauwick 1790-1862 épousa Pierre Catteau,

 

"Pierre, Antoine, Louis Catteau est né le 16 mai 1820 à Comines. Il est le fils de Pierre Catteau et d’Henriette Lawick. Il est issu d’une famille de fabricants de rubans. Son aïeul, Charles Catteau avait créé son entreprise de ruban en fil de lin au milieu du 18ème siècle.

 En 1788, il y employait 44 ouvriers. Pierre Catteau termina à Boulogne-sur-Mer des études qu’il avait commencées au Collège des Jésuites de Brugelette. Il arriva en 1844 à Roubaix et créa son entreprise rue de la Fosse-aux-Chênes. Il s’orienta vers des tissus chaîne-soie qui remportèrent un vif succès. Doué d’un goût très sûr, ses produits étaient de véritables merveilles de dessins et de coloris. ela expliqua le constant essor de sa fabrique.

En 1869, le registre des patentes nous apprend qu’il est taxé au maximum pour son tissage du 30, de la rue de la Fosse aux Chênes. Il y était associé à ses frères : Charles et Louis qui résidaient à Comines et Adolphe qui demeurait à Roubaix. Pierre Catteau, quant à lui, habitait au 41, rue du Grand Chemin.

En 1885, pour cause d’extension, son tissage se situait au 121, rue du Grand Chemin, une filature de 8.800 broches lui était adjointe. Cette filature lui appartenait en propre. En ce qui concerne le tissage, il restait associé à ses frères. En plus, il était associé à Monsieur Edouard BODIN, demeurant au 30, rue Nain, au sein d’un tissage de plus de 200 métiers situé au 52, rue Saint Maurice.

Quant à son frère Adolphe, toujours en 1885, il était à la tête d’une retorderie de 3.550 broches et d’un tissage boulevard d’Armentières ainsi que d’un second tissage comprenant 73 métiers à bras pour tissus d’ameublement au 15, rue de la Chapelle Carrette.

 Plusieurs distinctions…

Les mérites de Pierre Catteau lui valurent de recevoir de nombreuses distinctions. En 1862, il reçut une mention honorable à l’exposition de Londres. En 1867, à Paris, il obtint une médaille d’argent. En 1873, le jury de l’exposition universelle de Vienne lui décerna une médaille de progrès, sa plus haute distinction. L’année suivante, un décret du 27 juillet le nommait Chevalier de l’Ordre de la Légion d’Honneur pour « services rendus à l’industrie ». Enfin, en 1878, il obtint à Paris la médaille d’or.

 L’hôtel particulier de Pierre CATTEAU

Pierre Catteau se fit construire au 45, rue du Grand Chemin son hôtel particulier. Nous savons qu’il habitait dans cette rue depuis au moins 1869.

Les archives municipales possèdent le plan, daté du 15 avril 1876, d’un terrain d’une surface d’un hectare vingt neuf ares qui s’étendait entre la rue des Fleurs et la rue du Grand Chemin.

C’est sur ce terrain acheté peut-être à ce moment là qu’il décida de faire construire son hôtel particulier agrémenté d’un grand parc."  http://www.histoirederoubaix.com

Le palais de Justice

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